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Une quarantaine de collégiens et de lycéens sont montés vendredi sur la scène du foyer rural à l'occasion de la 3e soirée des Jeunes talents de l'Ensemble scolaire catholique et du lycée Eugénie-Joubert.

Au cours de cette soirée, environ 150 spectateurs ont pu découvrir la fibre artistique des adolescents à travers des chansons, des sketches et des créations vidéos des voyages à New-York, en Irlande et en Finlande.

Les sept musiciens de l'orchestre de l'ESCY, autour de la chanteuse Anaëlle, ont évidemment participé à l'événement présenté par Patrick Rodrigues, ancien professeur de français de l'établissement. Et parmi les interprètes, si tous n'avaient pas vocation à devenir des chanteurs professionnels, tous ont mis beaucoup de coeur à cet exercice.

Quinze équipes ont participé vendredi à la 4e Nuit du volley organisée par l'Ensemble scolaire catholique.

Le gymnase de Choumouroux a de nouveau été richement garni vendredi pour la Nuit du volley, une compétition sportive amicale organisée par l'Ensemble scolaire catholique.

Joueurs, amateurs, lycéens, anciens élèves, professeurs ou encore parents : 90 joueurs ont constitué des équipes.

Les bénéfices de la soirée vont permettre de financer les déplacements de l'association sportive du lycée qui dispose par ailleurs d'une option volley.

Vendredi soir, la victoire est revenue à l'équipe d'Emmanuel Gautier, documentaliste à l'ESCY et volleyeur à Monistrol, accompagné de ses deux fils, deux amis volleyeurs, et Vincent Perard, professeur de techno à l'ESCY).

Le podium est complété par deux équipes de volleyeurs seniors et jeunes du club d'Yssingeaux. A la 4e place, on retrouve l'équipe de Thomas Dutoit avec des élèves actuels et anciens. La formation d'Hugo Pichot et Benjamin Poncet, les Chicago Bulls, accrochent la 5e place.

Retrouvez toutes les images de la soirée dans la galerie photos ci-dessus.

Lundi matin, à l'occasion de la commémoration de l'Armistice du 8 mai 1945 à Yssingeaux, des plaques réalisées par des écoliers ont été dévoilées. Il s'agit d'élèves de CM2 de l'école Saint-Pierre-Saint-Anne qui ont travaillé sur le projet "Souviens-toi au Mont-Mouchet".

Après avoir étudié les monuments commémoratifs, plus particulièrement le monument aux Morts de Volvic, chaque enfant a réalisé une plaque en argile représentant d'un côté la guerre et de l'autre la paix. Ces créations ont été conçues avec Lucie Delmas, sculpteur au Monastier-sur-Gazeille.

Pour clore leur projet, les élèves de CM2 de l'école privée iront visiter le musée de la Résistance au Mont-Mouchet le 19 mai.

Les classes de CE1 d'Agnès Perbet et CE2 de Bernadette Convers de l'Ensemble scolaire catholique d'Yssingeaux participent à la désignation du Prix Chronos de littérature. Ils ont voté lundi après-midi ainsi que les grands-parents qui les ont accompagnés dans cette démarche.

Depuis 1996, le Prix Chronos de littérature propose à ses participants et jurés de tous âges de lire des ouvrages ayant pour thème les relations entre les générations, la transmission du savoir, le parcours de vie, la vieillesse et la mort... Autant de sujets pas toujours aisés à appréhender et difficiles à aborder de but en blanc dans le cadre des relations courantes adultes-enfants. Ce sont pourtant des sujets importants pour bien grandir et vivre harmonieusement chaque étape de son existence.

Une dimension intergénérationnelle

C'est pour cela que le dispositif à dimension intergénérationnelle qui préside à la désignation du lauréat de ce prix littéraire a retenu l'attention de l'équipe éducative de l'ESCY et singulièrement d'Agnès Perbet et Bernadette Convers. Ces enseignantes ont convié, pour la première fois, leurs classes de CE1 et CE2, à tenter l'expérience.

Quatre albums en lice

Avant d'aboutir au moment solennel du vote, plusieurs rencontres avec des adultes volontaires, des grands-parents, ont permis de se familiariser avec les quatre albums en lice : "Attends Miyuki" de Roxane-Marie Galliez et Seng Soun Tatanavanh (La Martinière Jeunesse); "Quand Papi René..." de Nathalie Vallée et Elsa Huet (Points de suspension); "Ecoute ton coeur" de Susie Morgenstern et Sandra Poirot-Chérif (La Martinière Jeunesse); "Toute une vie pour apprendre" de Gabriele Rebagliati et Michio Watanabe (Les Fourmis rouges).

Un vote dans les règles

Lundi après-midi, les écoliers, leurs enseignantes, les "grands-parents" participants, ont procédé au vote dans les règles de l'art. Urne, bulletins, enveloppes, cartes d'électeurs, feuilles d'émargement, tout y était. Hormis un isoloir en bonne et due forme qui, à vrai dire, ne constitue pas un accessoire utile couramment dans un établissement scolaire...

A l'heure du rapide rappel des consignes, des résumés prestement donnés par les élèves sur les quatre ouvrages en compétition, on mesurait que le travail préalable aux opérations électorales avait été sérieusement mené.

Une leçon vivante d'éducation civique

Après dépouillement sur place des 52 bulletins pour 53 inscrits (1 nul), l'album arrivé en tête des suffrages est "Attends Miyuki" avec 17 voix, devant "Quand Papi René" 14 voix, "Ecoute ton coeur" 13 voix et "Toute une vie pour apprendre" 7 voix.

Au-delà de la désignation du livre favori, une attrayante aventure en soi, pareille expérience dans une période marquée par la présidentielle et les législatives, avait valeur de cours vivant d'éducation civique.

En attendant le retour au bercail lundi, les lycéens du Sacré-Coeur d'Yssingeaux profitent sans réserve de leur immersion dans la "grosse pomme" qu'ils quadrillent depuis une semaine.

Un séjour à New-York à retrouver en images avec quelques clichés ci-dessus qu'ils ont transmis à La Commère 43.

Mardi, le traditionnel forum des métiers de l'Ensemble scolaire catholique inclus dans le parcours d'orientation des élèves de 4e et 3e a connu une affluence record.

Cette rencontre était programmée en fin de journée et ouverte aux familles pour la première fois. D'un côté, 170 jeunes scolarisés dans les collèges Saint-Pierre-Sainte-Anne, Eugénie-Joubert d'Yssingeaux, Saint-Martin à Tence. De l'autre, une quarantaine de professionnels du territoire représentatifs d'un large panel d'activités.

Les collégiens, en grappes par affinités, en solo, ou accompagnés de leur famille, allaient à la pêche à l'information. Dans un échange détendu, ils s'enquéraient des avantages, contraintes, détails du cursus pour chaque spécialité.

Ce forum des métiers semble avoir été apprécié de part et d'autre. Cette initiative devrait permettre au jeune de franchir une étape importante de son parcours d'orientation (qui n'est pas toujours un long fleuve tranquille), dans un contexte économique toujours très incertain.

Pour les portes ouvertes de sa branche BTS opticien-lunetier, l'Ensemble scolaire catholique d'Yssingeaux (ESCY) bruissait de monde. Parents et futurs bacheliers se pressaient en quête d'informations sur cette filière d'études supérieures dispensée à la campagne.

Car c'est bien un des atouts de ce cursus proposé à Yssingeaux dans un cadre rassurant pour beaucoup de parents. L'étudiant évolue dans un établissement à taille humaine, avec une équipe pédagogique proche des élèves, au coeur d'une petite ville.

S'y ajoute la possibilité de louer sur place des logements dédiés aux étudiants, avec des services annexes comme la prise du repas du soir et du petit-déjeuner.

82% de réussite

Des aspects de confort qui contribuent à la sérénité de ces études conduites en partenariat avec l'Institut des sciences de la vision de la Saint-Etienne et sont sûrement pour quelque chose dans le taux de 82% de réussite affiché, alors qu'en moyenne en France, il dépasse tout juste les 50%.

Les débouchés sont immédiats. Tous les diplômés sortis de l'ESCY trouvent un emploi à l'issue de ce cursus de 2 ans, avec une spécialisation possible sur une troisième année.

A signaler encore des frais de scolarité, comparativement bas, de 116 euros par mois sur dix mois, compatible avec des revenus plus modestes.

30 étudiants par promotion

Autant dire que les 30 places disponibles par promotion n'ont aucune peine à se remplir. Les étudiants se recrutent dans toute la France.

Pour accéder à ce BTS, un bac général (S, ES spé math), technologique (STI2D, STL, ST2S), un bac pro optique-lunetterie, sont requis.

Les inscriptions se font en ligne sur le portail postbac.

Toutes les infos sur le site de l'ESCY ici

Un forum des métiers et des formations était organisé samedi matin dans le self de l'Ensemble scolaire catholique d'Yssingeaux. A la différence d'autres forums, celui-ci était majoritairement animé par d'anciens élèves de l'établissement. Guère plus âgés que les lycéens, ils sont venus vanter les mérites de leur école ou de leur cursus aux élèves de première et terminale et quelques secondes.

Ces rencontres ont aussi l'occasion d'échanger sur les aspects les plus concrets de la vie étudiante : le logement, les sorties, la qualité des formations, la diversité des parcours.

Pour les "anciens" du Sacré-Coeur, c'est aussi l'occasion de revenir dans leur lycée et de voir les changements architecturaux opérés depuis leur départ, et de retrouver leurs professeurs de l'époque.

Le choix vient d'être fait de privilégier la construction d'un nouvel internat plutôt que de mettre aux norme le bâtiment actuel. Son ouverture est prévue pour septembre 2018.

L'Ensemble scolaire catholique poursuit la mue de ses bâtiments. C'est désormais l'atelier qui va tomber au bord de la rue Traversière, entre l'entrée actuelle et le bâtiment administratif neuf de l'établissement scolaire privé d'Yssingeaux.

Ce nouvel internat comptera 60 places, soit autant que l'internat actuel dont une partie sera transformée pour installer le CDI du lycée.

L'ancien atelier devrait tomber pendant les vacances de Pâques et les travaux de construction débuteront cet été. L'ouverture est prévue pour septembre 2018, soit dans 18 mois.

Pendant les vacances de Noël, un petit bâtiment a été rasé, entre le LEAP et le bâtiment occupé par les cuisines. S'y trouvait la vie scolaire et des toilettes. Le but de cette démolition est de faire de la place pour une nouvelle construction qui fera la liaison entre trois bâtiments via des passerelles et l'arrivée d'un ascenseur.

Le coût total de ce chantier se chiffre à 1,9 million d'euros.

Dix élèves de seconde de l'Ensemble scolaire catholique d'Yssingeaux se sont affrontés à l'occasion d'un concours d'éloquence sur des sujets d'actualité dans un registre délibérément décalé.

"Claude François est-il un mec branché ?" ; "Daech, un 2 en 1 ?" ; "L'Amérique, Trump qui peut" ; "Un centriste vaut-il mieux que deux complaisants ?" Voilà les sujets sur lesquels ont débattu les dix élèves de seconde qui suivent l'option "littérature et société" à l'Ensemble scolaire catholique d'Yssingeaux. Mardi, pour leur rentrée des classes, ils se sont affronté lors de "battles" à deux.

Dix élèves face au champion

Sannah Railane, Baptiste Bouilhol, Ghislain Louis, Maëlle Mialon, Louise Raibemelle, Louane Bouilhol, Sabine Barbier, Eden Bouilhol, Hugo Bonnefoy et Charline Molle ont choisi l'un des thèmes et avaient 10 minutes pour faire preuve d'éloquence et d'esprit autour du sujet. Ils comparaissaient devant un jury composé d'Emmanuel Gautier, Isabelle Trivino, Juliette De Oliveira, Hélène Rodier, professeurs, et Nicolas Diaz-Caténo, étudiant en droit à Saint-Etienne, et finaliste du concours d'éloquence de Saint-Etienne et Rhône-Alpes en 2016.

Des élèves impliqués et inventifs

Charline Molle a été désignée par le jury pour affronter le champion dans une dernière épreuve sur le thème tout aussi déjanté mais d'actualité : "Le Père Noël nous a menti, les parents n'existent pas". La lycéenne de seconde, domiciliée à Lapte, a ainsi remporté ce concours d'éloquence, le premier du genre au sein de l'établissement scolaire. "Je me suis prise au jeu même si c'était stressant", indique la gagnante.

Pour le professeur de français, Juliette De Oliveira, à l'origine de ce concours, les élèves se sont montrés à la hauteur de l'exercice, qui plus est devant un public composé de camarades de cinquièmes et de premières. "Les jeunes avaient peur au début mais ils ont réalisé un beau travail. Je suis très fière."

La finale entre la lycéenne et l'étudiant