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Le lycée Eugénie-Joubert et l'Ensemble scolaire catholique ont renforcé leurs liens ces dernières années.

Des liens géographiques évidents mais pas simple, tant les deux structures relèvent de deux ministères différents : le ministère de l'Agriculture pour Eugénie-Joubert et le ministère de l'Education nationale pour l'Ensemble scolaire catholique. 1200 jeunes fréquentent les deux sites, de la maternelle au BTS, 110 enseignants et 30 salariés y travaillent.

Il reste encore deux associations gestionnaires séparées

Le rapprochement s'est concrétisé en 2014 dans le cadre de la réorganisation des bâtiments du lycée du Sacré-Coeur et encore plus depuis avril 2016 et le déménagement dans les nouveaux locaux. Les deux établissements partagent dorénavant le même pôle administratif, des salles de travail, la cafétéria, la salle des profs. Que reste-t-il de séparé? "Les deux associations gestionnaires", répond Richard Barthélémy, directeur de l'ESCY. "Il n'y a pas d'objectif de fusionner", ajoute-t-il.

Des économies financières évidentes

Ces liens restent novateurs dans l'univers de l'éducation nationale et la vice-présidente de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a profité des derniers jours d'école pour venir rencontrer les responsables des deux établissements. "De plus en plus d'écoles vont le faire", pense Richard Barthélémy qui y voit d'abord "un gros intérêt financier". "L'économie est réelle mais difficile à chiffrer." L'avantage est aussi de pouvoir briser la frontière entre l'enseignement général et professionnel.

Le lycée poursuit ses travaux

L'établissement poursuit sa mue avec la 3e tranche des travaux qui progresse. Le self est quasiment opérationnel et les élèves pourront ainsi en profiter à la rentrée. L'ancien préau se transforme en self pour le primaire et le collège. L'ancien self sera dédié à la cafétéria pour le lycée. Tous les travaux devraient être livrés pour la fin 2017. Le coût de ce dernier volet est de 2,1 millions d'euros.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

L'Ensemble scolaire catholique d'Yssingeaux affiche de traditionnels bons résultats au baccalauréat à l'issue du premier groupe, avec 93% de réussite en filière Economique et Sociale (ES); 89% pour les littéraires (L) avec 89% et une mention "Très bien"; 88% pour les scientifiques (S) et 4 mentions "Très bien".

Le passage aux épreuves de rattrapage devrait encore améliorer ses scores.

La cerise sur le gâteau, pour certains, est de décrocher aussi une mention. C'est le cas pour Cloé Chanal et Fanny Faure. Ces deux jeunes scientifiques ont empoché une mention "Très bien" avec plus de 16 de moyenne. La première intègrera une école d'ingénieurs à Lyon, la seconde Polytech à Clermont-Ferrand en biochimie.

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La Classe à horaire aménagé musique (CHAM) du collège Saint-Pierre-Sainte-Anne d'Yssingeaux a offert un magnifique voyage jeudi à travers les cultures et traditions musicales du monde.

C’était également l’occasion d’applaudir les performances vocales et instrumentales des élèves et d’admirer des talents qui s’affirment d’année en année.
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Les travaux progressent à l’Ensemble scolaire catholique. Ce vendredi matin, 120 élèves de 4e, des lycéens, des parents et des professeurs volontaires ont déménagé les meubles et les documents du bâtiment actuel vers les nouvelles salles. Onze classes ont été déménagées. Les premiers cours dans les nouveaux murs sont donnés dès l’après-midi. « On avait déjà fait appel aux élèves en 2012 pour le déménagement des anciens locaux du Sacré-Cœur et ça avait bien fonctionné. Les collégiens s’investissent », apprécie Richard Barthélémy, le proviseur de l’ESCY.

La seconde partie du déménagement sera réalisée en juin pour le futur self à la place du foyer couvert actuel.



Le déménagement en vidéo
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Une centaine de collégiens en 6e de l’Ensemble scolaire catholique d’Yssingeaux se sont retrouvés mardi pendant quelques heures dans la peau de sportifs handicapés. Au gymnase de Montbarnier, guidés par Sébastien Lioud, responsable départemental handisport dans la Loire, les élèves du collège privé ont participé à des activités sportives : courses, tir à l’arc, sarbacane, tir à la carabine, courses avec lunettes spéciales, basket en fauteuil, parcours en fauteuil. « L’idée est de changer leur regard sur le sport et le handicap », indique Richard Barthélémy, le proviseur. La sensibilisation semble avoir porté ses fruits. « On a fait du foot sans entendre. Ça fait très bizarre, ça change notre façon de jouer. Du coup, on fait beaucoup de signes », reconnaît Hohgan.

Le sujet sera de nouveau évoqué d’ici la fin de l’année scolaire lors des cours d’éducation morale et civique.

Et le 16 juin, cent élèves de 6e d’Yssingeaux et quarante de Tence iront encourager l’équipe de France féminine de basket handisport qui jouera à Andrézieux-Bouthéon dans le cadre d’un tournoi de préparation aux Jeux Olympiques de Rio.
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