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(Publi-reportage) La Maison Marguerite à Saint-Didier-en-Velay permet aux seniors de profiter d'un hébergement de qualité et de services sur-mesure. La Maison Marguerite, c'est mieux que la maison.

L'ancien hôtel particulier de la famille de la Fressange, en plein cœur de bourg historique de Saint-Didier-en-Velay, est devenu une chaleureuse demeure pour personnes âgées.

Dans ce cocon rénové et qui a gardé tous ses charmes (pierre apparente, escalier classé, plafonds à la française, boiseries), les seniors sont choyés et disposent d'espaces privatifs ainsi que des pièces communes.

Dix chambres équipées, des repas cuisinés sur place

Dix chambres soignées de 20 à 35 m2 sont aménagées, équipées de salle de bains privatives et meublées. Un ascenseur permet de circuler facilement entre le rez-de-chaussée et les étages.

Quatre salons sont à la disposition des résidents et un jardin avec tonnelle est directement accessible à l'extérieur.

La grande force de cette Maison Marguerite, ce sont les maîtresses de maison qui assurent une présence en journée, 7 jours sur 7. Nelly et Nathalie s'occupent ainsi des repas faits maison et peuvent guider les locataires dans leurs différentes démarches.

La fondatrice de Maison Marguerite gère Saint-Didier

Jacqueline Decultis, fondatrice du réseau Maison Marguerite et créatrice de la première maison à Tence, s'occupe de la gestion de la Maison Marguerite de Saint-Didier.

Ce que comprend la location

La Maison Marguerite est une véritable alternative aux maisons de retraite et a déjà séduit plusieurs personnes âgées à Saint-Didier. Il reste quelques chambres disponibles

Il faut compter 1 600 € par mois de reste à charge pour une personne seule et une chambre de 20m². Le tarif comprend le loyer charges comprises, le service à la personne (présence 7 jours/7 d'une maîtresse de maison pour la préparation des repas, les courses, le ménage, la gestion du linge, l'aide administrative, la téléassistance) et les fournitures alimentaires.

Ce tarif ouvre droit à des aides comme les APL…

Contact : 06 45 63 75 07 ou 06 82 61 62 59

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L'ancien hôtel particulier de la famille de la Fressange, sur la place de l'église à Saint-Didier-en-Velay devient une Maison Marguerite, un concept de domicile partagé pour personnes âgées. Son ouverture est prévue pour juin.

Cela faisait 20 ans que l'immeuble était inoccupé. A l'intérieur, les travaux ont permis de mettre à jour deux cheminées, d'apprécier les plafonds à la française, de mettre en valeur les boiseries, de sauvegarder les pierres sculptées dans le hall d'entrée. L'immeuble est une ancienne maison forte du XIVe siècle transformée en hôtel particulier de style classique par les seigneurs de la Fressange.

Septième Maison Marguerite à ouvrir

Cette Maison Marguerite, dont l'investissement s'élève à 750 000 €, sera la septième à ouvrir du réseau. Né à Tence, le concept a essaimé à Retournac, Roisey (Loire), Riotord, Yssingeaux, Le Chambon-sur-Lignon. D'autres projets sont en cours à Chasse-sur-Rhône et Sainte-Sigolène.

Des chambres personnelles et des espaces communs

A Saint-Didier, le projet est porté par Thierry Sabot et la maison sera gérée par Jacqueline Decultis, la créatrice de Maison Marguerite. Dix chambres de 20 à 30 m2 seront aménagés ainsi qu'un salon, une cuisine et une salle à manger pour les pièces communes. Une maîtresse de maison sera recrutée pour assurer la confection des repas et accompagner les locataires dans leurs différentes démarches administratives et leurs demandes quotidiennes.

Un loyer de 750 à 850 €

Les visites ont déjà commencé. Thierry Sabot et Jacqueline Decultis réalisent des visites à la demande. En ce qui concerne le loyer, il se situera entre 750 et 850 € par mois selon la chambre, auquel il faudra rajouter les différentes prestations et services.

Contacts

Thierry Sabot : 06 45 63 75 07

Jacqueline Decultis : 06 82 61 62 59

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Le collège Jeanne-d'Arc de Saint-Didier-en-Velay prépare chaque élève à son orientation en fonction de son projet personnel et de ses compétences à travers un suivi individualisé et des options.

Le collège est constitué de 15 classes pour 380 élèves avec une progression de plus de 13% sur cette année.

Les élèves sont encadrés par 35 enseignants et une équipe de vie scolaire de quatre personnes. Le collège est adossé à l’école primaire Jeanne-d’Arc qui compte plus de 200 élèves.

La finalité du collège, qui est ouvert à tous, est de permettre à chaque élève de pouvoir choisir en fin de troisième son orientation en fonction de son projet personnel et de ses compétences. Cela implique une très forte mobilisation de toute l’équipe pédagogique pour accompagner chaque élève dans une démarche individuelle à partir d’une approche de bienveillance.

La restauration

Plus de 350 repas sont servis chaque jour sur l’ensemble scolaire dans une salle de restauration moderne. Pour les collégiens, un système de self a été récemment institué. Chaque adolescent constitue son menu en suivant la règle : « Ce que je prends, je le mange ».

Des options pour tous les goûts

Le collège propose des options pour tous les élèves :

- Une classe bi langue en 6e avec la possibilité de choisir l’allemand en 2e langue vivante.

- Une classe football pour les 6e et les 5e ;

- Une classe théâtre sur tous les niveaux scolaires.

- Une classe VTT sur tous les niveaux scolaires.

- Une option latin dès la classe de 5e.

Les nouveautés 2020-2021

Pour la rentrée 2020-2021 chaque élève de 3e se verra proposer des parcours de réussite divers et variés leur permettant de lier les cours théoriques à des projets concrets comme par exemple :

- Réaliser un réel escape game

- Créer et gérer la web radio de l’établissement

- Mise en place de concours d’éloquence

- Se former aux gestes qui sauvent et à la vie citoyenne

- Apprendre à apprécier une œuvre d’art, un texte d’auteur… en français, en anglais.

Un projet d'agrandissement

L’Ogec réfléchit à l’horizon 2021 à une extension du collège pour mettre les élèves dans les meilleures dispositions possibles.

Un établissement familial

L’établissement fonctionne sur projet basé sur la confiance et l’écoute de l’autre en conservant la notion d’établissement familiale. Une approche individualisée est proposée pour les élèves présentant des troubles d’apprentissage.

La contribution familiale mensuelle va en fonction du nombre d’enfanst au foyer et des revenus des parents, allant de 17 à 45 euros par mois.

Coordonnées de l’établissement

Voir la page Facebook

Voir le site internet

Mail : college.jad@wanadoo.fr et administration@ec-jeannedarc.fr

Tel : 04 71 61 14 04 ou 06 80 63 38 36

Des vidéos pour mieux connaître le collège

Présentation du collège

2020 - Collège (présentation) from École & Collège Jeanne d'Arc on Vimeo.

Les options

2020 - Théâtre (présentation) from École & Collège Jeanne d'Arc on Vimeo.

2020-04-20 - VTT (présentation) from École & Collège Jeanne d'Arc on Vimeo.

2020-04 - Anglais - Fight with us against Cyberbullying.mp4 from École & Collège Jeanne d'Arc on Vimeo.

Projet européen

Collège - Projet Européen 2016-2017 - Vidéo Présentation CD43 from École & Collège Jeanne d'Arc on Vimeo.

L'école vue par les parents


Classe neige

Classe Neige 2014 - Mercredi from École & Collège Jeanne d'Arc on Vimeo.

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Dimanche après-midi, la foule des grands jours était à Saint-Didier-en-Velay pour le grand défilé de Carnaval. Tout au long du parcours, les 20 groupes et chars ont eu droit à une haie d'honneur.

Le soleil était promis et il a fait honneur à ce corso coloré, enjoué, sympathique. Au total, la Partie Carnaval était suivie par 15 chars et 4 groupes de musique : les Cariocas de Retournac, l'Eveil désidérien, l'Audacieuse de Lapte et la banda de Riotord.

Parmi les chars, tous ont fait preuve d'imagination pour animer ce défilé : les Copains d'abord se sont mués en Lego, la classe 1980 a ressorti les jeux et personnages de dessins animés de leur décennie, la classe 2022 était en cheerleaders, les Adreyts étaient en Egyptiens, la classe 2020 revenait de sa colo des 20 ans, la classe 2012 a revisité le Moyen-Âge, les pompiers ont campé tous les personnages phares de Tintin, Percet se cachait derrière les masques d'hommes politiques d'hier et d'aujourd'hui, l'association sportive AMSV était de sortie avec le village gaulois d'Astérix et Obélix, le Mad était évidemment dans l'esprit celtique avant son grand concert, la classe 2018 s'est transportée dans le Carnaval de Rio, la Péchoire revenait de Sibérie, et la classe 2021 fermait la marche en Marseillais.

Le défilé en vidéo

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Après le lancement jeudi avec les Sales, le Carnaval bat son plein ce week-end. La soirée de samedi affichait complet et le grand corso est programmé ce dimanche après-midi sous un soleil majestueux.

Samedi soir, le gymnase accueillait 200 convives pour une longue soirée d'animations. Sans Miss cette année, l'événement désidérien n'en demeure pas moins prisé et les bénévoles du GLAD (Groupe de loisirs et d'animations désidériennes) ont mis en place d'autres attractions.

Lors du repas dansant, animé par l’orchestre « Mephisto », les convives ont pu profiter d'un hypnotiseur. Les spectateurs les plus réceptifs ont pu laisser leur esprit entre les mains d’un spécialiste, François Roeygens. Cet ancien entraîneur de basket professionnel s'est reconverti dans l'hypnothérapie à Unieux après en avoir lui-même bénéficié.

Un show acrobatique gratuit ce dimanche matin

Ce dimanche matin, afin de remplacer l’élection des Miss, le GLAD a prévu un apéro musical avec la batterie fanfare L’Audacieuse de Lapte et un show acrobatique par « l’équipe spéciale des sapeurs-pompiers du Rhône ». Ce spectacle est à destination de tous, l’entrée est gratuite. Acrobates et gymnastes, 20 pompiers multiplient les sauts et les pirouettes.

20 groupes pour le corso

Et ce dimanche après-midi, rendez-vous à 15 heures pour le grand corso dans les rues pavées du vieux Saint-Didier.

Vingt groupes sont prévus : beaucoup de classards (1980, 2012, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022), l'AMSV, Mad (qui espère ne pas tomber en panne de char cette année), La Péchoire, les Adreyts, Percet, les pompiers et des musiciens (Cariocas, Eveil désidérien, banda de Riotord). Et bien sûr la Partie Carnaval en tête de cortège.

Dimanche 23 février

10 heures à 13 heures : show acrobatique des sapeurs-pompiers du Rhône, apéritif musical à la salle des fêtes. Entrée gratuite

15 heures : Corso du Carnaval

Mardi 25 février

20 h 30 : bal gratuit, masqué, costumé animé par Disco Sound Light

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Le 23 juin 2019, Gérald Mourier a vu son immeuble partir en fumée dans le centre historique de Saint-Didier-en-Velay, sur la grand place. Aujourd'hui, il attend toujours l'expertise judiciaire pour espérer faire tout reconstruire. Le propriétaire est lassé de toutes les démarches qui n'aboutissent pas.

Le 23 juin 2019, une coiffeuse a perdu son outil de travail, une locataire et ses enfants ont vu tout leur intérieur brûler. Et un propriétaire a vu 20 ans d'investissement partir en fumée. "Je n'oublierai jamais cette nuit où le gérant du salon de coiffure m'a réveillé pour me dire que ça brûlait."

"J'ai mis 20 ans à payer cet immeuble et puis est arrivé cet incendie. C'est très difficile à vivre. Pour l'instant, j'ai tout perdu."

Huit mois après les faits, l'immeuble est toujours dans le même état. Une planche empêche l'accès à l'intérieur. "J'ai passé l'été à réaliser les mesures conservatoires."

Un propriétaire désabusé

Aujourd'hui, le propriétaire désidérien se bat contre son assurance. "On me balade, je me demande s'il y aura une fin. Dans cette affaire, tout le monde était correctement assuré et on dirait que les assurances s'en fichent. La seule fois où ça a bougé, c'est quand un gendarme a envoyé un mail à mon assurance pour savoir où ça en était. Tout à coup, j'ai eu un rendez-vous rapidement, c'était en septembre. Aujourd'hui, je ne sais plus ce qu'il faut faire. Je crains qu'on cherche une raison pour se dédouaner et me faire porter la responsabilité pour éviter de devoir payer. En attendant, je continue de payer pour être assuré. L’immeuble est ouvert aux quatre vents et se dégrade !"

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Mardi après-midi, une semaine après l'annulation et le report de ce rassemblement, les écoliers des cycles 2 et 3 des écoles publiques de La Chapelle-d'Aurec et Saint-Didier-en-Velay se sont retrouvés au terrain stabilisé de Saint-Didier pour la course des droits des enfants.

Après La Chaise-Dieu et Lantriac, Saint-Didier accueillait une nouvelle étape de cette course symbolique. Les 230 enfants de l'école Françoise-Dolto (Saint-Didier) et des Marronniers (La Chapelle) ont couru sur un circuit de 500 m, empruntant les sentiers du parcours de santé : 9 minutes pour les cycles 2 et 12 minutes pour les cycles 3.

A raison d'un ticket par tour, les enfants cumulaient leurs distances pour connaître la longueur parcourue. Les cycles 2 ont réalisé 400 tours, soit 20 km, et les cycles 3 (moins nombreux) ont fait 310 tours, soit 15,5 km.

En parallèle, en s'inspirant de l'artiste Pef, chaque élève s'est lancé dans une illustration qui a rejoint celle des autres participants le jour de la course sur des panneaux représentant les lettres du mot St Didier.

Les écoliers chapelous et désidériens ont aussi participé à des jeux ludiques.

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Sur fonds de revendications nationales liées au manque de moyens, des agents de l'Ehpad Vellavi à Saint-Didier-en-Velay ont planté un piquet de grève. Le malaise oppose plus localement la directrice et des agents soignants.

A l'Ehpad de Saint-Didier-en-Velay, qui compte 108 résidents et 75 salariés, certains ont l'impression de revivre la crise qui remonte à dix ans en arrière. Le malaise couvait depuis quelques temps et il éclate cette semaine avec une grève de la part des personnels soignants titulaires.

Les revendications citées dans le préavis de grève

Les revendications sont à la fois d'ordre national et local. Dans le préavis de grève déposé par le syndicat CGT, il est indiqué "la sécurité des soins et des résidents, "l'arrêt du travail en sous-effectif récurrent, facilitant l’épuisement des soignants, "l’arrêt de l’accroissement excessif et continu de la charge de travail", "la nécessité de procéder à des mises en stage pour fidéliser les agents contractuels (arrêt de contrats abusifs)", "l’arrêt de la maltraitance institutionnelle envers les soignants et envers les résidents", "l'arrêt de la pression systématique de la direction sur le personnel soignant EHPAD", "l'arrêt du mépris du travail exercé par le personnel soignant" et "apporter des réponses et de l’apaisement concernant le conflit direction/soignants".

Jeudi après-midi, des agents de l'établissement public, rejoints par des collègues d'autres Ehpad du secteur (Yssingeaux, Monistrol, Aurec...) et des familles de résidents, ont planté un piquet de grève au bord de la rue.

Un médiateur sollicité

Le maire de Saint-Didier-en-Velay, Madeleine Chabanolle, est venue à la rencontre des grévistes pour annoncer une médiation sollicitée par la direction auprès d'une société spécialisée de Valence. "Je tiens au dialogue."

Un dialogue rompu

Du côté des agents, le dialogue est actuellement rompu avec la direction. "La directrice a indiqué que des sanctions seraient prises si nous participions au mouvement de grève. On n'est pas en grève pour le plaisir. On a essayé le dialogue sans succès", lâche une soignante. Selon la CGT, "100 % des agents titulaires participent à la grève, avec maintien des soins, des agents étant réquisitionnés". Toujours selon la CGT, "ici, il y a 40 % de titulaires contre 60 % de contractuels, c'est plus qu'ailleurs".

Selon un aide-soignant, le manque d'effectifs empêche la bonne organisation de leur travail. "Certains résidents n'ont pas pris de douche depuis trois semaines. Sur certains après-midi, on est deux aides-soignants pour 50 personnes.

Ce qu'en dit la directrice ?

La directrice a été nommée directrice en avril 2019 après douze mois en tant que directrice adjointe. "En ce qui concerne les revendications nationales, je les rejoins évidemment dès lors qu'il s'agit de sous-effectifs et de postes mal payés. On n'a pas la volonté de ne pas titulariser mais il faut pour cela disposer de candidats qualifiés, ce qui n'est pas le cas. Je ne me considère pas en conflit avec les agents. Et le mécontentement de certains ne doit pas être pris pour une généralité. A aucun moment ma porte n'a été fermée. On entend les difficultés des agents et on essaie d'y répondre."

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(Publi-reportage) Visitez gratuitement et sans engagement une maison passive PopUp House by Neoabita à Yssingeaux ce samedi 8 juin de 10 heures à 17 heures.

Pour la première année, Neoabita et ses partenaires s’associent à la Semaine du développement durable en présentant aux personnes qui ont un projet de construction, une visite d’une maison avec une résistance thermique exceptionnelle. Cette maison permet de consommer beaucoup moins d'énergie grâce au système constructif d'ossature bois des maisons PopUp House. « Nos maisons sont avec des matériaux 100 % recyclables pour la structure », fait-on savoir chez Neoabita, un cabinet de maîtrise d’oeuvre basé à Saint-Didier-en-Velay et spécialisé dans les constructions passives.

Lors de cette journée, vous pourrez découvrir ce système constructif passif. Vous pourrez échanger avec des professionnels de l’habitat autour votre projet et réaliser une étude de faisabilité gratuite et sans engagement.

L’énergie la plus écologique et économique, et celle que l’on ne consomme pas.

La journée porte ouverte gratuite est organisée dans une maison en construction (les finitions sont en cours). L’adresse vous sera communiquée après votre demande par message (katy@neoabita.fr) ou par téléphone au 04 71 75 39 86.

La visite se fera en continu samedi 8 juin de 10 heures à 17 heures

Retrouvez le lien de l’événement sur le site du ministère de la Transition écologique et solidaire en cliquant ici

Retrouvez le lien de l’événement sur la page Facebook de Neoabita en cliquant ici

neoabita new quadri

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Julie Tareriat organise une réunion dans le cadre du Grand Débat National vendredi 1er mars à 20 h 30 à la mairie de Saint-Didier-enVelay, dans une salle prêtée par la commune.

Cette réunion découle d'une initiative citoyenne et aura lieu en présence d'un garant désigné par la préfecture de la Haute-Loire. 

Deux thématiques ont été retenues parmi les quatre proposées : "démocratie et citoyenneté" et "organisation de l'État et services publics". 

Ce débat est ouvert à tous.

Plus d'informations : http://www.haute-loire.gouv.fr/grand-debat-national-a2761.html

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