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(Publi-reportage) Le territoire Val’Eyrieux possède trois zones d’activités diversifiées et à taille humaine, à proximité immédiate de bourgs-centres. Parmi elles, la zone d’activités de Rascles à St-Agrève propose une offre de zonage sur mesure à des entreprises qui souhaiteraient s’implanter sur le plateau ardéchois.

Située à 1h15 de Valence et Saint-Etienne et à 50 minutes seulement du Puy-en-Velay, Rascles possède un environnement propice à l’innovation avec un accès à la fibre optique, des industries de pointe déjà installées comme Eolane ou Mecelec, et la présence d’un fablab à proximité, au Cheylard.

Des efforts sur l'attractivité de Saint-Agrève

La zone d'activités est à proximité immédiate du centre-ville de Saint-Agrève, qui regroupe l'essentiel des services (commerces, crèche, école, collège..).

La municipalité mène de nombreux projets pour dynamiser son centre ville et renforcer son attractivité : réfection de la traversée du centre bourg, travail sur les locaux commerciaux du centre, point d'entrée de La Dolce Via.

1 700 entreprises sur Val'Eyrieux

1 700 entreprises ont déjà fait le choix de Val’Eyrieux, dont plus de 400 autour de Saint-Agrève. S’installer sur ce territoire 2e pôle industriel de l’Ardèche et 1er centre européen de la bijouterie, est l’assurance d’intégrer un bassin multisectoriel actif.

De plus, grâce à son pôle entrepreneurial Pôleyrieux, la communauté de communes Val’Eyrieux propose un accompagnement aux entreprises locales et, le cas échéant, les seconde sur la mobilisation d’aides à l’investissement et d’exonérations financières ZRR selon leur situation.

20 € le mètre carré

La zone d’activités de Rascles dispose de terrains allant de 800 à 5 000 m2, au prix de 20€ HT/m2, avec un total de près de 10 000 m2 commerciables immédiatement.

Informations auprès de Pôleyrieux au 09 70 65 01 17 ou sur www.poleyrieux.com.

Publié dans Dans le 07

Les communautés de communes du Pays de Montfaucon et du Haut-Lignon ont uni leurs forces pour développer la zone économique d'Aulagny, de part et d'autre de la Départementale 500 entre Montfaucon et Tence.

On se trouve sur le territoire de Montregard et uniquement de Montregard. Mais les terrains qu'avait acheté il y a plusieurs années le Pays de Montfaucon appartenaient aux hospices de Tence. "On a acheté le sol. A chaque fois qu'on abat les arbres pour utiliser le terrain, l'argent de la vente de bois revient aux hospices", indique Bernard Souvignet, maire de Raucoules et président du Pays de Montfaucon. "Sur les 10 hectares achetés, il doit en rester 3-4."

Dans ce dossier, les deux collectivités se partagent les frais à 50-50. Le Pays de Montfaucon a mené les travaux et avancé les dépenses. En fin d'année, le Haut-Lignon paie la moitié. Le but est d'apporter des réponses immédiates aux entreprises recherchant du terrain pour des projets, le plus souvent urgents.

Un dossier à rebondissements

Cet aménagement s'étend sur 5,6 hectares : 34 000 m2 sur le secteur de la "Cumine" (vers SDRTP, Neyron et Sahuc) et 22 000 m2 sur le secteur des "Touches" (vers SRPM). 1,3 million d'euros ont été engagés avec des aides de la Région (250 000 euros) et du Département (250 000 euros).

Ce dossier a connu des rebondissements et des défections. L'entreprise Cintrafil, qui devait s'y installer, construit finalement son usine à Tence sur la zone du Fieu, et une fleur protégée, la campanule, a retardé le chantier. Une bande de 7 200 m2 est ainsi gelée pour épargner la campanule rhomboïdale, une espèce protégée en Auvergne.

Une entreprise déjà installée

Un premier bâtiment a été construit. Il s'agit de celui de l'entreprise d'Aurélien Rancon, grumier à Chenereilles, qui a réservé une parcelle de 4 000 m2 et pourrait encore s'agrandir.

D'autres sociétés vont s'installer à l'image du garage Dupuy de Tence. Neyron (maçonnerie) et Sahuc (négoce de produits BTP) sont intéressés pour s'agrandir sur de nouvelles surfaces à aménager.

De nouveaux terrains réservés, des capacités d'agrandir

Et samedi matin, deux entrepreneurs ont réservé des parcelles de 5000 m2 chacun. Vincent et Guillaume Tardy, spécialisés dans le photovoltaïque, veulent construire un bâtiment équipé de panneaux solaires pour ensuite le louer à l'image d'une pépinière d'entreprise. Et Anthony Marcon, charpentier à Montregard, s'est engagé pour un terrain.

Des parcelles restent encore disponibles, 10 000 m2 d'un côté et 15 000 m2 de l'autre. "Et on a encore 2-3 hectares à classer en zone d'activités pour l'avenir", annonce Bernard Souvignet.

Publié dans Haut Pays du Velay