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« Mon Ange » : ce qu'on peut reconnaître de la Haute-Loire dans la série de TF1
Jeudi soir, deux des quatre épisodes de la mini-série « Mon Ange » étaient diffusés à partir de 21 heures sur TF1. Où l'on reconnaît des lieux familiers de Tence, du Chambon-sur-Lignon, de Sainte-Sigolène, ainsi que quelques figurants du coin.
Il y a ce que les téléspectateurs voient. A savoir Muriel Robin, Marilou Berry et Patrick Chesnais. Et ce que le téléspectateur altiligérien réussira à reconnaître au sein de cette mini-série qui plante son décor dans une commune fictive au "Lignon" en cumulant les prises de vue en différents lieux de la Haute-Loire, comme Tence, Le Chambon-sur-Lignon, Sainte-Sigolène, et de la Loire pour ce qui est du commissariat.
Tence clairement identifiable
Dans ses choix de réalisation, Arnaud Mercadier préserve l'identité des villages utilisés. On reconnaît ainsi d'entrée le pont de Tence avec le Lignon qui coule, la grande-rue, la rue d'Annonay, la place de l'office de tourisme, le Central Bar sur la place de la mairie, la Sérigoule, la pharmacie, l'Ensemble scolaire Saint-Martin devenu un lycée, le cinéma et la salle Maria-Bonnet.
Le Chambon, Devesset, Sainte-Sigolène...
Au Chambon-sur-Lignon, l'ancien hôtel de la route de Saint-Agrève retrouve de sa superbe avec un décor d'époque typique.
Aux portes du Chambon, le site du Moulin de Montabonnet (chambres d'hôtes) à Devesset, a aussi accueilli le tournage pour plusieurs scènes.
A Sainte-Sigolène, la série a utilisé l'étang du Villard. Sous une pluie soutenue, les pompiers plongeurs du SDIS 43 avaient aussi fourni du matériel.
Le chien de la série est né en Haute-Loire
Une centaine de figurants locaux ont répondu au casting pour participer au tournage.
Et personnage secondaire ô combien important, le chien qui accompagne Muriel Robin est celui de Corinne Gabbia, de Mars. Indiana, un berger australien né à Saint-Jeures, crève l'écran au moins au cours de ces deux premiers épisodes.
La suite et la fin seront diffusées jeudi 13 janvier à 21 heures sur TF1.
Tence se prépare à recevoir le tournage du film "Mon Ange" avec Muriel Robin
Le film "Mon Ange" avec Muriel Robin va débuter le vendredi 16 avril à Tence. Le village du Haut-Lignon se prépare à accueillir le tournage avec une incidence sur la circulation et le stationnement pendant deux semaines.
Attention, action ! Tence a été choisi pour le tournage du film "Mon Ange", produit par UGC Fiction pour TF1. Le tournage de cette mini-série (4 épisodes de 52 minutes) va occuper le centre du village pendant deux semaines. "C'est une entreprise de 50 à 60 personnes qui débarque", formule le maire David Salque-Pradier, ravi de cette communication pour le village. "C'est un atout pour le territoire."
La mairie a pris un arrêté municipal pour codifier les règles de circulation et de stationnement dans la grande rue, la place Saint-Martin, la place du Chatiague, les rues d'Annonay et de Saint-Agrève.
Sens inversé dans la rue des Ecoles
Une déviation sera obligatoire pour les poids-lourds. Les voitures seront autorisées mais des arrêts de quelques minutes seront décidés pour le tournage des scènes.
La seule modification de la circulation concerne la rue des Ecoles. La rue restera en sens unique mais dans le sens inverse du 16 au 28 avril. La rue d'Annonay sera totalement fermée aux piétons et voitures de la mairie à l'intersection avec la rue des Ecoles le mercredi 21 avril à partir de 14 heures et le mardi 27 avril à partir de 10 heures, pour des scènes de manifestation et d'un embouteillage.
La Haute-Loire plutôt que le Pays basque
Le tournage pourra aussi bien se faire de jour comme de nuit. "L'éclairage public sera maintenu", prévient le maire. Tence a été choisi pour les scènes extérieures, le spectateur devrait ainsi facilement reconnaître le village. Des scènes seront aussi tournées au Chambon-sur-Lignon, Sainte-Sigolène et Saint-Etienne.
Initialement prévu dans le Pays Basque, la mini-série va finalement se faire en Haute-Loire, la production ayant apprécié l'ambiance de village, la campagne.
Un tournage pensé dans les moindres détails
Damien Gayrard-Laval, régisseur général, et Bertrand Dupuy, régisseur adjoint, étaient encore à Tence jeudi pour finaliser les derniers réglages. "On fait le lien entre le tournage et la vie. On s'occupe de la logistique, de l'intendance, des autorisations. 50 techniciens vont intervenir sur ce film. Il a fallu trouver des gîtes et des hôtels pour les héberger."
Le plan temporaire de circulation
