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(Publi-reportage) Le jeune entrepreneur Clément Garnier recrute quinze salariés pour accompagner le plein développement de l’entreprise de maçonnerie à Yssingeaux. Malgré des chantiers à mener et du matériel neuf, il peine à trouver de la main d’œuvre. Les divers avantages débloqueront-ils la situation ?

Après avoir créé son entreprise de maçonnerie et terrassement en 2014, suite à une expérience dans le génie civil pendant huit années, Clément Garnier continue sa fulgurante ascension. Aujourd’hui, ce fils d’agriculteur est à la tête d’une entreprise qui compte aujourd’hui 20 salariés. Un bâtiment est en cours de construction sur la zone de Groumessomme à Yssingeaux pour abriter les bureaux et stocker tout le matériel.

Du matériel neuf, un bâtiment avec bureaux en construction

Clément Garnier investit aussi dans le matériel et les machines. Pour améliorer les conditions de travail et réaliser des chantiers avec qualité, il fait le choix de mettre à disposition de ses salariés des équipements à la hauteur.

De multiples avantages

Le jeune entrepreneur yssingelais valorise aussi les salariés à travers des revenus valorisants. « Chez moi, la rémunération moyenne mensuelle est de 2 500 € net. Cela comprend plusieurs avantages : prime d’assiduité, panier repas, chèque Cadhoc, 13e mois en Plan Epargne Entreprise, 14e mois en participation aux bénéfices. Ma vision, c’est donnant-donnant. Les bénéfices qu’on fait, c’est notamment grâce aux salariés, on doit le partager. »

Clément Garnier ajoute : « Le métier de maçon a été dénigré et l’est encore aujourd’hui en raison de sa difficulté physique. Mais dans mon entreprise, les ouvriers disposent de matériel neuf et adapté, ce qui réduit grandement la pénibilité »

15 postes à pourvoir

La SAS Clément Garnier cherche ainsi 3 chefs d’équipe, 6 ouvriers qualifiés et 6 manœuvres pour former de nouvelles équipes et répondre aux sollicitations des clients, professionnels et particuliers, qu’il s’agisse de constructions de bâtiments industriels, bâtiments agricoles, villas, agrandissement, terrasses, piscines, rénovation de corps de ferme, assainissement, etc.

Coup de gueule

Clément Garnier regrette le manque de candidats. « Il est de plus en plus difficile de trouver de la main d’œuvre, on répond à des chantiers, on achète du matériel et on a l’espoir de trouver des salariés. Je recrute aussi bien des hommes que des femmes, des jeunes et des moins jeunes. Je cherche simplement des personnes qui savent être à l’heure et qui sont volontaires. Il est incompréhensible aujourd’hui de proposer des offres d’emploi et de ne pas trouver de candidats. »

En ce qui concerne l’inflation actuelle, « nos PME ne peuvent pas la répercuter chez le client car les devis sont signés et la majorité d’entre eux sont étranglés par le manque de pouvoir d’achat. Nos PME sont en danger si le gouvernement n’intervient pas d’urgence pour réguler l’envol des prix actuel ! »

Contact : 06 33 45 02 94 ou sas.garnier.clement@gmail.com

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Depuis mercredi, Anthony Mendes et Raphaël Migevand ont succédé à Michel Suc. L'entrepreneur est parti à la retraite.

Michel Suc avait à coeur de transmettre son affaire. Il a fait le choix de proposer à ses deux ouvriers de lui acheter son entreprise de maçonnerie.

Anthony Mendes, 22 ans, et Raphaël Migevand, 33 ans, sont arrivés dans l'entreprise il y a quatre ans, à un mois d'intervalle. Ils prennent les rênes de cette société en profitant d'une opportunité. "On avait le souhait de nous mettre à notre compte, c'est arrivé plus vite que prévu", admettent les deux associés qui ont créé la SARL Migevand Mendes Maçonnerie Suc. "J'aurais pu vendre à quelqu'un d'extérieur mais je n'aurais pas été satisfait. Avec Raphaël et Anthony, il y a une suite logique. C'est ce qui m'allait le mieux."

Deux associés et un apprenti

Ils poursuivent l'oeuvre commencé par leur ancien patron et développent leur activité dans le gros oeuvre, les bâtis de pierre mais surtout la rénovation et le rejointoiement de façades.

Ils sont toujours accompagnés de l'Yssingelais Thomas Champanhac, qui a obtenu le CAP et prépare actuellement le bac pro maçonnerie. Ils envisagent de passer la formation pour obtenir le label "éco artisan".

Des AMV à la maçonnerie

Michel Suc est depuis mercredi à la retraite. Il s'était installé en 2004 après une première vie aux AMV à Yssingeaux (1975-2002) où il avait occupé plusieurs postes : à l'atelier, dessinateur industriel, bureau de méthode, informatique, configurateur de produits.

A la fermeture des AMV, il s'était reconverti dans la maçonnerie après avoir envisagé un temps de proposer des prestations multiservices. "J'avais ce côté manuel, j'avais construit ma maison quasiment seul." Fils de maçon, il a ainsi épousé une nouvelle carrière en lien avec les origines familiales. "Le plus court chemin pour m'installer était de suivre une formation", indique Michel Suc, qui a passé neuf mois à l'AFPA pour se présenter à un CAP maçon avec un parcours adapté.

Il va garder un pied dans le métier

Désormais, il compte profiter de son temps libre pour faire de la randonnée, développer sa passion du patois, s'investir au sein de la CAPEB, le syndicat des artisans du bâtiment, et poursuivre la formation au CFA de Bains. Peut-être aura-t-il aussi l'occasion de se mettre au jardinage. "Pour une fois, je serai peut-être plus fort que l'herbe."

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs