Saint-Maurice-de-Lignon a fait le choix de préserver la nuit en limitant l'éclairage public nocturne. Depuis janvier 2015, de minuit à 5 heures, l'ensemble des lampadaires du territoire sont éteints.
Cette démarche, initiée par l'équipe municipale de Gilles Saumet, a été finalisée par celle menée par Isabelle Servel.
Cette démarche, initiée par l'équipe municipale de Gilles Saumet, a été finalisée par celle menée par Isabelle Servel.
Outre l'impact économique non négligeable en cette période de baisse des dotations aux collectivités (une économie de 10 000 euros par an sur une facture d'électricité de 40 000 euros), cette mesure permet de limiter la pollution lumineuse, néfaste au vivant, humain, faune et flore compris.
Alain Mourlevat, le représentant de l'ANPCEN (association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturnes) le rappelait simplement vendredi soir en remettant le titre de "village étoilé" à la commune : "le vivant a besoin d'une alternance jour/nuit."
Aujourd'hui, de plus en plus de communes font ce choix d'éteindre l'éclairage public une partie de la nuit, sans que la population, parfois réticente de prime abord, s'en plaigne ensuite.
Ce sera le cas, par exemple, à Yssingeaux, à la fin du mois de juin pour son centre-ville. Et celles que l'on montre du doigt sont désormais plutôt les collectivités qui rechignent à envisager cette solution de sagesse.
Pour en savoir plus sur l'ANPCEN, c'est ici
Alain Mourlevat, le représentant de l'ANPCEN (association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturnes) le rappelait simplement vendredi soir en remettant le titre de "village étoilé" à la commune : "le vivant a besoin d'une alternance jour/nuit."
Aujourd'hui, de plus en plus de communes font ce choix d'éteindre l'éclairage public une partie de la nuit, sans que la population, parfois réticente de prime abord, s'en plaigne ensuite.
Ce sera le cas, par exemple, à Yssingeaux, à la fin du mois de juin pour son centre-ville. Et celles que l'on montre du doigt sont désormais plutôt les collectivités qui rechignent à envisager cette solution de sagesse.
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