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Coupures d'électricité : le retour à la normale
La situation revient progressivement à la normale en Haute-Loire pour les 1500 foyers qui avaient été privés d'électricité, samedi, à la suite des vents violents.
Les équipes d'Enedis et Cegetel sont à pied d'oeuvre depuis hier pour résoudre les problèmes en installant notamment des groupes électrogènes et en remplaçant les lignes abîmées.
Ainsi dimanche matin, les techniciens intervenaient aux Hostes au Mazet-Saint-Voy, où des arbres s'étaient couchés sur les lignes, de même qu'à Saint-Maurice-de-Lignon.
Tempête : encore 1 500 foyers privés d'électricité
La tempête Leiv a provoqué plusieurs dégâts sur le réseau de distribution d’électricité samedi.
Plus de 150 salariés d’Enedis sont opérationnels sur l’ensemble de l'Auvergne, la majorité des techniciens est mobilisée sur le diagnostic des lignes et la réalisation des manœuvres pour réalimenter le maximum de foyers.
A 16 heures, 3 départements sont encore touchés avec 12 000 foyers encore privés d’électricité, dont 1 500 en Haute-Loire, principalement dans le Nord du département.
Des groupes électrogènes sont en cours d’approvisionnement et les entreprises partenaires renforcent également leur mobilisation.
Enedis invite à une grande prudence lors de l’utilisation de groupes électrogènes et rappelle que les fils tombés à terre sont dangereux et qu’il ne faut en aucun cas tenter d’y toucher.
Jusqu'à 700 foyers privés d'électricité
Si la soirée a été compliquée sur les routes de la Haute-Loire suite aux fortes averses de neige et au vent, elle le fut aussi dans plusieurs centaines de foyers, privés d'électricité depuis jeudi soir.
Les premières alertes sont tombées vers 21 heures du côté d'Enedis (ex-ERDF). Au total, une dizaine d'incidents ont été répertoriés et 700 maisons ont été touchées sur les communes de Retournac, Saint-Jeures, Malrevers, Le Monastier-sur-Gazeille, Saint-Pierre-Eynac, Saint-Etienne-Lardeyrol. Tout le territoire n'était pas impacté mais les problèmes étaient situés dans des hameaux, parfois à l'écart.
La situation a été rétablie pour la plupart des maisons. A midi, il restait encore une cinquantaine de clients privés de courant. "Ce fut moins problématique qu'annoncé. Mais quand les incidents ont été connus, nos agents devaient d'abord identifier le défaut pour le réparer", estime Denis Cadon, directeur territorial d'Enedis en Haute-Loire.
Enedis : 18 salariés décorés pour leur ancienneté dans l'entreprise
Enedis (ex-ERDF) a organisé lundi sa traditionnelle cérémonie de vœux et de remise des médailles du travail à ses salariés au centre socio-culturel de Blavozy.
Environ 150 salariés étaient présents. Une vingtaine d’entre eux ont reçu leurs distinctions des mains de Cyrille Moreau, directeur régional d’Enedis en Auvergne, qui a tenu à les féliciter pour leurs 20, 25, 30 et jusqu’à 35 ans de présence dans l’entreprise.
Enedis en Haute-Loire, ce sont environ 200 salariés qui sont répartis sur 4 agglomérations (Le Puy-en-Velay, Brioude, Yssingeaux, Langogne), qui exploitent environ 10 500 kilomètres de réseau et assurent les interventions techniques et les dépannages pour 160 000 clients.
Cette cérémonie des vœux a aussi été l’occasion de présenter le bilan de l’année écoulée, puis d’aborder les perspectives 2017 pour Enedis : la modernisation du réseau électrique, la poursuite du déploiement du nouveau compteur Linky jusqu’en 2020 et les nouveaux défis de la transition énergétique et numérique.
Les salariés étaient ensuite invités à un moment de convivialité autour de la galette des rois, préparée par l’ESAT Les Horizons de Malpas.
Les médaillés
Bronze
Marc Maffre
Sébastien Peyron
Argent (20 ans)
Erve Experton
Stéphane Laniel
Isabelle Mozin
Vermeil (30 ans)
Denis Boyer
Christophe Tardy
Henri Alibert
1er or (35 ans)
Denis Cadon
Thierry Changea
Alain Dursap
Christian Eschenbrenner
Jean-Louis Gidon
Denis Jarousse
Jean-Paul Martin
Denis Delivert
Jean-Pierre Therond
Serge Petit
Bas-en-Basset : une fresque en hommage aux trois jeunes victimes de l'explosion
Une fresque a été réalisée par une quinzaine de jeunes Bassois et un aménagement paysager a été créé en souvenir des trois adolescents de la commune, morts en 2015 dans l'explosion d'une maison.
Cela ne ramènera pas Bastien, Maxime et Tristan mais cette fresque marque leur présence au quotidien dans la vie bassoise.
A l'entrée de Bas-en-Basset, entre le gymnase et l'espace Fabro, un "square des anges" a été créé, juste à côté du city stade. Ces dernières semaines, un transformateur électrique a été repeint par une quinzaine de jeunes, amis de Bastien, Maxime et Tristan.
Des arbres ont été plantés, des roches de différentes couleurs forment une rocaille attrayante, agrémentée de végétaux. Sur trois gros blocs en guise de banc, les initiales des trois jeunes sont gravées dans un ordre à chaque fois changé.
Arnaud Blachon, graffeur, a collaboré au projet de fresque, financé par la commune et Enedis. Sur le bâtiment, on peut reconnaître les trois adolescents, en tenue de footballeurs, leur sport préféré, et aux couleurs de l'US Bassoise. Les peintres ont poussé le détail jusqu'à mettre leur vrai numéro de maillot sur le maillot et le short. "A chaque fois qu'on passe devant, on pense à eux", affirme Lucas.
Sur le côté, au-dessus des noms des jeunes ayant participé au projet, on peut lire une citation : "La mort n'arrête pas l'amour".
Peignez moi ces transformateurs électriques que je ne saurais voir
Un partenariat entre la MJC de Monistrol, la Ville de Monistrol et Enedis va permettre de faire redécorer quatre transformateurs électriques de la ville par des adolescents.
Les transformateurs électriques sont souvent utilisés pour taguer des inscriptions ou réaliser du collage sauvage. A Monistrol, un partenariat entre la Ville, la MJC et Enedis (ex-ERDF) va permettre de décorer ces blocs massifs et sans grâce dans une démarche artistique et une volopnté d'harmonie avec son environnement citadin.
L'appui artistique d'Arnaud Blachon, plasticien de Bas-en-Basset
Epaulés par le plasticien Arnaud Blachon, de Bas-en-Basset, 16 adolescents de 11 à 14 ans et 6 jeunes de 15 à 17 ans vont participer à un chantier pour repeindre quatre des vingt-sept transformateurs électriques de leur ville avant l'été 2017. Deux seront simplement repeints. Les deux autres serviront de base à une fresque. "C'est un embellissement de la ville", estime Jean-Paul Lyonnet, le maire de Monistrol. Pour l'adjointe à la jeunesse, Christelle Michel, "cette opération permet d'impliquer les jeunes dans la vie locale et municipale. Ce relooking s'inscrit aussi dans une démarche de développement durable".
Où se situent les quatre transformateurs ?
La décoration des quatre transformateurs débutera d'ici quelques semaines, après une formation sur le rôle de ces immenses armoires et leurs dangers. Le premier à en bénéficier devrait être celui qui est devant la MJC où une fresque représentera le tennis dont les courts sont à côté. Les autres transformateurs sont avenue Jean-Martouret (en face du Carrefour Market) où les jeunes ont dessiné un semblable qui tient une cannette de soda ; au Mazel, au niveau du rond-point, sous les arbres, avec une représentation du cinéma et de Léonard de Vinci ; et le dernier se situe à Cazeneuve, à proximité de l'Espace Beauvoir.
Une subvention de 1 500 euros pour les jeunes
Enedis va apporter un soutien financier de 1 500 euros pour permettre aux jeunes de venir à bout de leurs projets. Les 11-14 ont réalisé un mini-camp cet été dans la Drôme et ambitionnent de mettre en place un nouveau projet en 2017. Pour les 15-17 ans, l'argent va permettre de participer au financement d'un voyage en Ecosse en juillet 2017.
Bas-en-Basset aussi
Des projets similaires de relookings de transformateurs électriques ont déjà été menés à Sainte-Sigolène ces dernières années et aux Villettes. A Bas-en-Basset, un transformateur va être repeint aux vacances de la Toussaint près du monument en mémoire des trois jeunes victimes d'une explosion en 2015. A chaque fois, le constat est positif : ces blocs ne sont plus dégradés et s'intègrent joliment dans la ville.
ErDF change de nom
Ce changement d'identité, voulu et imposé par la Commission de régulation de l'énergie, intervient un an après le nouveau logo et après huit années passées en tant qu'ErDF. "On passe dans une autre dimension. Nous sommes un exploitant de réseau qui se modernise", estime Denis Cadon, le directeur territorial d'Enedis.