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Le parcours du prochain Critérium du Dauphiné a été dévoilé jeudi à l'Hôtel de Région à Lyon.

L'épreuve cycliste passera en Haute-Loire le mercredi 8 juin. La 3e étape partira de Boën-sur-Lignon et arrivera à Tournon-sur-Rhône, soit 182 km. Le peloton empruntera les routes altiligériennes pendant 50 km, sur les territoires d'Aurec-sur-Loire, Monistrol-sur-Loire, Saint-Pal-de-Mons, Montfaucon-en-Velay, Montregard et Saint-Bonnet-le-Froid. Les grimpeurs pourront même prendre quelques points dans la côte de Montfaucon, classée 4e catégorie. Le profil de l''étape sera surtout propice aux baroudeurs.

Ce sera sans doute l'occasion d'applaudir Romain Bardet (AG2R La Mondiale), originaire de Brioude, qui avait d'ailleurs remporté la 5e étape en 2015.

La Haute-Loire va aimer le cyclisme cette année. Après le Créitérium du Dauphiné, deux autres courses à étapes sillonneront la Haute-Loire. Le 21 juillet, le contre-la-montre individuel du Tour de l'Avenir sera au Puy-en-Velay avant une 2e étape entre Brives-Charensac et Brioude le lendemain. Une étape du Tour de l'Avenir partira aussi du Puy-en-Velay en août. La ville-préfecture a déjà affiché ses ambitions d'être ville départ ou ville arrivée d'une étape du Tour de France.
Publié dans Sport
jeudi, 31 mars 2016 08:33

Les naissance en Haute-Loire

Johan Collin.

Romane Chambefort, rue de l’Iris à Solignac-sur-Loire.

Luis Robin-Lemoine, lieu-dit La Papeterie, à Tence.

Nèvaéh Neppel, lotissement des Moulettes, à Vorey-sur-Arzon.

Medhi El Bouzidi, avenue Maréchal Foch, au Puy-en-Velay.

Coline Jouve, lieu-dit Jahon, à Langeac.

Eliot Guyot, à Beauzac, fils de Sylvain Guyot et Anne-Laure Marret, place du Marché.

Louna Froin, à Beauzac, fille de Lucas Froin et Pauline Guidez, rue de La Madeleine.

Johan Joubert, rue des Narcisses, à Solignac-sur-Loire.

Esin Elmali.
Publié dans Etat Civil 2016
Le ministère de l'Education nationale vient de publier les résultats au baccalauréat 2015, lycée par lycée.

Le ministère ne fournit aucun classement mais apporte des indicateurs de résultats qui prennent en compte plusieurs critères. Concrètement, la valeur d'un lycée n'est pas uniquement liée à ses résultats bruts à l'examen final mais s'appuie sur différents arguments qui peuvent motiver une famille à préférer un établissement. Ainsi, on prend en compte la capacité d'accompagnement d'un lycée pour emmener un élève de la seconde à la terminale.

Si l'on regarde les résultats bruts, le lycée public Lafayette de Brioude et le lycée Saint-Julien de Brioude sont en tête des établissements scolaires de Haute-Loire parmi les lycées généraux avec 98 % de réussite. En prenant appui sur les indicateurs de résultats avec le taux d'accès brut de la seconde à la terminale, la première place revient dans ce cas-là au lycée Simone-Weil du Puy-en-Velay (85 %).

Dans les lycées professionnels, quelle que soit la lecture, c'est le lycée privé Paradis de Brives-Charensac qui se distingue avec 96 % de réussite au bac et 94 % d'accès de la seconde à la terminale.

A noter que le lycée public Emmanuel-Chabrier d'Yssingeaux fait son entrée dans le classement puisque l'établissement a présenté ses premiers bacheliers en juin 2015 en filière générale.


Le classement 2015 en Haute-Loire


Lycées généraux-technologiques

1. Lafayette (public, Brioude) 98 % (121 élèves présentés au bac)

1. Saint-Julien (privé, Brioude) 98 % (41)

3. Saint-Jacques-de-Compostelle (privé, Le Puy) 97 % (103)

3. Notre-Dame-du-Château (privé, Monistrol) 97 % (233)

5. Léonard-de-Vinci (public, Monistrol) 95 % (290)

5. La Chartreuse Paradis (privé, Brives-Charensac) 95 % (83)

7. Simone-Weil (public, Le Puy) 94 % (287)

8. Charles-et-Adrien-Dupuy (public, Le Puy) 89 % (197)

9. Sacré-Coeur (privé, Yssingeaux) 83 % (30)

10. Emmanuel-Chabrier (public, Yssingeaux) 80 % (30)


Lycées professionnels

1. Paradis (privé, Brives-Charensac) 96 % (50 élèves présentés au bac)

2. Anne-Marie-Martel (privé, Le Puy) 95 % (63)

3. Notre-Dame-du-Château (privé, Monistrol) 91 % (44)

4. Auguste-Aymard (public, Espaly) 89 % (18)

5. Emmanuel-Chabrier (public, Yssingeaux) 88 % (57)

6. Jean-Monnet (public, Le Puy) 85 % (87)

7. Saint-Julien (privé, Brioude) 83 % (23)

8. Charles-et-Adrien-Dupuy (public, Le Puy) 76 % (42)



Comment apprécier les résultats d’un lycée ?

Les indicateurs de résultats des lycées évaluent non seulement la réussite au baccalauréat des élèves de terminale d’un établissement, mais aussi la capacité de cet établissement à accompagner le maximum d’élèves depuis la seconde jusqu’à l’obtention du diplôme, en prenant en compte les caractéristiques sociodémographiques et scolaires des élèves.

Ils offrent en cela une analyse plus fine que le seul taux de réussite au baccalauréat, en appréciant également le parcours scolaire des élèves depuis leur entrée au lycée et le caractère plus ou moins sélectif des établissements.

Trois indicateurs sont utilisés pour mesurer la valeur propre d’un établissement :

le taux de réussite au baccalauréat, c’est-à-dire la proportion de bacheliers parmi les élèves ayant passé le baccalauréat ;

– le taux d’accès au baccalauréat, qui est la proportion d’élèves de seconde ou de première qui obtiennent le baccalauréat en restant dans l’établissement ;

  la proportion de bacheliers parmi les élèves qui quittent l'établissement.


Pour consulter les indicateurs : voir le site de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Publié dans Actualités 2016
Le préfet vient de valider la nouvelle carte des intercommunalités. Sur le bassin d'Yssingeaux, rien ne change. Ou presque puisqu'on passe de 6 à 5 intercommunalités.

Tout ça pour ça. L'Est de la Haute-Loire est très peu concernée par les fusions entre communautés de communes. La seule est le rapprochement entre les Marches du Velay (Monistrol) et De Rochebaron à Chalencon (Bas-en-Basset). Les deux territoires y étaient d'ailleurs favorables et avaient fait réaliser une étude pour confirmer l'intérêt de ne faire plus qu'un.

Pour le reste, on prend les mêmes et on continue. Les contours des territoires restent identiques. Le Pays des sucs, créé en 1999, reste à neuf communes. Bernard Gallot s'en satisfait pour l'heure. "J'ai de la satisfaction et de l'espoir. De la satisfaction parce qu'on a tenu compte de nos souhaits d'avancer non pas à marche forcée mais avec des projets communs. J'ai aussi l'espoir de voir les élus saisir l'opportunité de travailler sur des projets de territoire. Ce qui est dommage, c'est qu'on pouvait faire un territoire pour mettre en valeur une ruralité dynamique, moderne et on se prive d'une grande partie de cette ruralité", indique le maire d'Yssingeaux et président des Sucs, en faisant allusion à Queyrières ou Le Pertuis entre autres.

Saint-Jeures l'a mauvaise
Il n'accueillera pas en son sein la commune de Saint-Jeures, transférée sur la première version du préfet depuis le Haut-Lignon. Pour André Duboeuf, maire de Saint-Jeures, la déception est à la hauteur des espoirs. "C'est dommage de ne pas rejoindre Yssingeaux. On se bat depuis 20 ans pour être incorporé au canton d'Yssingeaux. Ici, toute la population est tournée vers Yssingeaux. On aurait rejoint une communauté de communes avec un peu plus d'argent, qui a les moyens d'agir économiquement. Sur le Haut-Lignon, on a beaucoup de services mais ils nous coûtent chers. D'ici 2-3 ans, on parle de fusionner les Sucs, Montfaucon et le Haut-Lignon. J'attends de voir, car on parlait bien que Saint-Jeures allait rejoindre Yssingeaux et ça ne s'est pas fait."

Haut-Lignon et Montfaucon, chacun reste chez soi
Le Haut-Lignon, qui garde finalement Saint-Jeures, ne se mariera pas avec le Pays de Montfaucon. Les deux intercommunalités, qui ont chacune 8 000 habitants, n'étaient pas très chaudes dans l'immédiat pour faire cause commune. "On n'avait aucun projet commun. Les élus du Haut-Lignon avaient opté pour l'unité de la communauté de communes actuelle. A défaut, on était favorable à ce que Les Sucs, Montfaucon et le Haut-Lignon soient reliées. Il y a eu une prise de conscience pour que ces trois territoires travaillent ensemble les années à venir", témoigne Julien Melin, président de la communauté de communes du Haut-Lignon. Bernard Gallot confirme : "On a commencé à travailler ensemble depuis quelques mois."

Ce qu'il faut aussi retenir

On passe de 21 intercommunalités à 11 dont 5 sur le bassin d'Yssingeaux.

Loire Semène garde ses limites inchangées.

Mézenc et Loire sauvage fusionne en partie avec le Meygal, hormis Saint-Hostien et Le Pertuis qui intègrent la communauté d'agglomération du Puy. Saint-Pierre-Eynac, d'abord installé avec la communauté d'agglomération reste finalement avec le Meygal.

La communauté d'agglomération du Puy comptera 82 000 habitants, venus de l'ancienne communauté d'agglo, de l'Emblavez, des Portes d'Auvergne, Pays de Craponne et du Plateau de la Chaise-Dieu.

Le Pays de Blesle et le Brivadois fusionnent.

Le Pays de Saugues, le Langeadois, Ribeyre, Chaliergue et Margeride, et Pays de Paulhaguet fusionnent, ce qui représente un territoire de 18 000 personnes.
Publié dans Actualités 2016
FOOTBALL

Sucs et Lignon regarde en haut
L'équipe 1 (6e) a une occasion en or de revenir à 4 points du leader de PHR, Cusset, et 3 points de Monistrol. Pour cela, les hommes de Romain Tack doivent aller gagner ce samedi (20 heures) à Ambert en match en retard. La victoire semble largement à portée de main contre la lanterne rouge, toujours à la recherche de son premier succès en championnat cette saison. Mais attention à l'excès de confiance et à la suffisance.
L'équipe 3 (10e), en Première division, se rend dimanche à Blavozy 3 (6e) à 15 heures. Il sera surtout question de maintien.
L'équipe féminines (4e) reçoit Freycenet Saint-Jeures (5e) dimanche à 10 heures à Saint-Maurice-de-Lignon.

Grazac-Lapte, la coupe à coeur
Dimanche, les équipes 2 et 3 jouent en championnat en match en retard. L'équipe 2 (10e) se rend aux Vastres (5e) en Première division (15 heures) tandis que l'équipe 3 (12e) reçoit Aurec-sur-Loire (2e) en Troisième division.
L'affiche du week-end pascal sera tenue par l'équipe 1 en quart de finale de la Coupe de la Haute-Loire. Les hommes de Luc Renon, pensionnaires d'Elite, accueillent Blavozy (7e en DHR) lundi à 14 h 30 à Lapte. L'ASGL rêve d'exploit.

Tence, le choc est là
On va savoir dimanche si Tence a les épaules assez larges pour prétendre à l'accession en Première division. Le classement actuel place Les Villettes en tête du groupe de Deuxième division, Tence est 4e. Mais les hommes de Lionel Digonnet comptent trois matches en retard dont ce choc contre Les Villettes, dimanche à 15 heures. Tence, victorieux  l'aller aux Villettes (2-1), doivent reproduire une performance identique.

Mazet-Chambon reprend du service
L'équipe 1 (6e) affronte Saint-Victor-Malescours (9e) en match en retard de Deuxième division. Le match a été avancé à ce samedi, 14 heures, au stade du Chambon-sur-Lignon.

Freycenet, une simple formalité ?
Freycenet Saint-Jeures (2e) accueille Valprivas (12e) en match en retard de Première division. Les deux équipes promettent des buts après un match aller conclu sur un score fleuve de 5-3.

Recharinges aux Villettes
L'équipe de Recharinges Araules (8e) se déplace aux Villettes (3e) dimanche à 15 heures en Troisième division.


RUGBY

Les Hauts-Plateaux Tence doivent gagner... et espérer
Dernier de sa poule de Promotion Honneur-1re série, le XV du Rugby club des hauts plateaux doit absolument l'emporter ce dimanche au stade Jo Maso à Tence pour son dernier match de championnat de la saison. Le RCHP (8e) affronte l'équipe drômoise Lavali XV (6e). Les hommes du président Denis Chirouze doivent l'emporter et espérer dans le même temps une défaite de Grane (7e) contre Crest (1er).
Publié dans Sport
Les membres de l’Union professionnelle artisanale (UPA) de Haute-Loire ont élu leur nouveau président. Il s’agit de Louis Masson, plombier chauffagiste à Saint-Pierre-Eynac. Il succède à Joseph Ampilhac.

« L’UPA est trop méconnue dans notre département, et pourtant, elle est la représentation des trois composantes des petites entreprises, à savoir la CGAD (Confédération générale de l'alimentation en détail, NDLR) pour les métiers de l’alimentation, la CNAMS (Confédération nationale de l'artisanat des métiers de service et de fabrication, NDLR) pour les métiers de fabrication et services et pour la CAPEB (Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment, NDLR) pour les métiers du bâtiment », déclare Louis Masson.

En Haute-Loire, l'UPA représente 5 000 entreprises et 300 métiers.
Publié dans Actualités 2016
mercredi, 23 mars 2016 20:26

Des rafales de vent en Haute-Loire et Ardèche

Les vents, en provenance du Nord, ont soufflé ce mercredi sur la Haute-Loire. Des rafales ont occasionné quelques dégâts comme à Pont-Salomon où un arbre est tombé sur une ligne électrique en fin de matinée, occasionnant des étincelles et un début de feu. A Siaugues-Sainte-Marie, au moins 2000 m2 de broussailles ont brûlé dans un feu largement alimenté par le vent.

Le vent devrait encore souffler cette nuit et la journée de jeudi. L'Ardèche est placée en vigilance jaune aux vents violents. Le phénomène est annoncé jusqu'à jeudi, 16 heures. La Haute-Loire sera aussi concernée, amenant aussi un froid vif, comme mercredi. Le vent soufflera en moyenne à 20-25 km/h mais des rafales sont annoncées, jusqu'à 70 km/h, selon les secteurs en Ardèche. La Haute-Loire devrait connaître une accalmie en plaine. Les régions proches de l'Ardèche pourraient néanmoins être touchées par les rafales.
Publié dans Faits Divers 2016
La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Haute Loire informe les entreprises du secteur du BTP  que depuis la loi Macron du 6 août 2015 suivie du décret du 22 février 2016, la carte d’identification professionnelle est obligatoire pour tout salarié participant, même à titre occasionnel ou secondaire, à des travaux de BTP, quelles que soient la nature et la durée de son contrat de travail (CDD, CDI, ouvrier en détachement d'une entreprise étrangère).

Cette carte doit être demandée par l’employeur auprès de la Caisse de Congés Payés Intempérie du BTP 

Elle devra être présentée immédiatement sur demande des agents de contrôle (inspection du travail, police, douanes…) mais aussi du maître d'ouvrage public ou privé, ou d'un donneur d'ordre intervenant sur le chantier où le salarié exerce son activité.

Pour plus d’information, contacter Emmanuelle Vallet, responsable du Service CFE-RM à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Haute-Loire -  04.71.02.98.61
Publié dans Brèves 2016
Les services de l'Etat viennent de communiquer leurs conclusions suite aux six observations visuelles de grands canidés sur les communes de Saugues, Pébrac, Siaugues-Sainte-Marie, Croisances et Malataverne entre le 11 et 15 mars.

Les experts scientifiques du réseau loup lynx de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) ont conduit des investigations pour identifier l'espèce concernée. Après analyse et évaluation des observations, les critères morphologiques et le comportement des animaux observés mettent en évidence qu'il ne s'agit pas de loups. L'animal signalé à Malataverne a été identifié comme étant un chien loup de type "tchèque".
Publié dans Actualités 2016
La campagne de vaccination contre la fièvre catarrhale ovine se poursuit en Haute-Loire. Une nouvelle allocation de 63 000 doses vaccinales (40 000 doses ont déjà été utilisées ces derniers mois) vont permettre de vacciner les bovins et les ovins. L'obhectif est de maintenir ouverts les flux commerciaux, notamment l'exportation. La Haute-Loire est particulièrement concernée par les ventes de broutards et des veaux laitiers vers l'Italie et l'Espagne.

Au 11 mars, 220 cas de FCO ont été détectés dans le centre de la France, dont 5 en Haute-Loire, 82 dans le Puy-de-Dôme, 45 dans l'Allier, 13 dans la Loire, 7 dans le Cantal.


Bovins
Environ 6 000 broutards seront exportés d'ici le 1er octobre 2016. 12 000 doses seront doncs destinés à ces animaux. Pour les vaches laitières, 38 000 doses sont allouées aux vaches laitières gestantes. Cette dotation permettra de protéger les circuits commerciaux des veaux laitiers vers les marchés italien et espagnol.


Ovins
Sur un labse d'un sondage individuel, les 44 cheptels altiligériens ayant souhaité vacciner se sont vus attribuer les doses permettant de protéger leurs 13 000 ovins.


Publié dans Actualités 2016
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