Afficher les éléments par tag : saint pal de mons

Rebondissement dans l’affaire du double meurtre de Saint-Pal-de-Mons. On a appris mercredi qu’une troisième mise en examen a été décidée dans la journée.

Outre les deux frères, meurtriers présumés de Romain, 45 ans, et Christophe, 46 ans, un troisième individu aurait joué un rôle. D’où cette mise en examen. Il n’a cependant pas été placé en détention provisoire.

Il n’aurait pas participé aux violences commises par les deux frères sur les deux victimes mais cet ami des deux meurtriers présumés aurait participé, de près ou de loin, à la dissimulation des deux corps. Le rôle exact reste à déterminer.

Publié dans Faits Divers 2017

L'enquête se poursuit autour du double meurtre de deux amis, Romain, 45 ans, et Christophe, 46 ans. Les deux meurtriers présumés, des frères de 22 et 24 ans, sont passés aux aveux. Mais leurs indications n'ont pas encore permis de retrouver le corps de Christophe.

Les gendarmes ont ratissé le secteur, effectué des recherches minutieuses, mais pour l'heure, ils n'ont pas encore mis la main sur le corps de Christophe, un homme de 46 ans, habitant à Saint-Pal-de-Mons, et qui aurait été tué en même temps que Romain, un copain de Saint-Didier-en-Velay qui a longtemps habité à Saint-Pal-de-Mons.

Les deux suspects sont frères

Leurs deux meurtriers présumés sont deux frères de 22 et 24 ans, interpellés mardi matin après les investigations des gendarmes qui ont réussi à remonter jusqu'à eux grâce à l'utilisation des cartes bancaires des deux victimes et des images de vidéosurveillance de banques à Saint-Just-Malmont et Saint-Didier-en-Velay. Le mobile serait une vengeance suite à un vol d'objets commis par les deux victimes dans l'appartement d'un des deux frères à "Lichemialle" à Saint-Pal-de-Mons.

Les interrogatoires se sont poursuivis jusqu'à jeudi après-midi. Les deux suspects, qui ont reconnu les faits, ont été mis en examen pour enlèvement et séquestration suivis de mort. La notion de barbarie n'a pas été retenue à ce stade de l'enquête. Ils encourent la réclusion criminelle à perpétuité.

Des indications pas suffisamment détaillées

Si le corps de Romain a été retrouvé le 18 février près du lac d'Esparron-de-Verdon, dans les Alpes-de-Haute-Provence, celui de Christophe reste encore introuvable. Les deux meurtriers présumés ont donné des indications aux enquêteurs. La seconde victime se trouverait dans le même secteur. "Les détails donnés sont insuffisants", indique Eric Maillaud, procureur de la République de Clermont-Ferrand.

Les deux frères doivent être présentés jeudi soir à un juge des libertés et de la détention qui devrait probablement décider de les placer en détention provisoire. Un juge d'instruction pourrait ensuite choisir de transporter les deux frères sur place, dans le Verdon, pour aider à retrouver le corps de Christophe.

Publié dans Faits Divers 2017

Un véhicule accidenté a été découvert mardi soir vers 23 heures sur la route entre Sainte-Sigolène et Saint-Pal-de-Mons. L'automobiliste aurait perdu le contrôle de cette Peugeot "206" break et aurait traversé la chaussée avant de percuter violemment le grillage d'un contrôle technique automobile puis du concessionnaire Citroën.

Le conducteur, un jeune homme de Sainte-Sigolène, n'a pas été blessé. Les gendarmes, qui ont essayé de le joindre mardi soir sans succès, devaient prendre contact avec lui.

C'est la deuxième fois en moins d'un an que la clôture du garage Citroën est ainsi détériorée le long de la route départementale par une sortie de route.

Publié dans Faits Divers 2017

Anthony Guerin ouvre mercredi 1er mars son garage automobile à côté du cimetière de Saint-Pal-de-Mons. Il propose de la mécanique et carrosserie. Pour la gestion administrative, il sera appuyé par sa femme Aurélie, qui garde son travail de cuisinière au foyer Saint-Nicolas à Montfaucon-en-Velay.

Après une expérience de vingt ans dans le métier, Anthony Guerin, 34 ans, a décidé de créer sa propre entreprise à Saint-Pal-de-Mons, une commune où il habite depuis six ans avec sa femme Aurélie et leurs deux enfants.

A 15 ans, Anthony Guerin débutait dans la mécanique, comme apprenti au garage Hilaire à Saint-Just-Malmont, sa commune d’origine. Au sein de cette structure, il obtenait tous ses diplômes en six ans : CAP peinture, CAP mécanique, CAP carrosserie et une mention complémentaire en électricité automobile.

Après l’apprentissage, il enchaînait comme ouvrier dans la même entreprise jusqu’en 2007, année où il intégrait le garage Manevy à Dunières. Puis de 2013 à 2017, il a travaillé au garage Bonnefoy à Marlhes.

Pour s’installer, il a trouvé un local de 250 m2 dans le chemin du Cimetière, auparavant occupé par l’entreprise SKE Koenig Equipements.

Informations pratiques

Guerin Auto Design est ouvert du lundi au vendredi de 8 heures à 12 heures et de 14 heures à 19 heures, et le samedi de 8 heures à 12 heures.

Téléphone : 04 71 66 71 88

Publié dans Dans le 43 2016

Il était 9 h 30 mardi quand deux joggeurs ont aperçu une voiture en contrebas du chemin de Lachamp à Saint-Pal-de-Mons. Le 4x4, de marque Santana, et sa remorque étaient dans une zone humide.

Au volant, ils ont découvert un homme inanimé. Ils ont commencé les massages cardiaques en attendant l'arrivée des secours.

Malgré l'intervention des pompiers et du Samu 42, appuyés de l'hélicoptère Elisa 42, l'homme âgé de 61 ans, a été déclaré décédé vers 10 h 30.

Il semblerait que ce sexagénaire, domicilié à Saint-Pal-de-Mons, récemment retraité, venait de récupérer du fumier dans un champ à proximité pour son jardin. L'effort réalisé pourrait être à l'origine de ce malaise cardiaque fatal.

Publié dans Faits Divers 2017

Comme à chaque début d'année, les anciens sapeurs-pompiers ont offert un casse-croûte matinal aux pompiers actifs de la caserne de Sainte-Sigolène/Saint-Pal-de-Mons.

Dimanche matin, les tripes étaient au menu de l'Amicale Sigo-Pal.

Publié dans Monistrol et environs
dimanche, 27 novembre 2016 18:11

Saint-Pal-de-Mons : un chariot élévateur prend feu

Les pompiers ont été appelés à 12 h 20 dimanche pour un départ de feu sur un chariot élévateur au sein de l'entreprise d'extrusion Bobino Plastiques. D'origine accidentelle, cet incendie n'a pas fait de dégât au sein de l'entreprise. Le feu a été rapidement maîtrisé.

Publié dans Faits Divers 2016

Un peu avant 15 heures, entre le rond-point et l'entrée d'agglomération de Saint-Pal-de-Mons, un automobiliste de 21 ans de Saint-Romain-Lachalm conduisant une Renault "Clio" a perdu le contrôle de son véhicule dans une légère courbe à droite.

Il  a heurté une Renault "Kangoo" utilitaire conduite par un homme de 49 ans de Saint-Pal-de-Mons, qui arrivait en face, puis une seconde voiture, une Peugeot "306", qui le suivait conduite par une femme de 40 ans habitant à Raucoules accompagnée de ses deux filles âgées de 10 et 8 ans.

Le conducteur du "Kangoo" a du être désincarcéré. Gravement touché à la tête, il a été fait appel à l'hélicoptère du Samu 42 pour le transporter par la voie des airs vers Saint-Etienne. Les quatres autres blessés plus légèrement touchés ont été transportés vers les hôpitaux de la Loire par la route.

Des prises de sang ont été réalisées pour déterminer la présence éventuelle d'alcool et de stupéfiants.

La route a été fermée à la circulation jusqu'à 16 h 30. Une vingtaine de pompiers ont été mobilisés.

La communauté de brigades de Saint-Didie-en-Velay est chargée d'établir les causes exactes de cet accident. Les garages Durieux de Saint-Romain-Lachalm et Golen'auto se sont occupés de retirer les épaves.

Publié dans Faits Divers 2016

La prise de commandement s'est déroulée vendredi soir aux casernes de Sainte-Sigolène/Saint-Pal et Monistrol-sur-Loire. Le capitaine Stéphane Pons se retrouve à la tête d'une centaine de pompiers

Le capitaine Stéphane Pons a officiellement pris ses fonctions le 1er octobre à la tête des casernes de Sainte-Sigolène/Saint-Pal et Monistrol-sur-Loire. Originaire du Puy-en-Velay, le capitaine a commencé sa carrière en 1989 dans les Yvelines avant de revenir rapidement en Haute-Loire où il a occupé plusieurs postes au Service départemental d'incendie et de secours : formation, CODIS et prévention. Ancien adjoint au chef de la caserne du Puy, il est désormais affecté à la gestion des centres de Sainte-Sigolène/Saint-Pal et Monistrol. "C'est une région en plein développement avec un fort potentiel démographique et économique", estime Stéphane Pons.

Treize ans à Monistrol pour Pascal Perrin

Il succède à Pascal Perrin, devenu chef du service prévision à la direction départementale depuis juin. Originaire d'Yssingeaux où il est par ailleurs président du club de triathlon, le capitaine Perrin sera resté treize ans à Monistrol. Il avait également pris la direction de Sainte-Sigolène/Saint-Pal en 2011. Originaire d'Yssingeaux, il a débuté sa carrière professionnelle à Argenteuil en 1991, puis à Courly Lyon de 1992 à 1998. En 1998, il était devenu adjoint au district du Puy.

Deux casernes très sollicitées

Le centre de secours de Monistrol a effectué 803 interventions en 2015 dont 648 secours à personne, 86 incendies, 6 risques particuliers et 63 interventions diverses. En 2016, le nombre de sorties devrait dépasser les 900 pour les 53 pompiers.

A Sainte-Sigolène/Saint-Pal, les 46 pompiers ont réalisé 488 interventions en 2015 : 388 secours à personne, 69 incendies, 1 risque particulier et 30 interventions diverses

Publié dans Monistrol et environs

Avec la fin des sacs plastiques, les entreprises sont amenées à se transformer. Certaines ont pris une longueur d'avance comme SES Emballages à Saint-Pal-de-Mons qui parvient à réaliser des produits à base de fécule de pomme de terre.

La société Stephany Emballages et Services (SES) démontre qu'il est possible de proposer des produits plastiques sans passer forcément par le pétrole.

Depuis 2006, Jean-Philippe Grail a développé des matières compostables, solubles dans l'eau ou fabriquées à partir de ressources renouvelables. "Les premiers plastiques étaient réalisés à partir de végétaux. C'est donc un retour aux sources", fait remarquer Jean-Philippe Grail, qui a intégré l'entreprise familiale en 1994.

SES a été créée par son père René en 1988 à Dunières. A la fin des années 80, après 25 ans comme directeur commercial, il avait décidé de se lancer dans le négoce d'emballages souples.

Dix ans d'expérience

Au fil des années, SES a développé de nouveaux concepts, histoire de se démarquer et de garder une longueur d'avance dans un secteur concurrentiel.

En 2002, les premiers sacs solubles sortent des extrudeuses. "Cela pouvait être des sacs pour les dosettes des lave-vaisselle ou des sacs pouvant recevoir du linge afin d'éviter la contamination", détaille Jean-Philippe Grail qui a collaboré avec des blanchisseries hospitalières.

"On a failli abandonner plusieurs fois"

En 2006, l'entreprise située entre Sainte-Sigolène et Saint-Pal-de-Mons se lance dans le bio en proposant ses produits à des thermes et des thalasso. Pour y parvenir, SES utilise de la fécule de pomme de terre, sans OGM. "Il y a dix ans, les fournisseurs ne sentaient pas le bio", se souvient Jean-Philippe Grail, qui a dû convaincre. "La crise de 2008 a freiné les avancées mais la COP21 et la fin des sacs plastiques reboostent le marché. Ce n'est pas évident et on a failli abandonner plusieurs fois."

7 millions d'euros investis en 2016

Les dirigeants de SES choisissent d'investir 7 millions d'euros cette année dans le matériel et l'immobilier. "On a besoin de s'agrandir. On va fabriquer des films de routage en bio au 1er janvier pour emballer les journaux et magazines. On va aussi fabriquer des sacs bretelles pour emballer les fruits et légumes, le pain tranché en boulangerie", détaille Jean-Philippe Grail qui propose aussi de la rubalise bio comme ce fut le cas lors de la course de côte de Dunières, et des nappes pour tables, des tabliers et des gaines de pressing.

"On peut arrêter de polluer, les solutions existent"

"Le bio, c'est d'abord des convictions personnelles et anticiper l'avenir. On peut arrêter de polluer la planète avec des solutions qui existent déjà. Et en passant au bio, on ramène de l'emploi en France", affirme le chef d'entreprise qui emploie 35 personnes et forme actuellement 8 autres personnes dans le but de les embaucher.

Pour l'heure, le bio concerne 10 % de l'activité de SES. En 2017, l'objectif est de passer à 25 % avant d'atteindre 50 % d'ici 2019.

Publié dans Monistrol et environs
Page 3 sur 4