Conseillère municipale depuis 2008 et conseillère régionale depuis 2015, Caroline Di Vincenzo sera la tête de liste de la majorité sortante pour tenter de succéder à François Berger.
Caroline Di Vincenzo mènera l'équipe de la majorité sortante aux élections municipales de mars 2020 à La Chapelle-d'Aurec. Une commune qui a dépassé la barre des 1 000 citoyens et qui passe donc au scrutin par liste avec parité obligatoire.
Six arrêts, huit arrivées
Des quinze conseillers actuels, neuf repartent. Les six arrêts concernent le maire François Berger (qui restera conseiller départemental), l'adjoint Rémy Guicherd et les conseillers Florian ravel, Serge Bonnaire, Véronique Brossard et Audrey Jolivet.
Les nouvelles têtes se nomment Yves Darles, Coralie Ravel (la femme de Florian Ravel qui arrête), Yvette Chol, Stéphanie Blanchard, Boris Rigaudon, David Rodrigues, Jocelyne Montet et Christian Fauvet.
La liste comptera donc 15 noms et deux suppléants.
Des élus âgés de 32 à 70 ans
Caroline Di Vincenzo, 35 ans, sera l'une des plus jeunes. Mais elle dispose déjà d'expérience avec quinze années en tant que présidente du comité des fêtes qu'elle avait relancé alors qu'elle n'avait que 20 ans. Elle a été élue en 2008 en tant que conseillère municipale. Depuis 2014, elle est 3e adjointe et s'occupe tout particulièrement de l'école, de la vie associative et sociale. Et depuis 2015, elle est conseillère régionale au sein de la majorité de Laurent Wauquiez.
Au côté de la tête de liste, on retrouve Eric Petit comme bras droit. Il est 1er adjoint depuis 2014 après deux mandats de conseiller de 2001 à 2014.
Les projets envisagés
"On compte poursuivre les projets engagés comme l'aménagement de l'entrée du bourg côté stade pour créer un chemin piéton de l'école au stade et faire ralentir la vitesse ; on aura aussi l'installation de la coiffeuse et de l'esthéticienne dans l'ancienne supérette et la création d'une petite scène pour le théâtre de verdure. On va engager une réflexion pour la cantine qui compte actuellement 100 enfants et trois services. On va au moins maintenir ces effectifs quelques années."