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L'Ama-Théâtre sera en représentation le samedi 10 novembre à 20 h 30 à la salle du Calibert au Mazet Saint-Voy.

Les cinq comédiennes (Danièle Raviciotti, Gladys Rigaud, Pascale Blanc, Djamila Lhote et Sarah Gstalder) de la troupe du Chambon-sur-Lignon joueront "Louise elle est folle" de Leslie Kaplan. Une pièce à la fois drôle et engagée qui interroge sur la société d'aujourd'hui, en perte de sens.

Danièle Raviciotti interprètera en première partie "Pourquoi elle était dans le magazine et pas moi ?". Puis Pascale Blanc et Gladys Rigaud, deux voix duelles, s'accusent, se renvoient la balle, évoquent une absente, Louise, comme une façon de désigner ce qu'en aucun cas elles ne veulent être.

Enfin, Djamila Lhote et Sarah Gstalder incarnent deux femmes obnubilées, l'une par son ordinateur, l'autre par son amour perdu.

L'ensemble est mis en scène par Annie Gueirouard.

Libre participation.

Publié dans Haut-Lignon
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Sous le titre "Un meting pot de drôles d'histoires"', dix comédiens de la troupe AMA-Théâtre ont invité le public à plonger dans l'univers artistique tranché de cinq auteurs notables où l'humour noir, le rire jaune le disputent à la franche comédie.

Vendredi soir, aux Bretchs, au Chambon-sur-Lignon, une petite centaine de spectateurs ont pu apprécier les interprétations acidulées et entraînantes de "Dimanche" de Jean-Michel Ribes, "La Peur des coups" de Georges Courteline, "La Loge P3" de Gildas Bourdet, "Monsieur moi" de Jean Tardieu, "Le Mois de Marie " de Thomas Bernhard.

Publié dans Haut-Lignon
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Rendez-vous est donné samedi 28 mai, à 20 h 30, au Mazet-Saint-Voy, pour aprécier la pièce de Jean Genet "Les Bonnes". 

La troupe AMAThéâtre a choisi un texte fort. Cette oeuvre tragique et violente, écrite en 1947 par Jean Genet, bouscule et laisse un sentiment de malaise au spectateur. 

L'intrigue met e
n licdeux domestiques, Claire et Solange, qui travaillent pour une riche patronne avec laquelle elles entretiennent une relation assez floue. Les deux bonnes s’habillent même avec les robes de leur maîtresse, lors de scènes où les personnages mélangent leurs rôles. Jean Genet joue avec le double sens du mot « maîtresse », comme il a joué avec le mot « bonne », pour rappeler l’ambivalence des sentiments des deux sœurs pour leur patronne.

Les personnages et les circonstances de ce drame fictif présentent de nombreuses similitudes avec l'affaire des soeurs Papin, un véritable fait-divers sanglant survenu quatorze ans plus tôt. L'auteur a, toutefois, toujours nié s'en être inspiré. On peut lire dans cette tragédie une satire brûlante de la bourgeoisie du XXe siècle.

A réserver aux adultes et adolescents.

"Les Bonnes" de Jean Genet, salle de mairie, au Mazet-Saint-Voy
Samedi 28 mai à 20 h 30
Avec Elizabeth Ducarre, Gaëlle Diraison, Fredéric Roux
Dans une mise en scène de Gabriel Lespinasse
A partir de 14 ans
Libre participation au chapeau
Publié dans Loisirs 2016