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Actuellement installée à Saint-Didier-en-Velay et Saint-Just-Malmont, l'entreprise Hexadrone va déménager prochainement dans un bâtiment tout neuf en bordure de RN88 à Saint-Ferréol-d'Auroure. Une nouvelle étape pour son fondateur Alexandre Labesse dans l'univers du drone civil et militaire.

Hexadrone est née de la passion de son fondateur, Alexandre Labesse, pour la mécanique, la photographie et l’aéromodélisme. Après un développement en douceur, le jeune entrepreneur a trouvé sept investisseurs en 2018 pour une levée de fonds de 800 000 €.

Tundra, un couteau-suisse volant

Cela a contribué à développer Tundra, un couteau suisse volant qui dispose de quatre bras interchangeables. Ce drone 100 % Made in France devient la tête de gondole d'Hexadrone qui rayonne dans trois activités : une boutique en ligne pour commercialiser 3500 références de pièces détachées pour drones ; un bureau d'études où Alexandre Labesse entend capitaliser son expérience dans l'univers du drone et plus globalement de la robotique ; et le développement d'un drone maison qui peut convenir à plusieurs secteurs comme l'audiovisuel, l'industrie, la défense, l'agriculture, la recherche.

Le drone comme un porte-outil polyvalent

"On considère généralement le drone comme une caméra volante. Nous, on voit davantage le drone comme un porte-outil", indique le fondateur d'Hexadrone qui entend "lutter contre l'obsolescence et être capable de traverser le temps avec son drone" Si la conception est issue de ses bureaux, la fabrication est encore confiée à des partenaires. "Au fil des années, j'espère gagner en souveraineté. Mais il faut être clair : certains produits ne pourront jamais être faits chez nous."

Doubler le personnel en trois ans

Hexadrone devient ainsi constructeur et va disposer d'une belle vitrine avec le bâtiment en cours de construction à Saint-Ferréol. L'entreprise compte une quinzaine de collaborateurs et les locaux vont héberger d'autres start-ups qui évoluent dans le même domaine. "J'espère doubler le personnel dans les trois ans", annonce Alexandre Labesse.

Publié dans Loire Semène

Les habitants et les membres du collectif du Fieu veulent peser dans la campagne municipale à Tence dont le premier tour se déroule dimanche 25 avril. Ils proposent une visite guidée samedi 24 avril.

Les membres du collectif invitent la population "à une visite guidée permettant de comprendre les aspects économiques, environnementaux, sociaux et patrimoniaux du projet d'expansion de l'industrialisation à cet endroit".

En proposant cette visite de terrain, les opposants à l'agrandissement de la zone du Fieu espèrent "éclairer les décisions des électeurs autant que celles des prochains élus qui se disent ouverts au dialogue".

Les échanges s'échelonneront de 10 heures à 16 heures le samedi 24 avril, soit la veille du premier tour de scrutin.

Le point de rencontre se situera sur la route du Mazel autour du panneau "Au Fieu : Oui à Agro-écologie, Tourisme, Patrimoine, Cadre de vie".

Le collectif du Fieu envisage aussi de se rendre sur les lieux pendant la semaine "pour apprécier les nuisances sonores actuelles".

Contact : collectifdufieu@gmail.com

Publié dans Haut-Lignon
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L’entreprise Circular Economy Packaging (CEP) située à Dunières souhaite s'agrandir pour répondre à la demande croissante du marché des matières recyclées. CEP prévoit de construire un nouveau bâtiment à Sainte-Sigolène d'environ 4 000m2.

Actuellement située à Dunières, sur la zone du Solier, la société CEP créée en 2018 possède une surface de 1 900 m2 qui permet une ligne de recyclage pour un tonnage de matières recyclées estimé à 5 000 tonnes par an de films d’emballages en polyéthylène ainsi que du plastique dur de différentes résines.

Un projet pour doubler le nombre d'emplois

Le bâtiment actuel est trop exigu pour l'implantation d'une deuxième ligne de recyclage. D'où l'idée de construire un nouveau bâtiment sur la nouvelle zone des Pins à Sainte-Sigolène. Le projet est prévu sur 2022 et porterait le nombre d'emplois à 12 personnes.

Un terrain de 16 700 m2

Le conseil communautaire des Marches du Velay-Rochebaron a donné son accord sur la demande de terrain d'une surface de 12 550 m2 utile pour 16 725 m2 en surface totale pour un prix d'environ 476 900 € HT (38 € HT/m2 de surface utile). La délibération a une durée de validité de 8 mois pour la signature d'une promesse de vente.

CEP entend développer cette économie circulaire à travers l’un de ses actionnaires IPS (Industrial Packaging Solutions) à Bas-en-Basset mais aussi par le biais des usines de production d’emballages situées sur le plateau sigolénois.

Trois associés

Derrière Circular Economy Packaging, on retrouve trois associés bien ancrés dans la profession plasturgique depuis plus de 10 ans. Arnaud Clément est responsable commercial chez IPS depuis 14 ans et directeur général chez CEP). Antoine Verot, originaire de Sainte-Sigolène, est le PDG de CEP. Il procède au rachat des déchets afin de les valoriser en matière première recyclée. Et Anthony Vacher, lui aussi originaire de Sainte-Sigolène, est le PDG de IPS. Il s'est distingué au cours du premier confinement en fabriquant en urgence et avec l'appui de l'hôpital Emile-Roux, des surblouses en plastique dans un temps record.

Trois étapes clés de l'économie circulaire

"Notre modèle a l’avantage de proposer un seul interlocuteur permettant ainsi de réaliser les 3 étapes clés de l’économie circulaire : récupération, traitement et réintégration dans un nouveau produit fini", argumentent les dirigeants. "C’est un avantage éthique et économique important pour les grands groupes nationaux ou européens avec qui nous travaillons."

Publié dans Monistrol et environs
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Brûlée durant les Guerres de religion, pillée, transformée en garage après la Révolution, abandonnée, attaquée par le temps, l'abbaye de Doue fait l'objet depuis onze ans d'une rénovation hors-norme à Saint-Germain-Laprade. Son propriétaire a fait en sorte que le site bénéficie d'une restauration dans les règles de l'art.

Sur les 500 monuments historiques en Haute-Loire, la moitié appartient à des privés. L'abbaye de Doue en fait partie. Proche de la RN88 et sur les hauteurs de Saint-Germain-Laprade, l'abbaye ne se devine pas facilement. Le chemin qui y accède est un cul-de-sac et le seul endroit où on peut l'apercevoir est la vallée de la Loire entre Coubon et Brives.

Sauvée grâce à une utilisation agricole

Cet édifice du XIIe siècle a subi différents assauts, qu'il s'agisse des révoltes religieuses, civiles, des modifications du site par la main de l'homme ou des dégâts causés par l'humidité, l'eau, le temps.

On estime que l'abbaye a été sauvée au XIXe siècle par sa réutilisation... en grange : les vaches logeaient dans un bras du transept, les chevaux dans l’autre, et un plancher coupait en deux la hauteur de l’abbatiale pour stocker le foin.


Un travail manuel et minutieux

Gilles Bayon de la Tour, propriétaire de cette abbaye, s'évertue à remettre en valeur l'abbaye, en s'appuyant sur des spécialistes de la restauration. Le propriétaire et sa femme ont fait appel à l'architecte en chef des Monuments Historiques déjà très réputé, Martin Bacot (Cathédrale Saint-Jean de Lyon, entre autres), et à des entreprises de restauration de la pierre qui travaillent dans les règles de l'art. Pierre après pierre. A la main.

Le choeur de l'abbatiale raconte quelques secrets

De l'ancienne abbatiale, dédiée à Saint-Jacques de Doue, il manque la nef. Le choeur est désormais habillé de vitraux, contemporains mais sobres. Dans la petite chapelle Sainte-Catherine, devenue un temps un pigeonnier, une épigraphie a été datée du XIVe siècle. Elle était associée à une bibliothèque.

Ouverture au public en 2022

La campagne 2022 sera la dernière avant l'ouverture au public, sous une forme à définir.

archipat doue 9 sans noms

Publié dans Puy et Agglo
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Les professionnels du bâtiment font remonter des difficultés d'approvisionnement en matériaux et évoquent des hausses considérables des prix.

La CAPEB Haute-Loire (Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), syndicat des petits artisans, tire la sonnette d'alarme, évoquant une pénurie de certains matériaux et la flambée des prix. "On est alerté depuis la fin d'année. Et le phénomène dure et s'accentue", évoque Thierry Grimaldi, président de la CAPEB 43. "Pour la laine de bois, on est passé d'un délai de 48 heures à 3 mois d'attente. De façon brutale."

Des pénuries sur plusieurs matériaux

Pêle-mêle, la pénurie concernerait le bois et dérivé comme les plaques d'OSB, le polyuréthane et le polystyrène (pour l'isolation par l'extérieur), la plaque de plâtre (aménagement intérieur et isolation), la laine de bois (pour l'isolation et la rénovation énergétique) et le PVC (tuyau).

2200 entreprises du BTP en Haute-Loire

Alors que le bâtiment représente 10 % de l'économie, Thierry Grimaldi craint pour l'arrêt ou le retard des chantiers "pour des bricoles. Il suffit d'un grain de sable pour enrayer toute la machine".

Côté prix, les 2200 entreprises du BTP en Haute-Loire font face à de fortes hausses : +106 % pour l'acier entre juillet 2020 et février 2021, +114 % pour le PVC et +51 % pour le cuivre.

Du boulot mais pas de matériaux

A qui la faute ? Difficile de le savoir. "On est en rupture sur le bois alors qu'on est censé en avoir en France. Du bois dort dans les fossés. Il faut arrêter de dire que les Américains achètent tout le bois."

Depuis un an, le secteur du BTP tourne à plein régime malgré deux mois d'arrêt lors du premier confinement. "On a du boulot par-dessus la tête et pas les moyens pour le réaliser."

Les ménages se sont tournés vers des travaux à la maison

Un chef d'agence d'une entreprise de matériaux sur Le Puy-en-Velay nuance : "On trouve toujours des solutions et des alternatives pour trouver des matériaux. Oui, la situation est actuellement tendue mais les gens n'ont jamais autant bricolé. L'argent qu'ils peuvent mettre dans les vacances ou au restaurant, ils le mettent aujourd'hui dans des travaux à leur maison."

Publié dans Actualités
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Le chanteur du Meygal, Yvan Marc, a dévoilé vendredi le premier single de son prochain album qui sortira le 18 juin. On retrouve 100 % de duos. Pour cette première chanson, Yvan Marc mêle sa voix avec Yves Jamait.

L'idée est venue pendant le deuxième confinement. Yvan Marc a sollicité d'autres artistes pour chanter ensemble. Le nombre de réponses positives a convaincu l'auteur-compositeur-interprète de Saint-Julien-Chapteuil à se lancer dans un disque de reprises de ses chansons, revisitées par le biais d'autres timbres, d'autres approches.

Partage des mots et des mélodies

"J'ai toujours un ou deux duos sur mes albums. J'aime bien ça. J'ai beaucoup les voix féminines sur mes chansons, cela apporte une sensibilité nouvelle. Globalement, j'aime les duos car ils véhiculent le partage des mots et des mélodies."

A chaque artiste, il a soumis quelques chansons déjà existantes qui pourraient leur correspondre. "Je ne me suis pas planté", sourit Yvan Marc.

Le disque a été réalisé à distance. Chaque chanteur s'est enregistré chez lui ou dans un lieu qui lui est familier. Yvan Marc s'est occupé de recouper, arranger, réorchestrer, monter les voix.

Yves Jamait avec la chanson "Danser"

Le premier duo dévoilé est celui avec Yves Jamait, venu au théâtre à Yssingeaux en 2018. Yvan Marc avait coproduit ce concert avec Label Diff 43. Pour ce tandem vocal, ils ont uni leurs voix sur "Danser", une chanson écrite en 2017 pour l'album "Nos Dimanches". Une chanson qui garde une résonance toute particulière en ce moment avec un rythme enlevé et rythmé. "Quand j’ai écrit "Danser" il y a quelques années, je voulais évoquer mes inquiétudes face au dérèglement climatique. Aujourd'hui, il me semble qu'il est vraiment temps de repenser notre place sur cette belle Terre... sans oublier de la célébrer."

11 duos

Un deuxième single devrait être dévoilé à la mi-mai, avec cette fois-ci un groupe, avant la sortie complète du disque "Pas tout seul" le 18 juin. On y retrouvera au total 11 duos.

Comment écouter le premier single

Spotify YvanMarc.lnk.to/Danser/spotify

Deezer YvanMarc.lnk.to/Danser/deezer

Autre YvanMarc.lnk.to/Danser

Publié dans Loisirs Sorties

Ce samedi, des fils barbelés coupés ont été constatés le long de la RN88 au Pertuis et entre le bourg et "La Pénide", sur l'emprise de déviation du Pertuis et de Saint-Hostien.

L'acte n'a pas été revendiqué et ne le sera peut-être jamais. Mais depuis ce samedi, des fils barbelés sont coupés. Du bourg à "la Pénide" (sur la route de Saint-Julien-Chapteuil) et du bourg aux "Granges" (sur la route d'Yssingeaux), ces fils ont été cisaillés à intervalle régulier sur les trois hauteurs.

La dégradation concerne 500 m de fils barbelés de la "Pénide" au Pertuis, de chaque côté de la route départementale, et un seul côté de la route en bordure de la RN88 actuelle.

Dans le cadre du chantier de déviation de la RN88 au Pertuis et Saint-Hostien, des piquets en châtaignier avaient été plantés en mars puis trois rangées de barbelés avaient été clouées, provoquant la colère des opposants qui s'inquiètent des conséquences sur le passage des animaux sauvages.

Publié dans Faits divers
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Les gérants de la supérette de Lapte ont annoncé la fermeture temporaire du magasin jusqu'à mardi matin après l'agression dont a été victime la commerçante.

Les faits se sont produits jeudi en fin de journée. Alors que la gérante se trouvait seule dans le commerce de proximité en plein coeur du village, un homme de 25 ans, déjà venu deux ou trois fois, a agressé sexuellement la commerçante. Originaire du Rhône et disposant d'un logement dans le village, il est allé jusqu'à baisser son pantalon et son caleçon, montrant ainsi ses parties génitales.

La gendarmerie a été sollicitée et le jeune homme de 25 ans a été rapidement identifié pour être placé en garde à vue. Vendredi après-midi, il a été présenté au parquet du Puy qui a décidé des premières mesures conservatoires en attendant le procès. Il est poursuivi pour exhibition et agression sexuelle. Il a interdiction de se présenter à Lapte et a obligation de soins.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
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vendredi, 16 avril 2021 18:08

Attention, ça tourne à Tence !

Le tournage de la mini-série "Mon Ange" avec Muriel Robin a débuté cette semaine sur le Haut-Lignon. Un tournage qui crée l'animation dans le bourg de Tence.

Ce n'est pas tous les jours qu'une équipe de cinéma s'installe. Ils sont facilement reconnaissables avec leurs masques FFP2 (pour éviter de prendre le moindre risque de contamination).

Forcément, pour les Tençois et les badauds, la curiosité est tangible. "On est venu découvrir l'envers du décor", racontent une Tençoise et sa mère, assises sur le muret sur le petit parking de la place de l'office de tourisme.

Muriel Robin et Marilou Berry à l'affiche

"Tiens, regarde, c'est elle", s'exclame une autre observatrice en tapant du coude son mari à ses côtés. "Elle ressemble bien à l'idée que je m'en faisais", indique-t-elle en voyant Muriel Robin arriver sur le plateau. La comédienne stéphanoise va jouer au côté de Marilou Berry, Patrick Chesnais, Alexandra Vandernoot, Mickael Lumière, Jordi Le Bolloc'h et Matthieu Spinozi.


Des commerces, des maisons et la rue comme décors

Depuis mercredi, le tournage de cette mini-série pour TF1 (4 épisodes de 52 minutes), réalisée par Arnauld Mercadier, a débuté. D'abord discrètement puisque les premières scènes se sont déroulées au golf du Chambon-sur-Lignon, puis dans la campagne tençoise jeudi.

Ce vendredi, les équipes techniques, les comédiens, la production et les figurants sont arrivés dans le bourg de Tence. La commune du Haut-Lignon va accueillir le plus gros du tournage. Outre la place de l'office de tourisme à Tence, une maison près de la place Saint-Martin a aussi servi de décor, tout comme le bar La Caverne, et le Petit Casino.

Un chien parmi les figurants

Parmi les figurants figure... un chien. Indiana est la chienne de Corinne de Gabbia, présidente de Mars Chiens 07. Son berger australien joue le toutou de Muriel Robin dans le film. "Le chien du réalisateur aurait dû jouer le rôle mais il s'est cassé une patte", raconte-t-elle.

Les Tençois vont s'habituer à la présence de l'équipe de cinéma. Deux mois de tournage sont prévus et la circulation a été modifiée.

L'histoire...

Suzanne Brunet ne se résout pas. Sa fille, Julie, a disparu il y a huit ans, mais elle la cherche toujours, partout. Julie aurait 25 ans aujourd'hui. Est-elle toujours vivante ? Que lui est-il arrivé ? Suzanne n'en a aucune idée.

Ce vide, elle l'avait comblé dans l'alcool, dont elle s'est débarrassée aujourd'hui... jusqu'au jour ou Suzanne tombe sur un vieil article dans un journal, illustré de la photo d'une manifestation paysanne dans un village perdu. Sur la photo, une jeune femme de dos porte un pull particulier, un pull qui ressemble étrangement à celui que portait Julie quand elle a disparu... Est-ce Julie ?

Suzanne abandonne tout pour partir dans ce village. Elle est prête à tout bouleverser. Et elle va le faire. Entre le meurtre d'une adolescente, la suspicion des habitants et la rencontre d'une flic déterminée, Suzanne luttera contre tous et contre elle-même pour retrouver sa fille. Si elle est là. Si elle est en vie...

Publié dans Haut-Lignon

(Publi-reportage) Le lycée agricole George-Sand à Yssingeaux fait la promotion des métiers du vivant.  A travers ses différentes formations, un centre équestre et une exploitation agricole, l’établissement de Haute-Loire dispose d’un formidable outil pour former les professionnels de demain.

Le lycée agricole d’Yssingeaux ambitionne de former les agriculteurs de demain et de les guider vers la voie d’une agriculture respectueuse du vivant, de l’environnement et en phase avec les attentes des consommateurs. Si l’alimentaire dispose d’un avenir prometteur, l’établissement scolaire veille à fournir tous les outils pour faciliter l’installation de nouvelles générations.

550 élèves de la 4e au BTS

A Yssingeaux, les élèves bénéficient d’un équipement hors du commun, proche du centre-ville.

Avec les salles de cours, le CFPPA, le centre équestre et la ferme, les 550 élèves s’épanouissent dans un environnement favorable. Entre les filières générale, technologique et professionnelle, de la 4e au BTS, ils ont le choix entre dix formations qualifiantes. Et un internat accueille sur place 300 élèves.

La structure est armée pour offrir une formation à la carte selon le profil et le projet de chaque apprenant. Qu’on veuille découvrir différentes facettes de l’agriculture, qu’on prépare son installation, qu’on souhaite se former pour devenir salarié, le lycée agricole s’adapte.

Une ferme tournée vers l’innovation

Le lycée vit avec son temps et les encadrants orientent le site vers une diversification des productions animales et végétales. L’exploitation est un support efficace résolument tourné vers l’innovation.

L’élevage laitier s’appuie sur des croisements pour prendre le meilleur de chaque race et dispose d’une traite robotisée. A tour de rôle, les élèves collaborent à la vie de la ferme pour se confronter à la réalité du terrain.

De nouvelles productions en projet

De la fourche à la fourchette, tel est l’intitulé du projet du lycée yssingelais pour maîtriser toute la chaîne de production. Cela devrait passer par l’apport de nouveaux élevages comme le porc, les vaches allaitantes, un troupeau ovin. Et cela sous la houlette dynamique de Nadine Masson, ancienne agricultrice, qui dirige la ferme du lycée depuis 2017.

Une visite personnalisée le 21 mai

Afin de permettre aux futurs agriculteurs de découvrir l’exploitation du lycée, l’établissement propose une visite personnalisée destinées à leurs familles et aux futurs entrants en bac pro agricole le vendredi 21 mai, uniquement sur rendez-vous.

Cette visite détaillée pourra être prolongée par des essais de matériel agricole l’après-midi.

Pour réserver : 04 71 65 70 50

Et pour tous les autres, le samedi 22 mai de 9 heures à 12 heures, le lycée renouvellera l’opération « Les Rendez-vous de Sand » pour la présentation des filières et une visite virtuelle uniquement.

Pour s’inscrire : www.lyceegeorgesand.com

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