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(Publi-reportage) Un nouvel espace vient d’être aménagé en restaurant au sein de l’Arlequin à Bas-en-Basset. Ouverture officielle de la brasserie le jeudi 5 décembre.

Valentin Cracco ne manque pas d’idées. Le gérant de la discothèque l’Arlequin diversifie l’offre au sein de son établissement. Après avoir créé une terrasse extérieure cet été pour déguster des tapas, il vient d’investir dans l’aménagement d’une salle de restaurant.

Des produits locaux, du fait maison

Cette brasserie sera ouverte en soirée le jeudi, vendredi, samedi et dimanche. La carte se compose d’une dizaine de plats, préparés sur place à base de produits locaux et de légumes du marché. La viande est achetée à la boucherie Jaillet, la charcuterie à la Salaison de la Roche, les légumes sur le marché hebdomadaire. Retrouvez des salades, des viandes à la plancha, des burgers, du camembert au four, des mix salade-râpée-charcuterie.

Pour un plat avec dessert et café, la note est inférieure à 20 euros.

30 couverts, voire plus

La salle de la brasserie compte 30 couverts. L’Arlequin peut facilement répondre aux attentes des repas de groupes, des banquets, des retrouvailles grâce à la grande salle qui peut aller bien au-delà pour des demandes spécifiques.

Service tardif le week-end

La brasserie l’Arlequin est ouverte du jeudi au dimanche, de 19 heures à minuit. Service tardif possible le week-end.

Téléphone : 06 46 12 02 34

Voir la page Facebook l'Arlequin

Publié dans Monistrol et environs

Après douze années passées à la tête des Cimes, Danielle et Cédric Riffard viennent de transmettre leur affaire à un jeune gérant qui réalise son rêve de tenir une discothèque.

Davy Ihadadene est le nouveau patron des Cimes à Raucoules. Depuis le 1er juin, il a repris la discothèque des Cimes, succédant à Danielle et Cédric. La passation effective se fera le 17 juin. D'ici là, Danielle et Cédric facilitent le passage de relais en étant présent lors des soirées. Après quoi, le couple de néo-Laptois pourra se concentrer sur leur nouveau projet, toujours dans le commerce.

Il a créé le Sharks à Retournac

A 35 ans, Davy Ihadadene réalise son rêve avec cette boîte de nuit créée par Fernand Faure il y a 44 ans. "J'aime l'univers du bar, de la convivialité, de la fête", affirme ce Retournacois d'origine qui a créé le bar-restaurant Le Sharks à Retournac en 2004 après avoir tenu le snack de la piscine des bords de Loire. Il avait vendu le Sharks il y a six ans et a réalisé depuis plusieurs projets de rénovation immobilière, toujours sur Retournac.

Poursuivre dans le même esprit

Le nouveau gérant des Cimes poursuit dans le même esprit : entrée possible à partir de 16 ans, ouvert le vendredi de façon gratuite, et le samedi à 10 euros. Depuis février, les animations du musette du dimanche après-midi sont supprimées. Les sept navettes sont reprises pour aller chercher les clubbeurs du Puy-en-Velay à Firminy en passant par Annonay. Une dizaine de personnes travaillent en moyenne chaque week-end.

"Il y aura toujours une grosse soirée tous les trois mois. Les Cimes est connu pour faire venir des DJ à la mode et des stars de la télé-réalité."

Publié dans Loisirs 2017

Deux associés rénovent actuellement la discothèque de Bas-en-Basset, fermée depuis un an. Le Pi One va devenir l'Arlequin. L'ouverture est prévue pour la mi-septembre.

Une nouvelle page va s'ouvrir pour la discothèque de Bas-en-Basset, fermée depuis un an. Benoit Ginetti, 34 ans, et Valentin Cracco, 26 ans, se sont positionnés pour reprendre le fonds de commerce de ce bâtiment qui a toujours été un lieu de fête, de musique et de danse. La discothèque est située en bordure de Loire, à l'entrée de Bas, tout près du pont de la Loire.

L'Arlequin redevient l'Arlequin

Le Pi One a vécu. Voilà le retour de l'Arlequin. Les moins jeunes se souviendront avoir fréquenté cette boîte de nuit il y a quelques années, du temps où elle s'appelait déjà l'Arlequin. Ce night club s'est aussi appelé le Cube ou encore le Trésor. "Je trouve toujours dommage de changer le nom d'une discothèque. Je suis venu ici quand j'étais plus jeune et ça s'appelait l'Arlequin. Je pense que ça va rappeler de bons souvenirs", évoque Benoit Ginetti, domicilié à Saint-Maurice-de-Lignon et chargé d'études dans les travaux publics.

Pour cette affaire, il s'est associé avec Valentin Cracco, originaire de La Chapelle-d'Aurec et gérant du bar PMU des sports à Saint-Maurice-de-Lignon depuis trois ans.

Pub à partir du jeudi, discothèque le vendredi et le samedi

L'Arlequin ouvrira à partir du jeudi soir en tant que pub, bar à bières avec retransmission de matches dans une partie du bâtiment, de 18 heures à 22 heures le jeudi, de 18 heures à 23 h 30 les vendredi et samedi. A partir de 23 h 30, le lieu se transfomera en discothèque, jusqu'à 4 heures le vendredi et 5 heures le samedi.

Ouverture le 17 septembre ?

Les deux futurs gérants réalisent actuellement 5000 euros de travaux pour redonner un coup de jeune à la discothèque. Huit personnes seront embauchées et ont déjà été choisies, que ce soit les videurs, les serveuses ou les vestiaires. Pour le choix du prochain DJ, Benoit Ginetti et Valentin Cracco disposent de plusieurs pistes possibles.

Si tout se passe comme prévu, l'Arlequin accueillera ses premiers clients le samedi 17 septembre.

Publié dans Actualités 2016
Il était 7 heures dimanche matin quand la navette de la discothèque de Raucoules ramenait paisiblement des clients à Bas-en-Basset et Aurec-sur-Loire. Comme elle le fait chaque week-end depuis une petite dizaine d'années, sans incident jusque-là.

Mais ce dimanche à l'aube, alors que la navette s'arrêtait devant le domicile d'un jeune majeur à Bas-en-Basset, quatre hommes, originaires du bassin stéphanois, se sont rués sur ce jeune homme pour en découdre à l'aide de matraques, réclamant leur argent pour un différend lié à la drogue.

Le chauffeur a réussi à repousser fermement les assaillants et protéger les cinq occupants de la navette, témoins de la scène.

Les gendarmes ont été avisés de cette altercation et devaient ensuite recueillir les différents témoignages.
Publié dans Faits Divers 2016
Les causes de l'incendie qui a totalement ravagé la discothèque de Saint-Jean-de-Nay restent encore inconnues.

Hassan Pamelard, qui a racheté le fond de commerce en 2015, attend toujours les conclusions de l'enquête de gendarmerie et l'expertise de son assurance. Le 6 avril, à 3 heures du matin, les flammes avaient détruit cette discothèque implantée dans la campagne sur le territoire de Saint-Jean-de-Nay. Des techniciens en investigation criminelle avaient réalisé des prélévements le jour-même. Le lendemain, des agents du laboratoire interrégional de la police scientifique de Lyon étaient venus pour réaliser des prélèvements plus poussés.

Le gérant reste sceptique sur cet incendie alors qu'il n'avait pas mis les pieds dans l'établissement de 700 m2 depuis plusieurs semaines. Alors que les premiers éléments fournis évoquaient des travaux récents d'électricité, le propriétaire affirme qu'il n'avait pas entrepris de travaux d'électricité dans cette discothèque. Un établissement de nuit qu'il avait rebaptisé "QG club" après qu'elle se soit appelée "Rio", "Dundee" ou encore "Liams" par le passé. "J'ai racheté en 2015. J'ai ouvert en juillet et août avant de fermer six mois pour réaliser des travaux d'embellissement. J'avais investi dans du matériel de sonorisation et des jeux de lumière pour en faire une grosse boîte de nuit en Haute-Loire. Les travaux étaient terminés. Je devais rouvrir dans trois semaines", raconte celui qui est aussi propriétaire du Montecristo, une discothèque à "Pontempeyrat", à Usson-en-Forez, à la limite entre la Haute-Loire et la Loire. Juste avant le Nouvel An, la discothèque de Saint-Jean-de-Nay avait subi un cambriolage. Les malfrats étaient repartis les mains vides, mais avaient percé les boissons gazeuses stockées, après avoir forcé une porte.

Deux solutions s'offrent maintenant au gérant : soit il attend que le propriétaire des murs reconstruise la discothèque, ce qui va prendre plusieurs mois, soit il utilise la licence et le fond de commerce ailleurs. "J'ai envie de rester sur le bassin du Puy", affirme Hassan Pamelard.


Publié dans Faits Divers 2016
Un incendie s'est déclaré cette nuit vers 3 heures dans la discothèque Le Rio, sur la commune de Saint-Jean-de-Nay, à l'ouest du Puy-en-Velay, près de Loudes. Le bâtiment de 700 m2 a été entièrement détruit. L'établissement était fermé et aucune victime n'est à déplorer.
Les 42 pompiers mobilisés venus de 7 centres ont maîtrisé l'incendie vers 4 h 30 mais la discothèque est entièrement détruite.
L'origine du sinistre est pour l'heure inconnue. Fermée depuis l'été dernier, la discothèque venait de subir quelques travaux d'électricité par son nouveau propriétaire. L'électricité avait été remise en route pour permettre d'activer une alarme. Aucune trace d'effraction n'a été constatée.
Publié dans Faits Divers 2016