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Samedi matin, les enfants de 8 à 11 ans ont lancé la 22e édition du Triathlon des Sucs.

75 m de natation, 2 km de VTT et 600 m de course à pied. Ils ont moins de 12 ans et nagent, pédalent et courent comme des champions. A 9 h 45, quarante-cinq enfants ont lancé les hostilités au barrage de Lavalette, avant les plus grands.

Le club du Tryssingeaux a quasiment raflé tous les podiums masculins et féminins. Jules Chabanel, jeune garçon de 10 ans de Queyrières et licencié au Tryssingeaux, a déjà remporté son 4e triathlon à Lapte. Tom Chomat, 3e l'an dernier et à la veille de ses 11 ans, prend la 2e place.

Classement garçons

1. Jules Chabanel (Tryssingeaux)

2. Tom Chomat (Tryssingeaux)

3. Tom Rivaud (Tryssingeaux)

Classement filles

1. Fanette Massard (Tryssingeaux)

2. Lilou Periol (Annonay)

3. Salomé Masson (Tryssingeaux)

Le programme

12 h 30 : triathlon S sélectif D3 (750 m natation, 24 km natation, 5 km course à pied)

14 h 30 : triathlon jeunes 10-13 ans (200 m natation, 5 km vélo, 1,2 km course à pied)

16 h 15 : triathlon S Open solo ou relais (750 m natation, 24 km natation, 5 km course à pied)

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
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La première soirée du festival des Brumes au stade de Sainte-Sigolène s'est déroulée vendredi avec Jenifer et Pascal Obispo en têtes d'affiche.

Les fans de Jenifer et Pascal Obispo sont restés devant la grande scène malgré une météo capricieuse. Quelques averses orageuses sont venues rafraîchir les idées d'une chaude soirée musicale pour l'ouverture des Brumes 2019.

Avant les deux stars du soir, le groupe Le Trottoir d'en face a fait monter l'ambiance. Puis Jenifer et Pascal Obispo, dans leurs styles caractéristiques et leurs voix reconnaissables les yeux fermés, ont assuré le show devant 2 000 personnes, dont environ 700 ont opté pour le pass deux soirées.

Elles reviendront samedi au complexe sportif pour la seconde soirée. 3 000 billets ont été vendus pour une programmation plus jeune : la Cafetera Roja (17 heures), Jérémy Frerot (19 h 40) et Kendji Girac (21 heures).

Il est encore possible de se procurer des places pour les concerts de samedi à 45 euros le plein tarif et 27 euros pour les moins de 12 ans.

Publié dans Monistrol et environs
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Sous le nom pimpant M.A.M 1,2,3 soleil, trois jeunes femmes ouvrent une maison d'assistantes à Saint-Ferréol-d'Auroure.

Amandine Reissier, Laure Grange et Harmony Plotton-Durand, auxiliaires de puériculture de formation, ont décidé de se regrouper afin d’exercer ensemble au sein d’une même structure le métier d’assistante maternelle. Elles ouvrent la M.A.M 1,2, 3 soleil le 19 août. Elles disposent chacune de 3 agréments, soit la possibilité d’accueillir simultanément 9 enfants.

Laure 28 ans, originaire de Roche-la-Molière, réside à La Chapelle-d'Aurec. Amandine 30 ans, originaire de Saint Ferréol-d'Auroure, s'apprête à rallier La-Chapelle-d'Aurec. Quant à Harmony, 28 ans, originaire de Rochetaillée, elle habite à Saint-Just-Malmont.


Sensibilisation à la nature, au langage des signes

Le trio aux manettes de la M.A.M 1,2, 3 soleil expliquent le projet : "Nous souhaitons ainsi proposer un accueil à mi-chemin entre l’accueil collectif d’une structure et un accueil plus individualisé, grâce au nombre restreint d’enfants dans la MAM. Notre formation, nos nombreuses années d’expérience en crèche et notre vécu mis en commun, vont nous permettre d’offrir un accueil optimal aux enfants. Notre projet pédagogique permettra à chaque enfant, suivant son âge et son développement de s’épanouir."

Fortes de valeurs en phase avec les préocupations du moment, elles souhaitent, entre autres, "sensibiliser les enfants accueillis à la nature et l’écologie à travers des activités ludiques, leur apprendre des bases du langage du « signe avec moi » afin de communiquer dès le plus jeune âge."

La structure ouvre le lundi 19 août à Saint-Ferréol-d’Auroure. Les enfants seront accueillis de 7 heures à 19 heures. Quelques places sont disponibles.


Contacts

-soit par mail : mam123soleil@laposte.net

-soit à l’un de ces numéros : 06-76-61 -85-25 (Amandine), 06-76-48-46-98 (Harmony), 06-74-07-11 -15 (Laure)

Publié dans Loire Semène

Après un an de travaux, le circuit de luges sur rails est terminé aux Estables. Le Lugik Parc ouvre samedi et sera ouvert toute l'année, été comme hiver, neige ou pas.

Les amateurs de sensations fortes vont être servies aux Estables avec cette nouvelle offre de loisirs très séduisante. Et pour l'avoir testé en avant-première, on peut vous assurer que cela secoue.

Pour 6 euros, seul ou à deux, vous profitez de deux descentes jusqu'à 40 km/h en toute sécurité. Lugik Parc est le seul en France à proposer cette double descente.

Samedi 6 juillet, à 13 h30, l'ouverture se fera au grand public, à côté des pistes de ski alpin.

Porté par l'Establain Philippe Michel, ce projet va permettre au tourisme local de proposer du loisir toute l'année. Eté comme hiver, de jour comme de nuit, les luges pourront fonctionner. Neige ou pas sur le massif, Lugik Parc sera ouvert.

1,2 kilomètre de rails ont été posés à un mètre du sol. 28 luges pourront tourner en simultané dessus. "On espère réaliser entre 50 000 et 60 000 passages par an", annonce Raphaël Bonnet, le directeur d'exploitation de cet investissement de plus d'un million d'euros, concrétisé par l'embauche de quatre personnes.

La luge 4 saisons, comment ça marche ?

Publié dans Mézenc / Meygal
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Une micro-crèche privée est en cours de construction à "Gourdon" à Bas-en-Basset. L'ouverture des P'tits Petons est prévue pour septembre. Il reste encore quelques places.

Stéphanie Somet et son mari Julien ont décidé de créer une micro-crèche. Après avoir ciblé les Marches du Velay-Rochebaron et rencontré élus et responsables de la PMI (Protection maternelle et infantile), l'évidence s'est portée sur Bas-en-Basset. En janvier dernier, 40 enfants étaient sans solution de garde.

Quatre salariées et une gérante

Dans cet accueil familial, quatre femmes ont été recrutées : deux CAP petite enfance, une auxiliaire puériculture et une éducatrice jeunes enfants. Stéphanie Somet, elle-même assistante maternelle à Saint-Ferréol-d'Auroure et ancienne comptable et aux ressources humaines, gèrera la structure. "La micro-crèche, c'est un compromis entre l'assistante maternelle et la crèche."

Une maison spécialement conçue pour une micro-crèche

Actuellement, la maison spécialement conçue pour la micro-crèche et située à côté du camping La Camargue, rue Ducaruge, est en plein chantier. Sur 116 m2, la micro-crèche disposera d'un espace de vie, d'une cuisine, d'une salle de change, de deux chambres et d'une salle d'éveil. A l'extérieur, 200 m2 d'espaces verts, 70 m2 de terrasse protégée et un parking sécurisé complètent l'offre.

Les entreprises peuvent réserver un "berceau"

Sur les dix places, six sont déjà réservées. "On n'est pas réservé aux Bassois. Les premiers arrivés seront les premiers servis."

Autre particularité de cette micro-crèche privée, l'une des premières sinon la première : elle offre la possibilité aux entreprises de réserver un berceau à l'année pour les enfants de leurs salariés. "C'est courant dans la Loire. Les familles profitent de tarifs préférentiels et les entreprises ont des avantages fiscaux."

Infos pratiques

La micro-crèche bassoise, qui accepte les enfants de 10 semaines à 4 ans, fonctionnera du lundi au vendredi de 7 h 15 à 18 h 30.

Téléphone : 07 70 38 35 87

Publié dans Monistrol et environs
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L'année scolaire qui se termine a un goût tout particulier pour Bernadette Mourier au lycée Eugénie-Joubert, enseignante puis directrice. Elle fait valoir ses droits à la retraite après quarante années passées dans l'établissement yssingelais.

Elle a beau s'être préparée depuis un an, Bernadette Mourier ne peut s'empêcher d'avoir un pincement au coeur. Bernadette Mourier, originaire de Saint-Julien-d'Ance, a passé la quasi-totalité de sa carrière dans l'établissement d'enseignement agricole privé d'Yssingeaux.

Professeur en économie sociale et familiale, elle a débuté en 1978 au Puy-en-Velay pour deux remplacements au lycée Anne-Marie-Martel et au lycée Jean-Monnet avant d'arriver dans la Cité des cinq coqs.

En 2008, sa candidature avait été retenue pour prendre la direction du LEAP.

"Il faut croire en les jeunes"

En quarante ans de carrière à Yssingeaux, Bernadette Mourier a ainsi participé à l'évolution du lycée. Sur les seize enseignants actuels, elle en a recruté douze. "La pédagogie a beaucoup évolué, tout comme la société. Les jeunes me manqueront. C'était une agitation permanente mais c'est super. Les jeunes ont tous des valeurs, du potentiel. Il suffit de trouver l'étincelle pour leur permettre de s'épanouir. Il faut croire en eux, les prendre comme ils sont, les aider à construire leur chemin.

Une nouvelle directrice choisie en interne

En septembre, la rentrée du lycée Eugénie-Joubert se fera avec une nouvelle directrice en la personne de Dominique Liogier. Professeur d'économie sociale et familiale au LEAP depuis 1983, elle succède à Bernadette Mourier. Dix-sept candidatures sont parvenues au conseil d'administration dont deux du lycée yssingelais. "On travaille en binôme depuis plusieurs semaines pour préparer la rentrée. Je suis sereine de laisser les clés à Dominique. Elle connaît bien le lycée."

La future ex-directrice n'aura que l'embarras du choix pour occuper sa retraite : profiter de sa famille, voyager, jardiner, se balader, s'impliquer dans des associations locales comme Université pour tous

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
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Vendredi soir, à 19 heures, la chaîne Arte diffuse un film documentaire de 52 minutes de Bruno Loisel. Le réalisateur de Haute-Loire, spécialiste de la photo animalière, a mené l'enquête pendant cinq ans autour de l'existence du puma dans le Gévaudan. Arrivera-t-il à le prouver ?

Le puma, nouvel bête du Gévaudan ? La question se pose et se posera encore davantage après avoir regardé le documentaire de Bruno Loisel vendredi sur Arte. "Puma, le fantôme du Gévaudan" sera diffusé à 19 heures et met en avant cinq années d'enquête discrète de Bruno Loisel, un habitant de Beaulieu qui dispose d'un bureau à Yssingeaux. Graphiste illustrateur de formation, il a commencé la réalisation de reportages ayant trait à la faune sauvage dans les années 90 et s'est spécialisé dans les forêts tropicales.

Premier témoignage en 2011

Interpellé par un lieutenant de louveterie sur la présence d'un grand félin dans le Gévaudan, il a débuté en janvier 2014 son enquête. "J'ai récolté de nombreux témoignages, des empreintes, des griffades, de l'ADN." L'ancien maire de la Beysseyre-Saint-Mary aurait vu un puma lui passer sous le nez. C'était en 2011. La femme d'un chef d'entreprise a aussi fait remonter une expérience personnelle. "Les derniers témoignages datent d'avril et mail 2019."

Un long-métrage complet en 2020

Ce documentaire est une première. "Jamais une enquête n'a été menée sur ce félin exotique." Pour être tranquille dans son travail minutieux, Bruno Loisel s'est fait discret. Souvent, les témoins sont pris pour des fous, encore plus dans le Gévaudan où la Bête continue de peser

Ce documentaire marque un point d'étape mais pas la fin de l'enquête. Bruno Loisel a en tête de sortir un film plus long et plus complet en 2020. "Le puma est là et bien là. Le premier a été lâché, il ne s'est pas échappé, c'est certain."

Pourquoi le puma fait-il si peu parler de lui ? "Il ne s'attaque pas aux bovins et aux ovins, plutôt aux équidés."

Le teaser

Publié dans Actualités
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Une très exceptionnelle exposition du peintre Gérard Garouste ouvre ses portes jeudi au Lieu de mémoire au Chambon-sur-Lignon le 4 juillet. Émotion (violente) garantie.

La Commère 43 a pu découvrir en avant-première l'exposition fraîchement accrochée ce mardi et vous en fait profiter avant le vernissage de jeudi 4 juillet, à 11 heures, en présence de l'artiste.

L'exposition de l'Intranquille est une pépite à savourer au cœur de l'été en Haute-Loire. Sous le titre « Gérard Garouste et l'école des prophètes », vous vous laisserez happer par des toiles puissantes choisies par Aziza Gril-Mariotte, la commissaire d'exposition, en lien étroit avec le maître.


Une toile surprise

Avec une ultime surprise, une œuvre riche en symboles, spécialement créée pour l'occasion. Cette formidable invitée de dernière minute demande à être regardée de deux manières, à l'aide d'un miroir pour en saisir toutes les nuances.

Eliane Wauquiez-Motte, maire du Chambon-sur-Lignon, racontera lors du vernissage la genèse de cet événement qui a conduit à pouvoir présenter des œuvres d'un des plus grands peintres français contemporains dans ce village du Plateau Vivarais-Lignon.

Sans déflorer trop le sujet, l'aventure s'est nouée en septembre dernier, pour les 24 heures du livre, à l'occasion de la venue de Gérard Garouste et sa femme Élisabeth. Une promenade à Tence, à « Chaumargeais », plus précisément à « Istor » où de jeunes intellectuels juifs avaient été cachés durant la dernière guerre, a scellé la belle rencontre entre le Lieu de mémoire et l'histoire personnelle de Gérard Garouste.

Jusqu'au 29 septembre

L'exposition, qui bénéficie d'une nouvelle salle du Lieu de mémoire agrandi, sera visible tout l'été, jusqu'au 29 septembre, du mardi au dimanche de 10 heures à 12 h 30 et de 14 heures à 18 heures. Des visites guidées sont proposées le jeudi à 10 h 30.

Tarifs : plein 5 euros, réduit 3 euros, groupe 3,50 euros

Cette entrée permet la visite de l'ensemble du Lieu de mémoire au Chambon-sur-Lignon, et naturellement du jardin très apprécié en cette période.

A noter encore que le Lieu de mémoire est climatisé.

Plus d'infos au 04 71 56 56 65

En avant-goût, un livre

Lisez d'une traite (150 pages en Livre de Poche.) « L'Intranquille autoportrait d'un fils, d'un peintre, d'un fou » de Gérard Garouste avec Judith Perrignon.

Extrait « Je suis le fil d'un salopard qui m'aimait. Mon père était un marchand de meubles qui récupéra les biens des Juifs déportés. Mot par mot il m'a fallu démonter cette grande duperie que fut mon éducation. »

6,90 euros


Un documentaire au cinéma

Au Cinémascoop, mercredi 3 juillet, à 21 heures, allez voir le documentaire sur Gérard Garouste « En chemin » écrit par Stéphane Miquel et réalisé par Vivien Desouches (2017).

Ce film narre le chemin initiatique d’un peintre fuyant les impasses de son hérédité, du conflit avec son père à sa conversion au judaïsme et sa métamorphose, aux travers de ses tableaux, de ses propres commentaires et de divers entretiens.

Un échange avec l'artiste prolongera la projection.

Durée 52 minutes. Tarif plein : 6,70 euros


Et aussi trois conférences

Jeudi 4 juillet, à 18 h 30, au Lieu de mémoire, « D'un trait mosaïque », une conférence du sociologue, philosophe, Gérard Rabinovitch. Gratuit dans la limite des places disponibles.

Vendredi 5 juillet, à 19 heures, à l'Espace d'art contemporain Les Roches « Gérard Garouste : savoir s'égarer », une conférence d'Olivier Kaeppelin. Gratuit dans la limite des places disponibles.

Samedi 6 juillet, aux Bretchs, à 18 h 30, « Symbolisme classique et néo-classique dans l'œuvre de Gérard Garouste » par Thomas Lovy. Gratuit dans la limite des places disponibles.

Publié dans Loisirs Sorties

Lundi, vers 19 heures, un violent orage a déferlé sur la vallée de la Loire. Une cinquantaine d'interventions étaient comptabilisées sur Aurec-sur-Loire en l'espace d'une heure.

Le ciel noir de la fin d'après-midi n'augurait rien de bon. Et pour cause. Un violent orage s'est déchaîné sur Aurec-sur-Loire avec un vent tourbillonnant, nécessitant un déploiement conséquent des secours pour des inondations, des assèchements de locaux, des arbres tombés, des tuiles, des naufragés. Au total, 50 pompiers dont 13 plongeurs et venant de 12 casernes étaient mobilisés.

Une famille de Saint-Etienne s'est laissée surprendre sur la place du stade nautique en bord de Loire. Ses membres ont été pris en charge par les pompiers puis mis au chaud à la Maison des associations par la commune.

Au total, cinquante interventions ont été nécessaires à Aurec-sur-Loire. Dans un lotissement au-dessus du stade, rue de la Source, des maisons ont vu une rivière arriver de la colline, charriant de la terre et des pierres. Une déviation de fortune a été fabriquée par les riverains.

A Bas-en-Basset et Malvalette, de nombreux dégâts ont été comptabilisés.

Rue de la Source à Aurec

Publié dans Faits divers
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Après trois mois de travaux, le chantier du viaduc du Ramel sur la RN88 entre Bessamorel et Yssingeaux essuie un léger retard de deux semaines sur le planning de départ.

Le viaduc du Ramel sur la RN88, qui sépare Yssingeaux et Bessamorel, subit une cure de jouvence. Si la structure est en bon état, ce sont ses accessoires qui méritent un changement. Corrosion, fissures, joints, barrières de sécurité, étanchéité : la dernière inspection de 2015 avait fait apparaître « de nombreux désordres ».

Construit de 1980 à 1981, ce viaduc de 270 mètres de long, composé de 4 piliers de 15 à 50 mètres de haut, franchit la vallée du ruisseau du Ramel. Il est emprunté quotidiennement par 15 000 véhicules. Un véhicule sur dix est un poids-lourd.

Deux raisons principales au retard

Trois mois après le début du chantier, un retard de deux semaines est évoqué. Plusieurs raisons successives justifient ce retard : les intempéries d'abord dont le vent très présent dans la vallée. Les mauvaises surprises ensuite constatées lors du retrait du béton. Certaines pièces en acier méritent d'être renforcées, ce qui n'était pas prévu.

Changement de côté en août

Dans la première semaine d'août, les travaux vont passer de l'autre côté du tablier. Sans incidence particulière pour la circulation, qui restera sur une seule voie.

Côté circulation, le temps d'attente varie quotidiennement de 5 minutes dans les heures creuses à 15-20 minutes aux heures de pointe. Le week-end de l'Ascension a atteint son pic. "Comme partout en France", nuance un responsable de la DIR Massif Central.

Des effets positifs après les mesures prises sur l'ex-RN88

Sur l'ancienne RN88, après les plaintes de riverains autour de la vitesse et de dépassements dangereux, les mairies d'Yssingeaux et Bessamorel ont pris des arrêtés pour limiter à 50 et 70 km/h. Les effets sont positifs. "Les automobilistes respectent les vitesses. Les riverains apprécient", indique Eric Dubouchet, maire de Bessamorel.

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