Vendredi soir, le conseil municipal d'Araules a acté le report au 31 octobre de la date limite de dépôts des candidatures pour l'acquisition du village-vacances à Recharinges.
Le délai initial de dépôt des dossiers avait été fixé au 30 juin. Toutefois, la création de la Grande région Auvergne-Rhône-Alpes a généré quelques flottements sur les bons interlocuteurs à contacter afin de mobiliser d'éventuelles subventions pour les porteurs de projet. La date limite a été reportée au 31 octobre.
Quatre candidats se sont positionnés. Un cahier des charges leur a été adressé le 2 mars. Un seul des quatre candidats s'est déplacé sur les lieux. "Ce qui laisse peser un doute sur l'intérêt réel des trois autres pour l'ancien village-vacances" faisait remarquer justement Ismérie Champion-Delorme.
Le projet le plus avancé considéré comme "sérieux" par Mireille Faure, qui s'articulerait autour d'activités d'hébergement et de restauration, a donné lieu à une rencontre avec des représentants de la communauté de communes, de l'Etat, de la Maison du tourisme, de l'office de tourisme des Sucs...
Pour l'heure donc, l'avenir du village-vacances à Recharinges n'est toujours pas fixé. La structure va devoir passer encore un été, un automne, et probablement un hiver, à l'état d'abandon. Une épine dans le pied pour la commune, propriétaire de l'équipement.
Le délai initial de dépôt des dossiers avait été fixé au 30 juin. Toutefois, la création de la Grande région Auvergne-Rhône-Alpes a généré quelques flottements sur les bons interlocuteurs à contacter afin de mobiliser d'éventuelles subventions pour les porteurs de projet. La date limite a été reportée au 31 octobre.
Quatre candidats se sont positionnés. Un cahier des charges leur a été adressé le 2 mars. Un seul des quatre candidats s'est déplacé sur les lieux. "Ce qui laisse peser un doute sur l'intérêt réel des trois autres pour l'ancien village-vacances" faisait remarquer justement Ismérie Champion-Delorme.
Le projet le plus avancé considéré comme "sérieux" par Mireille Faure, qui s'articulerait autour d'activités d'hébergement et de restauration, a donné lieu à une rencontre avec des représentants de la communauté de communes, de l'Etat, de la Maison du tourisme, de l'office de tourisme des Sucs...
Pour l'heure donc, l'avenir du village-vacances à Recharinges n'est toujours pas fixé. La structure va devoir passer encore un été, un automne, et probablement un hiver, à l'état d'abandon. Une épine dans le pied pour la commune, propriétaire de l'équipement.
