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Le Magazine « Le Point » a sorti le classement 2016 des hôpitaux. Le centre hospitalier Emile-Roux du Puy-en-Velay se distingue dans trois domaines.

Plusieurs critères sont élaborés par « Le Point »pour réaliser le classement des hôpitaux français, qu'ils soient publics ou privés : activité, notoriété, ambulatoire, technicité, spécialisation, coeliochirurgie, indice de gravité des cas traités, évaluation de la mortalité.

L’hôpital ponot Emile-Roux se classe dans le top 30 dans trois domaines.

Ophtalmologie
Le classement compte 299 hôpitaux pratiquant la chirurgie de la cataracte. Celui du Puy est 30e avec une note de 16,45.

1 256 interventions ont été pratiquées. Six médecins composent ce service

ORL (Oto-rhinp-laryngologie)
336 hôpitaux pratiquant la chirurgie du nez et des sinus ont été notés. Le centre hospitalier ponot se classe 18e avec une note de 16,98. Les cinq médecins de ce service ont pratiqué 163 interventions.

Chirurgie vasculaire 
Le classement compte 364 hôpitaux pratiquant la chirurgie des varices. Le Puy est 22e avec 299 interventions pratiquées et une note de 16,07. Deux médecins composent le service.

Saint-Etienne 18e, Clermont 15e

Le CHU de Saint-Etienne se classe 18e du classement général. l'établissement a été primé pour le traitement de 41 pathologies dans 13 spécialités médicales.

Le CHU de Clermont est 15e. 43 pathologies ont été distinguées dans 12 spécialités.

Publié dans Actualités 2016

La direction du centre hospitalier Emile-Roux avait accusé des syndicalistes d'être à l'origine de coupures électriques le 16 juin. Deux semaines après les faits, la CGT Energie et FO Energie veulent rétablir leur vérité.

Le jeudi 16 juin, de brèves coupures électriques avaient affecté le Centre hospitalier Emile-Roux. Les installations de secours avaient immédiatement pris le relais. "Après analyse de l’origine de ces évènements, il ressort que ces incidents sont liés aux manipulations par des personnels syndicalistes de l’entreprise ex-ERDF, aujourd’hui Enedis, qui, sans autorisation, se sont introduits dans notre poste de livraison électrique et ont modifié des paramètres de comptage électrique sur notre optimiseur électronique, en entraînant malheureusement la suppression des contrôles indispensables d’intensité, ce qui a causé les coupures observées", stipulait le communiqué de presse transmis le lendemain aux médias et signé du directeur de l'établissement, Jean-Marie Bolliet. Le directeur se désolait de ces "agissements irresponsables" et promettait de porter plainte.

Une fourniture de l'énergie non décomptée

Aujourd'hui, deux semaines après les faits reprochés, les syndicats CGT et Force ouvrière répondent au centre hospitalier dans un communiqué de presse commun. Les syndicats évoquent une "fourniture de l’énergie non décomptée du Centre hospitalier Émile-Roux à partir du lundi 13 juin à 21 heures", une "intervention des équipes d’Enedis (ex ERDF) le jeudi 16 juin matin avec un huissier qui a constaté l’ouverture des fusibles tension du compteur qui a uniquement pour effet la suspension de l’enregistrement de l’énergie consommée."

"Le directeur n'assume pas les défaillances"

Les syndicats contre-attaquent : "S'il y a eu, et visiblement il y a eu des problèmes d’alimentation le jeudi 16 matin annoncés par la presse locale, cela est dû uniquement à un défaut sur les installations électriques intérieures de la seule responsabilité du directeur du CHER. Les propos rapportés par la presse locale ne sont donc qu’un tissu de mensonges qui n’ont qu’un but : décrédibiliser l’action syndicale. Si « agissement irresponsable il y a », c’est sûrement celui du directeur qui n’assume pas les défaillances, probablement par manque de moyens, pour assurer la sécurité des installations et donc, celle des patients."

Publié dans Actualités 2016
Des brèves coupures électriques, qui auraient été provoquées par des grévistes, ont affecté jeudi le Centre hospitalier Emile-Roux au Puy-en-Velay.

Ces petites coupures d'électricité ont à chaque fois été suppléées par les installations de secours qui ont pris le relais.

Dans un communiqué de presse, la direction de l'hôpital indique : "Après analyse de l’origine de ces évènements, il ressort que ces incidents sont liés aux manipulations par des personnels syndicalistes de l’entreprise ex-ERDF, aujourd’hui Enedis, qui, sans autorisation, se sont introduits dans notre poste de livraison électrique et ont modifié des paramètres de comptage électrique sur notre optimiseur électronique, en entraînant malheureusement la suppression des contrôles indispensables d’intensité, ce qui a causé les coupures observées."


La direction de l'hôpital Emile-Roux devait déposer plainte "contre des agissements irresponsables qui, s’ils n’ont eu cette fois que des retentissements matériels, mettent à rude épreuve nos installations de secours et menacent la sécurité des soins".

Ces dommages font écho à la coupure de fibre optique, par du personnel syndicaliste, qui avait privé de téléphonie et d’internet, l’hôpital et ses services d’urgences et de garde, début mai, pendant plus de 9 heures.
Publié dans Actualités 2016