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jeudi, 14 avril 2016 15:55
Yssingeaux : un dernier hommage rendu à Jean Blanc
Une paire de ski de part et d'autre de la grande porte de l'église Saint-Pierre d'Yssingeaux. Vingt-huit bâtons de ski alignés contre le mur latéral. Une haie de skis levés pour accompagner l'entrée du cercueil de Jean Blanc.
Ce jeudi après-midi, l'église yssingelaise était remplie pour rendre un dernier hommage à Jean Blanc, ce jeune homme d'Yssingeaux âgé de 22 ans, qui est décédé dimanche matin dans un accident de ski en Haute-Savoie. L'émotion était à son comble car la mort qui fauche trop jeune un être joyeux et généreux paraît toujours la pire des injustices.
Jean, ce fou de glisse toujours souriant, amoureux des sports extrêmes, a perdu la vie, maigre consolation, au coeur de ce paradis blanc où il s'adonnait avec fougue à sa passion.
La jeunesse du territoire, les copains d'enfance, les classards de la 2013, les copains d'ailleurs passionnés comme lui de montagne et de ski, ont accompagné, bouleversés, les proches de Jean dans cette épreuve.
Ce jeudi après-midi, l'église yssingelaise était remplie pour rendre un dernier hommage à Jean Blanc, ce jeune homme d'Yssingeaux âgé de 22 ans, qui est décédé dimanche matin dans un accident de ski en Haute-Savoie. L'émotion était à son comble car la mort qui fauche trop jeune un être joyeux et généreux paraît toujours la pire des injustices.
Jean, ce fou de glisse toujours souriant, amoureux des sports extrêmes, a perdu la vie, maigre consolation, au coeur de ce paradis blanc où il s'adonnait avec fougue à sa passion.
La jeunesse du territoire, les copains d'enfance, les classards de la 2013, les copains d'ailleurs passionnés comme lui de montagne et de ski, ont accompagné, bouleversés, les proches de Jean dans cette épreuve.
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Actualités 2016
samedi, 02 avril 2016 18:57
Monistrol-sur-Loire pleure Christian Lauranson-Rosaz
On connaît l'identité de la personne décédée lors du terrible choc frontal qui s'est déroulé vendredi soir à Tence. La victime est Christian Lauranson-Rosaz, professeur d'histoire du droit à l'Université Jean-Moulin (Lyon 3). Il était une éminente personnalité de Monistrol-sur-Loire où il résidait avec son épouse. Ce père de quatre grands enfants était impliqué dans la vie associative dans son domaine de prédilection : l'histoire.
En effet, Christian Lauranson-Rosaz était le président de l'association Les Amis du Château de Monistrol-sur-Loire qui s'attache à mettre en valeur l'ancien château des évêques du Puy via des manifestations culturelles variées , des expositions, des concerts sans oublier les GastrÔleries, un événement autour de la gastronomie en novembre. D'ailleurs, ce samedi 2 avril, sous l'impulsion des Amis du château, une exposition du collectif OsMose sous l'intitulé "La Destructuration du temps", démarre au Château des évêques.
Christian Lauranson-Rosaz né en 1952 à Autun (Saône-et-Loire), avait été étudiant, puis assistant à l’Université Jean-Monnet de Saint-Étienne, puis maître de conférences de 1985 à 1996. Il sera nommé professeur à l'Université d'Auvergne (Clermont I), où il a exercé de 1996 à 2002. Depuis 2002, il excerçait en qualité de professeur à l'Université Jean-Moulin (Lyon 3).
Docteur d'État en histoire du droit en 1984 (Université de Paris X-Nanterre), sa thèse, avait porté sur L’Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudan) du VIIIe au XIe siècle. Outre sa thèse et des articles variés, il a notamment collaboré à La France de l’An Mil (dir. Robert Delort, Paris, Seuil, 1990), à l’Atlas de la France de l’An Mil (dir. Michel Parisse, Paris, Picard, 1994) et à l’Album Gerbert (École des Chartes, Paris, 1996).
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Faits Divers 2016
mercredi, 16 mars 2016 20:29
Nécrologie : Paul Gagne Le Puy-en-Velay
Paul Gagne, 84 ans, est décédé le 14 mars. Cette personnalité a marqué le monde entrepreneurial de Haute-Loire, et singulièrement le bassin ponot. Car ce forgeron de Costaros a su formidablement coller aux évolutions du monde agricole et du bâtiment plus largement. Et il s'est hissé au premier plan dans le domaine de la charpente métallique.
Paul Gagne était le fondateur, avec son frère Roger, de l'entreprise "Constructions du Velay" en 1963 qui employait alors une vingtaine de salariés. L'entreprise deviendra, en 1970, "Gagne frères SA", ayant grimpé à 90 salariés avec une production de 180 tonnes par mois.
D'investissements en positionnements judicieux, tels la construction de l'usine de Taulhac en 1996 puis son agrandissement en 2001, son entrée sur le marché des ouvrages d'art en 1998, l'entreprise s'est développée régulièrement jusqu'à atteindre 220 salariés et 1000 tonnes produites par mois en 2003.
Depuis 2012 la société Gagne, dont le directeur général est Pierre Raymond, est devenue une entité du groupe Briand.
Paul Gagne était le fondateur, avec son frère Roger, de l'entreprise "Constructions du Velay" en 1963 qui employait alors une vingtaine de salariés. L'entreprise deviendra, en 1970, "Gagne frères SA", ayant grimpé à 90 salariés avec une production de 180 tonnes par mois.
D'investissements en positionnements judicieux, tels la construction de l'usine de Taulhac en 1996 puis son agrandissement en 2001, son entrée sur le marché des ouvrages d'art en 1998, l'entreprise s'est développée régulièrement jusqu'à atteindre 220 salariés et 1000 tonnes produites par mois en 2003.
Depuis 2012 la société Gagne, dont le directeur général est Pierre Raymond, est devenue une entité du groupe Briand.
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Etat Civil 2016
vendredi, 11 mars 2016 18:15
Le doyen des Français avait des attaches en Haute-Loire
Le doyen des Français, Robert Bourdon, est décédé à 109 ans dans le Midi. Il avait des attaches fortes avec la Haute-Loire. Il était notamment bien connu dans l'Yssingelais.
Sa belle-fille, Marie-Françoise Bourdon, vit à Saint-Maurice-de-Lignon. En effet, Robert Bourdon était le père de Jean-Claude Bourdon, vétérinaire, engagé dans les combats pour la préservation de l'environnement, décédé en avril 2014.
Robert Bourdon aurait eu 110 ans le 25 mars. L'ancien ingénieur, issu d'une lignée d'inventeurs, avait fait carrière à EDF. Il était connu pour ses faits de Résistance. Depuis sa retraite, il était établi dans le village de Saint-Etienne-de-Tinée (Alpes-Maritimes) près du parc du Mercantour.
Robert Bourdon était devenu le doyen des Français le 13 janvier, après le décès de Roger Gouzy dans l'Aude.
Sa belle-fille, Marie-Françoise Bourdon, vit à Saint-Maurice-de-Lignon. En effet, Robert Bourdon était le père de Jean-Claude Bourdon, vétérinaire, engagé dans les combats pour la préservation de l'environnement, décédé en avril 2014.
Robert Bourdon aurait eu 110 ans le 25 mars. L'ancien ingénieur, issu d'une lignée d'inventeurs, avait fait carrière à EDF. Il était connu pour ses faits de Résistance. Depuis sa retraite, il était établi dans le village de Saint-Etienne-de-Tinée (Alpes-Maritimes) près du parc du Mercantour.
Robert Bourdon était devenu le doyen des Français le 13 janvier, après le décès de Roger Gouzy dans l'Aude.
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Actualités 2016
