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Un accident s'est produit lundi matin peu avant 9 heures sur la RD500, entre Saint-Just-Malmont et Firminy. Non loin du barrage, à la limite entre Loire et Haute-Loire, la conductrice d'une Opel "Astra" aurait perdu le contrôle de sa voiture dans la descente sur une route mouillée.

L'Opel "Astra" est partie sur la gauche et a heurté une Mini "Cooper" qui arrivait en sens inverse.

Seize pompiers de Saint-Just-Malmont, Firminy et Velay Semène ont été engagés pour secourir les trois personnes impliquées. La conductrice de l'Opel, une femme de 50 ans, a été évacuée pour examens sur l'Hôpital Nord. La conductrice de la Mini, une femme de 34 ans, a été emmenée aux urgences de Firminy.

Pour l'adolescente de 13 ans, passagère de la Mini, l'hélicoptère du SAMU, Helisa 42, a été sollicité. L'engin s'est posé sur un délaissé et la circulation a été coupée pendant son intervention. L'adolescente a été emmenée en "urgence absolue" sur l'Hôpital Nord.

Publié dans Faits divers

Dimanche, 190 descendants de la famille Cottier se sont retrouvés, 20 ans après le premier rassemblement du genre.

Ils ont tous un descendant commun. Dans les archives, Jean-Louis Cottier remonte jusqu'à Jean Cottier en 1750, lequel quitte "Marnhac" à Yssingeaux. Ce veuf va s'installer successivement à "Bonnevialle", "Lavalette" et enfin "Rougeac" à Rosières. Après Jean, on retrouve Jean-Lui à "Haute Vialle", Jean-Claude à "Lavalette" et Claude Antoine à "Rougeac". C'est à partir de ce dernier que le rassemblement dominical s'est organisé. 

Claude Antoine a eu 13 enfants avec Marie-Antoinette Rousset dont deux enfants sont morts à la naissance. Et sur les 11 autres, ils étaient 9 garçons et 2 filles. Le nom Cottier (qui s'est d'abord écrit Cothier) est peu courant. Jean-Louis Cottier a retrouvé une photo de 1904 où son arrière-arrière-arrière-grand-père pose avec ses enfants lors de la construction de la maison qu'il habite encore à "Rougeac" à Rosières.

Dimanche, une grande frise réalisée par Jean-Marc Oubrier à Cyber 2000 à Vorey-sur-Arzon a permis de remonter l'arbre généalogique de chacun avec 708 noms inscrits.

En 2004, la famille Cottier s'était réunie pour la première et seule fois. Ce dimanche, 20 ans après, de nouvelles agapes ont permis de rassembler près de 200 descendants, repérables par lignée.

Ils ont promis de ne pas attendre 20 ans pour organiser les prochaines retrouvailles.

Publié dans Puy et Agglo
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Alors qu'un Sud-Africain était le favori de la 41e édition, ce sont finalement les Kenyans qui ont tiré leur épingle du jeu dimanche sur les 15 km du Puy-en-Velay.

Aucun record n'est tombé dimanche mais le spectacle a été assuré. La décision s'est faite dans les 500 derniers mètres de l'épreuve. Après que le Sud-Africain Thabang Mosiako a lâché prise, il ne restait que deux Kenyans en tête : Vincent Kimaiyo et Léonard Langat. La victoire s'est jouée au sprint avec une victoire de Kimaiyo, 20 ans, en 43'57.

Aurélien Rivet est le premier local en 49'06 mais n'a pas réussi à accrocher le record décroché en 2023 par Thibaut Imbert. Julien Rabaca, originaire de La Chapelle-d'Aurec, aujourd'hui à Clermont, s'en est approché en 47'54.

Chez les femmes, Winnie Kimutai, 22 ans, avait une longueur d'avance et s'impse en 49'40. Mathilde Sénéchal est la première Française, 30e en 53'40, juste devant Anne-Sophie Begon, une ancienne Altiligérienne licenciée à Roanne et de retour de blessure.

Sur les 5 km, Velay Athlétisme s'est montré aux avant-postes avec un succès de Baptiste Gibert.

Classements

15 km

5 km

2 km

Publié dans Sport

Les habitants du quartier de "Crouzilhac" à Tence réclament des vérifications poussées et un ajustement du réseau électrique après des incidents à répétition sur leur réseau domestique.

Des micro-coupures, des ampoules neuves qui grillent, des variations d'intensité, des coupures répétées, des appareils qui s'éteignent ou s'allument sans intervention humaine, des boxs internet rendues hors service, des portes de garage qui s'ouvrent au milieu de la nuit. Quatorze habitants de ce quartier de Tence ont décidé de faire entendre leur voix, ils ont monté un collectif et ont interpellé la commune et Enedis.

Des variations anormales de l'intensité des ampoules

Jeudi soir, un habitant a pris la parole face aux absences de réponses. "Nous demandons juste à Enedis une vérification complète du réseau électrique, ceci afin de nous garantir l'absence de dysfonctionnements au titre de notre sécurité domestique", indique Bernard Le Luduec.

Ces multiples variations d'intensité de la lumière à leurs domiciles les interrogent, d'autant que le quartier a été marqué par plusieurs feux d'habitation, sans que le lien avec un problème du réseau électrique soit démontré. Mais ces faits divers survenus chez des voisins rajoutent un climat anxiogène auprès des riverains. "Mon consuel a été vérifié par un expert, il est parfait. J'ai tout mis au rez-de-chaussée car on ne se sent pas totalement serein", reconnaît M. Le Luduec.

Des vérifications faites, des enregistreurs sur les transformateurs

Chez Enedis, des vérifications ont été entamées : "Le 15 avril dernier, après avoir été informées des inquiétudes de 14 clients concernant l'alimentation électrique du village Crouzilhac, nos équipes techniques sont intervenues sur place pour réaliser un contrôle complet du réseau public de distribution d'électricité. La ligne électrique HTA (ligne 20 000 volts) alimentant le village a été inspectée et plusieurs vérifications ont été menées sur les deux postes de distribution d'électricité auxquels est raccordé le quartier. Enedis n'a détecté aucune anomalie", indique le service communication du distributeur d'électricité.

Enedis va poursuivre ses investigations "en mettant sous surveillance les deux postes de distribution publique pour une période de 3 semaines. Enedis continue de dialoguer avec le porte-parole du collectif de clients ainsi que le maire de la collectivité afin de les tenir informés de l'avancée du diagnostic".

Publié dans Haut-Lignon
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Samedi soir, Blavozy et Monistrol ont fait match nul dans le derby en Régional 1. Un résultat qui fait les affaires des Carriers, quasiment maintenus. En revanche, Monistrol devra faire un résultat contre Thiers pour la dernière journée.

Il ne reste qu’un seul match et difficile de faire le point avec des calculs d’apothécaires. Les cinq derniers descendront mais le moins bon 7e des trois groupes de R1 pourrait suivre en fonction de la situation en National 3.

Compliqué. Blavozy est maintenu à 95 %. Monistrol est en ballottage favorable mais devra peut-être gagner contre Thiers lors de la dernière journée le 19 mai selon les autres résultats de la poule.

Ce samedi, Monistrol a eu la possession du ballon et la maîtrise technique. Mais comme à l’aller, Blavozy s’est montré très réaliste sur sa première opportunité, sur un corner. Le défenseur Madassa Bathe est venu placer le cuir sous la lucarne sur un second ballon.

L’USM a égalisé en seconde période par Alexandre Assaf mais doit se contenter de ce match nul. Un point qui permet aux hommes de Christophe Mourier de gagner une place et de potentiellement se maintenir. Mais plusieurs poursuivants ont gagné et peuvent encore lui passer devant.

BLAVOZY : 1

MONISTROL : 1

But pour Blavozy : Madassa  Bathe (10e)

But pour Monistrol : Alexandre Assaf (53e)

Blavozy : Luca Vallery, Yanis Moulin, Allan Agillianon, Madassa Bathe, Anthony Bonnefoy (cap.), Thomas Lhoste, Pierre Gentes, Louis Falcon, Tom Payzac, Pierrick Pezaire, Théo Falgon, Gaëtan Favier, Guillaume Lhoste, Jessy Roux.

Monistrol : Théo Blachon, Jules Bardel, Florent Jourzac, Logan Simon, Pierre Petrot (cap.), Victor Defour, Zachary Ez Zahouany, Baptiste Manus, Quentin Reydellet, Alexandre Assaf, Akram Azougagh, Gabin Barres, Corentin Cheynet, Valentin Marconnet.

Publié dans Sport
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Ouvert depuis neuf mois, l'IRM a déjà dépassé le seuil de rentabilité en réalisant 3800 examens depuis son ouverture. Cet équipement médical, installé dans l'ancienne chapelle de l'hôpital d'Yssingeaux, permet de gommer les inégalités d'accès aux soins.

L'imagerie par résonnance magnétique (IRM), un outil de dernière technologie, a déjà répondu aux attentes à l'hôpital d'Yssingeaux. Depuis son ouverture à l'été 2023, l'IRM a réalisé 3800 examens, dont 44 % d'Yssingelais, alors que le seuil de rentabilité est de 3500 par an.

Les demandes de rendez-vous dépassent le bassin yssingelais et ses 80 000 habitants puisque des patients viennent de l'Ardèche et de l'Ondaine.

Après l'IRM, le scanner ?

"La chapelle soignait jadis les âmes. Aujourd'hui, cet IRM soigne les corps", formule Pierre Liogier, le maire d'Yssingeaux. Il a profité de l'inauguration samedi après-midi et des partenaires pour évoquer le sujet du scanner. Alors que l'IRM a été installé au rez-de-chaussée, un espace a été aménagé pour un éventuel futur scanner. "Tout est prêt. Mais la démographie médicale nous préoccupe."

Laurent Wauquiez, président de Région, estime que "l'accès à la santé est la plus grande inégalité. L'espérance de vie en zone rurale évolue six fois moins vite qu'en métropole". Au sujet de l'IRM, "la tendance était d'installer ce 3e IRM de la Haute-Loire au Puy. C'était une gageure de le mettre à Yssingeaux." Il a promis pour le scanner désiré "le même engagement de financement de la part de la Région".

Lutter contre le renoncement aux soins

Serge Fayolle, délégué départemental de l'Agence Régionale de la Santé, né à Yssingeaux, assure que cet équipement "lutte contre le renoncement aux soins". "Cela a mis du temps mais cet équipement est nécessaire", ajoute le préfet Yvan Cordier alors que le projet a été initié en 2016 et l'autorisation de l'ARS date de 2019.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
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Samedi matin, d'importants moyens ont été engagés après un départ de feu dans le local chaufferie de l'église de Raucoules.

Ce samedi devait être un jour de fête avec un baptême en fin de matinée et surtout la vogue en fin de journée. Mais la journée a débuté par un incendie dans l'église située au coeur du village de Raucoules.

L'alerte a été donnée à 7 h 30. Une vingtaine de pompiers de Montfaucon-en-Velay, Dunières et Sainte-Sigolène/Saint-Pal ont été engagés. L'accès à la chaufferie a été rendue délicate. Une seule porte permet d'y accéder et un coffret électrique se trouvait à l'entrée. Les pompiers ont attendu l'intervention d'Enedis qui a coupé le courant avant de pouvoir pénétrer dans le local.

Ils ont aussi arrosé à travers les fenêtres qui ont explosé sous la chaleur et depuis le toit, situé en bordure de route au rez-de-chaussée. Les pompiers ont détuilé une partie.

Si le feu a pu être contenu dans le local chaufferie, d'importantes fumées se sont dégagées, notamment dans l'église même. Les secours continuaient d'éteindre le feu avant d'envisager de retirer tous les déblais et de réaliser une reconnaissance du bâtiment pour constater les dégâts et les mesures à prendre.

L'accès au bourg a été fermé pour permettre aux secours d'intervenir sereinement.

Publié dans Faits divers

Boris Chave et Anthony Sahuc ont choisi d'arrêter d'entraîner les seniors de Sucs et Lignon. Les dirigeants, qui ont étudié plusieurs candidatures, ont fait le choix d'un entraîneur qui a plusieurs années d'expériences en Régional 1.

Pour le futur entraîneur comme pour les présidents de Sucs et Lignon, c'était le choix numéro un. Jeudi soir, le bureau de l'USSL a validé la nomination de Thomas Lhoste comme prochain entraîneur du club en Régional 2.

Il n'a connu qu'un seul club

Pour ce Blavozien de 34 ans, il quitte son club de toujours, Blavozy. Il a pris sa première licence à 4 ans et n'a jamais connu d'autre club. Après quatre années en tant qu'entraîneur de 2019 à 2023 puis un retour cette saison en tant que joueur, Thomas Lhoste, a ressenti l'envie d'entraîner à nouveau. En contact avec plusieurs clubs, sa préférence allait à l'USSL qui sort de deux années convaincantes en Régional 2. C'est le fruit d'un groupe au potentiel grandissant mais aussi le travail mené par ses deux entraîneurs, Boris Chave et Anthony Sahuc, des produits pur suc. Faut-il rappeler qu'ils ont pris l'équipe dans un contexte difficile, avec aucune victoire. Ils en ont fait une équipe compétitive.

L'USSL est devenue attractive

Les dirigeants de l'USSL auront mis un mois à trouver le bon candidat. Là où cela pouvait être difficile il y a quelques saisons, les présidents Pierre Vial et Sébastien Valentin ont eu l'embarras du choix pour ce poste clé. "On dispose d'une bonne équipe de R2. Mais on veut franchir un cap. On peut voir que le club est devenu attractif."

Une séduction mutuelle

Les deux parties se sont rapidement mises d'accord. Le discours collectif de Thomas Lhoste a plu aux dirigeants yssingelais qui ont présenté leur futur technicien vendredi soir aux joueurs. "Pour nous, Blavozy est une référence. C'est un club familial, solide. Thomas va nous apporter son expérience", indiquent les présidents.

Pour Thomas Lhoste, éducateur jeunesse au Département dans la vie civile, "l'USSL est sur une bonne dynamique. Les installations, la qualité des joueurs, l'esprit m'ont plu. Ça cochait pas mal de cases."

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Vendredi matin, pendant 90 minutes, un hélicoptère de l'Armée de l'air s'est posé sur le stade de rugby, permettant aux élèves de La Lionchère de découvrir cet appareil et de rencontrer trois militaires.

C'est une chance que peu d'adolescents ont. Vendredi, les collégiens de la 6e à la 4e (les 3e étaient en épreuve du brevet) ont profité de la venue d'un hélicoptère de l'Armée de l'air venu de la base d'Orange. Ce Fennec s'est posé sur le terrain de rugby et l'équipage a expliqué son fonctionnement aux collégiens. Cinq d'entre eux étaient particulièrement intéressés.

Ils sont engagés dans l'option BIA, le Brevet d’Initiation Aéronautique (BIA), qui leur permet d’obtenir le premier sésame vers l’univers aéronautique en partenariat avec l’aéroclub du Puy pour la partie pratique. Le collège dispose de deux instructeurs chevronnés, avec le principal Dominique André et Dorothée Silkowska, qui possèdent le CAEA (Certificat d'Aptitude à l'Enseignement de l'Aéronautique). Ils sont pilotes d'avion en avion et parapentistes aux sein du club des Hommes Oiseaux.

Les collégiens tençois s'étaient rendus le 27 mars à la base aérienne 115 à Orange (Vaucluse) qui héberge l’escadron d’hélicoptères 1/65 Alpilles. Ce vendredi 3 mai, les militaires jouaient le match retour dans le cadre d’un exercice sur les terres altiligériennes pour montrer l’hélicoptère Fennec en action et faire suite à la présentation statique sur la base.

Publié dans Haut-Lignon

Après les esclandres ayant abouti au forfait des deux équipes seniors et à la suspension du président, le FC Aurec est repris par un nouveau bureau qui veut miser sur les jeunes et remonter le club.

Depuis quelques semaines, des mamans et des éducateurs ont repris les rênes du FC Aurec. Coralie Chapuis, qui était trésorière en début de saison, est la nouvelle présidente. Frédéric Combier est vice-président, Aurélie Utrera secrétaire et Cindy Ruzza trésorière. Ces mamans ont choisi de s'engager pour leurs enfants. "On ne voulait pas que tout s'arrête, que nos enfants subissent les sanctions des seniors."

S'appuyer sur les jeunes

Il ne reste actuellement au FCA qu'une seule équipe engagée en compétition, les U12-U13. Et un groupe d'adolescentes a sollicité Frédéric Combier pour les entraîner. Elles pourraient débuter la compétition la saison prochaine.

Les dirigeantes se disent bien entourées, de la part de la mairie d'un côté, et du District de l'autre. La charge de travail est lourde et la nouvelle équipe veut relever le challenge, se projetant sur la saison prochaine.

Y aura-t-il encore une équipe seniors ? "On en discute, on ne sait pas encore si on répondra favorablement à la demande d'anciens."

"Tout le monde a sa place au club"

Mais ce qu'elles savent, "c'est qu'il y aura des règles à respecter, des valeurs à mettre en avant pour redorer l'image du club". "La priorité, ce seront les jeunes. On veut développer le foot pour tous. Il faut aussi que les Aurécois s'engagent, on a besoin de tout le monde. Si des jeunes viennent, il faudra des éducateurs pour les entourer. Mais rien n'est perdu, on est confiant. Dès lors qu'on respecte les valeurs du sport, tout le monde a sa place au club."

Publié dans Loire Semène
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