Une commémoration dans la simplicité, avec des périmètres de sécurité et en comité très réduit en raison du confinement s'est déroulée dimanche à Retournac.
"Il était néanmoins important de faire acte de mémoire, devoir immémorial et imprescriptible même sans solennité", indique le maire Pierre Astor.
Georges Brunon a rappelé le souvenir d'une famille de juifs, réfugiée à Retournac, puis déportée. Les actes de décès ne sont arrivés en mairie qu'en 2015, mais le souvenir demeure vivace chez les témoins de la rafle.