Afficher les éléments par tag : saintagrève

Le soleil couchant semble être à l'origine d'une collision entre une voiture et un deux-roues vendredi vers 19 h 30.

Deux jeunes saint-agrévois âgés de 15 et 16 ans circulaient sur une moto en direction de la gare sur la déviation de la commune.

Une voiture, conduite par une femme de 40 ans, habitante de Saint-Agrève, accompagnée de son fils de 14 ans, a traversé un carrefour entre le chemin du Verron et la rue de l'Hôpital.

Elle n'aurait pas vu la moto arriver. Le choc a été sur le côté passager. Les deux motards sont passés par dessus la voiture.

Le pilote de la moto, blessé au menton, et son copilote, ainsi que les deux occupants de la voiture, ont été transportés à l'hôpital de Saint-Agrève.
Publié dans Faits Divers 2016
vendredi, 27 mai 2016 09:34

Saint-Agrève : une chienne trouvée

Cette chienne erre depuis plusieurs jours sur le territoire de la commune de Saint-Agrève.

Si vous reconnaissez cet animal, contacter l'ACAMA (association contre l'abandon et la maltraitance animale) au 06 28 33 02 20.
Publié dans Dans le 07
vendredi, 27 mai 2016 07:54

Saint-Agrève : repas de la classe 76

Un repas de la classe 76 (année de naissance 1956) est envisagé début octobre.

Les classards intéressés sont invités à prendre contact auprès de l'une de ces personnes :
- Martine ASTIER au 06 89 45 70 48
- Roland FUMAS au 06 87 54 95 31
- Franck GAUSSENS au 06 09 62 79 60

Publié dans Brèves
Saint-Agrève est en perte de vitesse en terme de population avec une baisse attendue de 10 % sur les prochaines données fournies par l'Insee. Ce qui n'est pas sans conséquence pour le territoire.

-10 %. C'est la chute attendue de la population de Saint-Agrève après le dernier recensement alors que la ville comptait 2 528 habitants au recensement de 2013. On est bien loin des 3 500 âmes de la fin du XIXe et début XXe siècle. La commune connaît actuellement un solde naturel négatif. En clair, elle enregistre davantage de décès que de naissances. Sur l'année 2014, l'état civil a noté 46 décès pour 26 naissances. "Et cette année, nous avons connu un hécatombe en janvier", a ajouté Maurice Weiss, le maire de Saint-Agrève, lors d'une récente réunion publique où il avait été questionné sur le sujet.


La fermeture de la maternité comme unique raison ?
Saint-Agrève souffre immanquablement d'un déficit d'installations de nouvelles familles. Pour le maire, cela est en partie liée à la maternité. "On a perdu de l'attractivité après la fermeture de la maternité en 2008, et pas seulement pour ceux qui ont des enfants ou qui pourraient en avoir. Cela procure un sentiment de sécurité pour les gens. Pour moi, c'est une vue de l'esprit car on peut être en plein Paris et être à plus d'une heure d'un centre de santé."

Si Saint-Agrève a perdu des habitants, tout le territoire n'est pas perdant puisque des communes voisines ont bénéficié de l'arrivée de jeunes familles. Comme Mars et Devesset qui avaient des terrains à des prix intéressants et des taux d'imposition moins élevés. Mais cet argument était surtout vrai il y a dix ans car ces communes voient leur population stagner. Et la hausse n'explique pas totalement l'exode vécu par Saint-Agrève.
Publié dans Dans le 07
La municipalité de Saint-Agrève a fait le point cette semaine sur les projets de l'année à l'occasion d'une réunion publique. Tour d'horizon de ce qui attend les Saint-Agrévois cette année.

Fiscalité
Pour la 5e année consécutive, les impôts n'augmenteront pas. "Nous n'avons fait aucun emprunt en 2015. Pas un centime", ajoute Maurice Weiss, maire PRG de la commune. Dans le détail, la taxe d'habitation est à 9,97 %, le foncier bâti à 19,53 % et le foncier non bâti à 73,5 %.

Centre socio-culturel
Tout a été cassé en vue d'une rénovation complète du bâtiment. La restructuration a un coût prévisionnel de 680 000 euros. L'idée de ce chantier conséquent est de regrouper toutes les activités du centre socio-culturel sur un seul site. Les travaux, débutés le 7 janvier, doivent aboutir fin juin. L'école de musique doit aussi intégrer les murs. La maison de services au public sera installée au rez-de-chaussée. En début de semaine, les travaux extérieurs ont commencé, à savoir les aménagements sur la place Verdun. Un cheminement piétonnier jusqu'à la route du stade va être dessiné. Le double sens a été privilégié pour les véhicules avec un sens prioritaire.


Plateforme de l'ancien gymnase
L'ancien gymnase a été démoli. Il reste à présent à aménager la plateforme. Une somme de 118 000 euros a été notée sur le budget primitif du conseil municipal. Une réunion doit intervenir avant la fin mai avec les associations pour connaître leurs idées et leurs souhaits sur ce projet. Un petit terrain de foot pourrait être créé.


Parking sous le temple
Un parking de 24-26 places va être créé sous le temple, de l'autre côté de la route de l'école, sur un terrain acheté en 2014. Ce chantier de 86 000 euros va permettre de travailler aussi autour de la question de la sécurisation des écoliers. "Ce projet de parking est en lien avec l'aménagement futur du bourg", précise Maurice Weiss. Une étude de requalification du centre-bourg est envisagée cette année.


Jardin du monument aux morts
Tous les grands arbres vont être abattus et désouchés. Selon l'Office national des forêts, la moitié des douglas sont malades. Seul un arbre sera préservé : sur son tronc figure une plaque qui sera "soignée et bichonnée". De nouvelles plantations adaptées au climat remplaceront les grands arbres. Une source d'eau pourrait être réutilisée. Là aussi, une rencontre avec les associations devra permettre de cadrer le projet qui doit aboutir à cheval sur les années 2016 et 2017.


Panneaux lumineux
Deux panneaux lumineux vont être installés pour distribuer de l'information locale. Un panneau en couleur et avec une seule face poussera sur la place de la République. Un second sera fixé sur la place Verdun : il aura deux faces mais sera en noir et blanc. Cet investissement coûte 35 000 euros.


Dolce via
L'aménagement de la voie verte avance. La Dolce via devrait arriver à Intres en 2016. Saint-Agrève sera concerné en 2017. "On pourrait prolonger la voie verte jusqu'au lac de Devesset. C'est en discussion", informe le maire.


Radars pédagogiques
Deux radars pédagogiques vont être installés dans l'avenue des Cévennes et à Lichessol. "J'ai très souvent des gens qui viennent me voir pour se plaindre de la vitesse excessive dans l'avenue des Cévennes. On va en mettre un vers le monument aux morts et un autre un peu plus bas. A Lichessol, la vitesse indiquée sera plafonnée pour éviter tout dérapage.
Publié dans Dans le 07
Tags:
En 2016, une nouvelle épreuve fera son entrée dans le paysage : le Trail des Monts d’Ardèche, dimanche. Le départ et l’arrivée seront donnés au beau milieu du Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche dans le village de Saint-Agrève, à 1050 m d'altitude.

Pour cette première édition, deux épreuves sont proposées : un 10 km et un 20 km. Les inscriptions sont limitées à 150 dossards pour le 20 km et à 100 dossards pour le 10 km. Aucune inscription ne sera possible le jour de l’épreuve pour le trail.

Les terrains sont variés avec des pierriers, des monotraces, des chemins roulants et un minimum de goudron. Le 10 km dispose d'un dénivelé positif de 266 m tandis que le 20 km a un dénivelé positif de 880 m


Une formule rando sera également proposée pour ceux qui souhaitent avant tout se promener. Il vous sera possible de vous inscrire sur place pour la formule rando uniquement (supplément de 2€ pour les inscriptions sur place).

Horaires de départs : 20 km : 10 h 30 ; 10 km : 10 h 45 ; rando : de 8 à 9 heures

Tarifs : 20 km : 15 euros ; 10 km : 10 euros ; rando 10 ou 20 km : 5 euros (7 euros pour les inscriptions sur place)


Voir le site internet du trail



Voir le teaser officiel du trail ci-dessous

Publié dans Sport
Le chanteur Robinson sera à la salle des arts, vendredi avec les enfants de l'école maternelle et samedi seul sur scène.

La salle des arts de Saint-Agrève accueillera Robinson vendredi et samedi. Vendredi, les enfants de l'école maternelle vont se produire avec le chanteur. "Ce projet trottait dans les têtes depuis longtemps. Au côté de Robinson, nous découvrons et redécouvrons ses chansons et explorons l'univers du spectacle vivant", apprécient les enseignants.

"Nous apprenons avec lui à investir la scène, mettre en avant nos émotions, jouer un rôle, se confronter aux autres et présenter un spectacle de chansons", poursuivent les enseignants qui ont pu compter sur le soutien de l'association des parents d'élèves, la mairie et la médiathèque. Les élèves, accompagnés de l'artiste, présenteront un spectacle vendredi à guichets fermés.


Un concert à partager en famille
L'artiste sera de retour dès le lendemain, samedi 14 mai, pour chanter à nouveau et seul sur la scène de la salle des arts à 16 heures. L'occasion pour ce chanteur voyageur de faire partager ses textes tendres, piqués d'humour et ses mélodies riches aux parfums du monde. Il interprétera en particulier les titres de son dernier album. Un concert tous publics à partager en famille.

Les billets sont disponibles à l'école maternelle de Saint-Agrève (04 75 30 14 24), à la cave Picq-Farre (80 grande rue, 04 75 30 11 35) ou le jour du concert dans la limite des places disponibles au prix de 4 euros.


Robinson dans "Le Bals des épouvantails (vidéo)

Publié dans Loisirs 2016
Virginie et Brice Picot vont participer en direct à l'émission "Enquête de santé" sur France 5 le mardi 10 mai à 20 h 40. Ces parents de Saint-Agrève vont raconter la naissance de leurs jumelles, nées dans deux communes différentes en février sur la route menant à la maternité d'Annonay.

On se souvient généralement toujours de la naissance de ses enfants. Pourtant, Virginie et Brice Picot de Saint-Agrève se souviendront plus particulièrement de celle de leurs jumelles, leur quatrième et cinquième fille, nées dans des conditions périlleuses, le 1er février.

Lorsque Virginie, bien aguerrie aux aléas liés à une grossesse, maman de trois enfants, et qui plus est, aide-soignante de métier, avec une expérience à la maternité de Moze (fermée en 2008), à l'hôpital de Saint-Agrève, a appris qu'elle attendait des jumeaux, elle s'est organisée. "J'ai pris contact avec Christine Gambina, sage-femme au Chambon-sur-Lignon et pompier. Je pensais que ce serait la meilleure des choses que ce soit cette personne qui puisse m'accompagner si je devais être transportée en urgence par l'ambulance des pompiers à l'hôpital Nord de Saint-Etienne où j'étais suivie pour cette grossesse gémellaire."

L'accouchement ne se passe pas comme prévu

Mais les choses ne sont pas passées comme prévu. Lorsque la jeune femme, le 1er février, dans la nuit, à 3h45, perd les eaux, et sent les contractions se rapprocher à grande vitesse, elle sait qu'il faut faire vite. "J'avais l'expérience d'un premier accouchement extrêmement rapide. Il faut compter 1h30 pour aller à Saint-Etienne en sachant qu'on avait de la chance, pour un 1er février sur le Plateau, il faisait 6° C à 4 heures du matin et il n'y avait pas de neige." Lorsque Brice appelle le 15 et explique la situation au régulateur du SAMU, celui-ci ne veut rien entendre. Il signifie que ce sera un ambulancier privé qui va être dépêché au domicile des Picot pour prendre en charge Virginie. 

L'ambulancier, un voisin, est là en cinq minutes. Virginie explique que vu la fréquence des contractions (tous les quarts d'heure), il paraît peu prudent de faire le trajet en ambulance et le recours à un hélicoptère serait plus judicieux. "En hélico, on est à un quart d'heure de l'hôpital Nord." Rien n'y fait. Le régulateur, dont on imagine qu'il ne connait pas vraiment la topographie de ce territoire de montagne, choisit de faire transporter Virginie en ambulance privée jusqu'à l'hôpital d'Annonay, structure hospitalière dont elle dépend. Un médecin du SMUR, dans un véhicule rapide, est envoyé à la rencontre de l'ambulance. La jonction se fera à Saint-Bonnet-le-Froid.


La maman victime d'une hémorragie dans l'ambulance

En voyant arriver un médecin et un infirmier, Virginie se sent un peu rassurée, se détend... et accouche de Daenerys, entre Saint-Julien-Vocance et Vocance. "On s'est juste arrêté pour couper le cordon."  Virginie fait une hémorragie. C'est la panique. L'ambulance poursuit sa route aussi vite que les lacets de la route le permettent jusqu'à Annonay. La petite Yaelle patientera un peu et verra le jour dans la salle d'accouchement de la maternité d'Annonay. Mais Daenerys a souffert du froid dans l'ambulance. Elle arrive à l'hôpital avec une température de 34° C. Elle sera prise en charge durant quatre jours dans le service de péri-natalité.

Aujourd'hui, tout le monde se porte comme un charme et les jumelles Daenerys et Yaelle sont chouchoutées par les grandes soeurs Célia 14 ans, Sibylle 9 ans et Arwen 5 ans.

Pourtant, on a frôlé le drame. Et bien des questions restent en suspens. C'est pourquoi les Picot ont accepté de témoigner mardi, en direct, sur France 5 à l'émission Enquête de santé sur le thème "Avenir des maternités et hôpitaux de proximité", animée par Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymes.


Un focus sur l'association de défense de l'hôpital de Moze

Ce témoignage met aussi en lumière l'association de défense de l'hôpital de Moze, présidée par Pierre Bal : "On n'a plus de maternité depuis 2008 à Saint-Agrève et la chirurgie est partie en 2004. On dispose d'un centre péri-natal, mais ce n'est pas une maternité. On défend l'accès au soin qui corresponde aux besoins de la population. Le déficit de l'hôpital est toujours là. L'Agence régionale de santé impose le retour à l'équilibre budgétaire mais c'est elle qui nous met en difficulté en ne finançant plus. L'hôpital de Moze est condamné à finir en Ehpad et service gériatrique si on ne fait rien. On est face à une santé à deux vitesses."
Publié dans Dans le 07
Un jeune homme de 16 ans aurait tenté d’échapper aux gendarmes à Saint-Agrève (Ardèche) dans la nuit de lundi à mardi, rapporte le journal Le Dauphiné libéré.

Il circulait au volant d’une voiture volée et aurait tenté de se soustraire au contrôle des forces de l’ordre. Une course poursuite a été engagée dans les rues de la ville. Les gendarmes affirment avoir dépassé les 100 km/h pour suivre le jeune chauffard, indique encore le quotidien.

Bloqué dans une impasse, l’adolescent a pu être interpellé. Après une nuit à l’hôpital psychiatrique d’Annonay, il a été entendu. Il passera bientôt devant le juge des enfants.
Publié dans Faits Divers 2016
Ce lundi, Laurence Chardon a pris ses fonctions de directrice de l'Hôpital de Moze à Saint-Agrève. 

A 45 ans, Laurence Chardon s'apprête à relever le défi de conduire le centre hospitalier vers un maintien de ses activités et dans un projet de rénovation conséquent.

De la Provence au Plateau enneigé
La nouvelle directrice, Parisienne d'origine, a une formation initiale de kinésithérapeute qu'elle a complété ensuite avec un cursus en gestion. Elle a travaillé, notamment, durant sept ans à la Générale de santé, assurant la gestion de différents établissements de soins de suite et de réadaptation. Son dernier poste de direction dans un établissement psychiatrique doublé d'un centre culturel (Saint-Paul de Mausole), était à Saint-Rémy-de-Provence dans les Bouches-du-Rhône. La neige, fraîchement tombée pour son arrivée, lui a signifié qu'elle n'était plus dans le Midi d'entrée de jeu!

Deux-tiers de patients d'Ardèche, un tiers de Haute-Loire
L'Hôpital de Moze compte dans le paysage sanitaire du Plateau Vivarais-Lignon et incarne bien la dimension interdépartementale naturelle et historique de ce territoire. Car il rayonne sur un bassin de population de 30 000 habitants et draine deux-tiers de patients versant Ardèche et un tiers côté Haute-Loire.

Il comptabilise 80 places en maison de retraite (EHPAD : Etablissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes), 17 lits en soins de suite et réadaptation et 8 lits en médecine. On y assure de multiples consultations de spécialistes, une forte activité de coloscopie. Il est riche d'un centre de périnatalité, d'une pharmacie interne...

Il pèse aussi lourd en terme d'effectif puisqu'il constitue le deuxième employeur de Saint-Agrève avec 140 emplois (contrats à durée indéterminée et contrats à durée déterminée). Un atout non négligeable sur un secteur où les créations d'entreprises sont rares.

Un projet de rénovation à 20 millions d'euros
Henri Brottes, le président du conseil d'administration de l'Hôpital de Moze, le vice-président Jean-Claude Cheynel à ses côtés, signale : "Les relations avec les différentes tutelles, ARS (agence régionale de santé), diocésat... sont au beau fixe. Le défi est non pas le maintien du centre hospitalier qui a toute sa place sur le territoire, mais bien de convaincre les médecins spécialistes de venir exercer à la campagne." Une problématique malheureusement classique aujourd'hui en milieu rural.

Pour conforter encore Moze et assurer sa pérennité, un projet important de reconstruction et d'aménagement se dessine. Il consistera en une extension combinée à un réaménagement des locaux existants. Il s'agit donc de mobiliser les fonds pour cette opération majeure d'un coût de 20 millions d'euros.
Publié dans Actualités 2016
Page 6 sur 7