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Saint-Jeures : des boissons volées dans la nuit, retrouvées dans les herbes
Le camion frigorifique installé dans le parc des Droits-de-l'Homme à Freycenet, commune de Saint-Jeures, pour la fête du pain du village, a été cambriolé dans la nuit de samedi à dimanche.
Le ou les voleurs ont forcé le cadenas avant de dérober les boissons qui se trouvaient à l'intérieur : 11 bouteilles de rosé, 24 bouteilles de sodas, un pack de jus de fruits et des gobelets en plastique.
Finalement, la plupart du butin a été retrouvé derrière une maison abandonnée, à quelques dizaines de mètres du camion. Les boissons étaient cachées dans de hautes herbes. Seules trois bouteilles de rosé manquaient à l'appel.
Carnet rose : Léna à Saint-Jeures
Léna est venue agrandir le foyer de Julien Juredieu et Aurélie Sardellitti à Saint-Jeures.
Léna est née le 14 juin à la maternité de Firminy. Elle pesait 3,170 et mesurait 51 cm quand elle est venue au monde.
Julien Juredieu, 35 ans, fromager au Mazet-Saint-Voy, et Aurélie Sardellitti, 35 ans, cuisinière, sont déjà parents de Mila, qui soufflera ses sept bougies en septembre.
Le couple habite à "La Besséat", entre Freycenet et le bourg de Saint-Jeures.
A Freycenet de Saint-Jeures, on fête le pain dimanche
Ce bel espace arboré, paisible, disposant de toutes les commodités, est idéal pour passer un bon moment en famille ou entre amis.
Pain cuit au feu de bois
La vente de pain cuit, à l'ancienne, au feu de bois dans le four banal du village, et de parts d'une brioche géante, constituent les points forts de l'événement. Des animations complètent la proposition.
A partir de 10 heures, au fil de la journée, on trouvera matière à distraire les enfants avec des balades en poney, des structures gonflables, des démonstrations de VTT trial par l'association de Saint-Maurice-de-Lignon. Les plus grands apprécieront encore le marché artisanal, les prestations du groupe folklorique d'Yssingeaux...
Un méchoui bio et local
A midi, on peut se restaurer autour d'un méchoui bio et local.
Le vide-grenier est un autre atout de la manifestation. Pour exposer, il vous en coûtera 2 euros l'emplacement.
A signaler encore une tombola dotée des lots suivants : une demi journée en quad, un panier garni (valeur 70 euros), 2 repas à L'Archou (valeur 40 euros), un contrôle technique.
Contact : 06 71 47 17 41
Foot : Recharinges s'adjuge le derby contre Saint-Jeures
Bal trad' et scène ouverte à Saint-Jeures le 11 juin
En première partie de soirée une initiation aux danses : scottish, polkas, mazurkas, valses, bourrées, danses en groupe…sera expliquée et proposée, au son des groupes de musiques de Fabrice Goupil, professeur d’accordéon diatonique, et ses élèves de l’EMIHL et des Ecoles de musique altiligériennes.
Ensuite divers groupes devraient se succéder sur scène, dans une ambiance bon enfant.
Une participation aux frais de 3 € sera demandée au public, et des rafraichissements seront proposés par l’association Arpège.
Les groupes souhaitant participer à la scène ouverte sonorisée peuvent s’incrire au 06 84 08 88 12.
La fourrière pour animaux de Saint-Pal en liquidation judiciaire
Le Chenil de Saint-Pal, dirigé par Sandrine Le Guen, a été mis en liquidation judiciaire. Cette société de Saint-Pal-de-Mons assurait, depuis 2008, le service de fourrière du Syndicat intercommunal pour la capture des carnivores domestiques errants. Ce syndicat fédère 45 communes adhérentes sur l'Est de la Haute-Loire, le secteur de Saint-Agrève et même un bout de la Loire avec Marlhes.
Ce samedi, lors d'une réunion extraordinaire convoquée en urgence, à Saint-Jeures, le président Sébastien Hochet a demandé à ses troupes de l'autoriser à conclure de nouvelles conventions pour la capture des chats et chiens errants, avec l'association Refuge de Saint-Pal. Cette association, présidée par Sandrine Le Guen, existait déjà en parallèle au Chenil de Saint-Pal, sur le même site. Elle proposait à l'adoption certains animaux sortis de la fourrière.
Le risque de se retrouver sans solution
Ce tour de passe-passe laisse dubitatif de prime abord. Comment une activité (couplée à une pension pour animaux) qui conduit à une faillite pourrait devenir "rentable" sous une forme associative? Si le sujet n'a pas été envisagé dans ce sens et la décision prise très rapidement, c'est que, visiblement, les élus redoutaient de se retrouver sans solution. Et ils semblaient bigrement soulagés de voir les mêmes personnes se proposer pour reprendre l'activité de fourrière.
Une convention pour une année
Et cela même si le président trouvait un peu cavalier d'avoir appris la mise en liquidation du Chenil de Saint-Pal, non par la responsable de la structure, mais incidemment par Jérôme Ancelin, le trésorier de Tence. Ce dernier l'a mis en garde au moment où il s'apprêtait à faire un réglement au chenil. Aussi Sébastien Hochet a invité Sandrine Le Guen à tenir informé le syndicat des difficultés qu'elle pourrait traverser.
Pour l'heure, le syndicat a acté la signature de cette convention jusqu'au 30 avril 2017, cette date correspondant à l'échéance auparavant conclue avec le Chenil de Saint-Pal.
Une indemnité forfaitaire pour les déplacements
Les élus ont également décidé une visite des installations "après l'été". Ils ont encore voté le passage de l'indemnité forfaitaire de déplacement pour une intervention au titre de la fourrière à 12,50 euros, au lieu de 10 et 15 euros selon deux rayons kilomètriques auparavant.
A signaler encore que les deux chiens en fourrière au moment de la liquidation n'ont pas été euthanasiés mais pris en charge par le Refuge de Saint-Pal. Ils viennent s'ajouter aux six chiens actuellement en quête d'un maître.
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Carnet blanc : Adeline et Julien à Saint-Jeures
La couleur de cravate du marié ainsi qu'un véhicule pavoisé signalaient la passion de Julien pour les Verts de l'ASSE.
Fruits rouges : le magasin reprend du service cet été à Saint-Jeures
Le GIE est fort de 44 adhérents, emploie 3,5 salariés permanents et 10 saisonniers. L'activité, en 2015 (excellente année), a généré 5 millions d'euros de chiffre d'affaires, un résultat en hausse de 22 % par rapport à 2014.
En 2015, le GIE a écoulé 571 tonnes de fraises (+120 tonnes qu'en 2014), 171 tonnes de framboises, 157 tonnes de groseilles, 58 tonnes de mûres, 16 tonnes de myrtilles, 15 tonnes de mirabelles, 7 tonnes de cassis, 7 tonnes de cerises, 6 tonnes d'abricots. "Les rendements comme les rémunérations des producteurs en découlant ont été très corrects", confirme le président Eric Pauchon.
Vers des cultures raisonnées de fruits rouges
L'expérience de vente directe de fruits rouges et produits dérivés, menée l'été 2015, dans le magasin créé à cet usage à Pouzols, à Saint-Jeures, au siège du GIE, a séduit les consommateurs. Les touristes ont constitué le gros de la clientèle. Cet été, en juillet et août, le dispositif sera donc reconduit.
Sur un plan technique, deux axes de travail mobilisent les producteurs du GIE.
Dans un contexte où seulement 1,25 % du chiffre d'affaires est constitué par une production en bio, le GIE accèlère son travail sur la recherche de méthodes alternatives à la production conventionnelle. En pratique, cela signifie que, en 2013, 2014 comme 2015, un nombre encore plus important de producteurs a mis en place des traitements à base de décoctions et aux extraits de plantes.
De nouvelles installations, côté Ardèche
Le développement des cultures de fraises et de framboises en jardins suspendus s'est confirmé.
Signal positif, de nouvelles installations en production de fruits rouges sont signalées, une à Montregard en Haute-Loire, une à Mars en Ardèche. De plus, de nouveaux adhérents sur le versant ardéchois confirment l'attractivité du GIE.