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Depuis vendredi, quelques dizaines d'usagers de Saint-Pierre-Eynac sont privés d'eau potable. La cause du problème n'a pas encore été identifiée.

Depuis vendredi, les agents du Syndicat de gestion des eaux du Velay (SGEV) arpentent à pied le difficile réseau d'eau potable qui achemine l'eau depuis le Meygal jusqu'à Saint-Pierre-Eynac. Pour les clients, le temps est long avec un troisième jour sans la moindre goutte qui sort du robinet.

Entre 30 et 40 usagers, selon les estimations du SGEV, sont privés d'eau potable. Ces habitations se trouvent sur les hauteurs de Saint-Pierre-Eynac, sous le réservoir de la Vierge, entre le bourg et la RN88 pour faire simple.

"Nous combinons deux problématiques : la consommation est en hausse en raison des fortes chaleurs et nous avons un problème d'approvisionnement depuis le Meygal, sur le territoire de Queyrières", indique Sylvain Dejoux, le directeur du SGEV. "On va trouver, c'est juste que c'est long pour ceux qui sont concernés."

Lundi, en fin de matinée, en coordination avec la commune de Saint-Pierre-Eynac, "compte tenu de l'effectif privé d'alimentation en eau (120 habitants environ), le syndicat doit procéder dans la journée à une livraison d'eau embouteillée, à raison de 2 bouteilles par jour et par personne, éventuellement renouvelée selon le rétablissement du service".

Publié dans Mézenc / Meygal
L'affaire débute vendredi vers 23 heures. Un habitant du hameau de "Tournecol", commune de Saint-Pierre-Eynac, est averti par la société qui surveille sa maison que l'alarme s'est déclenchée à son domicile.

Arrivé sur les lieux, il met en fuite plusieurs individus, lesquels sont ensuite pris en chasse par les gendarmes. Le véhicule, une Opel Astra, est retrouvé vide au Puy-en-Velay.

L'enquête permet rapidement d'identifier deux hommes, âgés de 30 et 31 ans. Ils ont par ailleurs déjà été condamnés à de la prison pour leur implication dans des affaires de stupéfiants et de cambriolages. Les individus restent introuvales, tout autant que le butin.

Coup de théâtre dimanche à 16 heures : les deux hommes, se sachant recherchés, se rendent d'eux-mêmes à la gendarmerie et sont aussitôt placés en garde à vue.
Faute d'éléments probants, la procédure a été suspendue lundi. L'enquête se poursuit.
Publié dans Faits Divers 2016