Du jeudi 28 mars au mardi 9 avril, le cinéma La Capitelle et Cinémagie de Monistrol-sur-Loire proposent un cycle de quatre films à l’occasion du Printemps du documentaire.
On commence ce jeudi 28 mars avec un film sur le vin biodynamique… avec dégustation en fin de séance.
La clef des terroirs, 28 mars
Après le documentaire « Zero phyto 100 % bio » diffusé en 2016 à la Capitelle, le réalisateur Guillaume Bodin revient avec le film « La Clé des terroirs » jeudi 28 mars à 19 heures
Entre passion et poésie, ce film documentaire retrace la vie de vignerons ayant choisi de travailler au plus proche de la nature.
Dans les bois, 3 avril
Mercredi 3 avril à 15 heures, avec France environnement Nature, venez participer à l’élaboration d’un hôtel à insectes pour le cinéma.
« Dans les bois » est un film de Mindaugas Survila et s’adresse aux spectateurs à partir de 6 ans.
De la grotte des loups au nid d’une cigogne noire, de l’abri d’une famille de chouettes au terrier d’une minuscule souris : des scènes incroyables filmées au plus près des habitants d’une des dernières forêts primaires de la Baltique. Une immersion totale dans la vie sauvage...
Dans la terrible jungle, 10 avril
Mercredi 10 avril à 20 heures, projection de « Dans la terrible kungle » de Caroline Capelle et Ombline Ley, en présence d’Ombline Ley.
Le but était de « faire un film avec ces adolescents, et non sur eux… »
« Dans la terrible jungle » réunit tous les ingrédients d’un bon blockbuster d’auteur : un super héros, des cascades, un peu de sensualité mais pas trop, un jeune en fauteuil roulant turbo speed, des adolescents en ébullition, une fille populaire, un groupe de rock et quelques lapins pour les amateurs de nature... Normalement tout y est.
Le Grain et l'ivraie, 9 avril
Projection de « Le Grain et l’ivraie » en avant-première le mardi 9 avril à 20 h 30. Cinémagie propose cette avant-première avec l’association Générations futures représentée par Jean-Paul Briottet.
Fernando Solanas voyage caméra aux poings à travers sept provinces argentines à la rencontre des populations locales, d’agriculteurs et de chercheurs qui nous racontent les conséquences sociales et environnementales du modèle agricole argentin : agriculture transgénique et utilisation intensive des agrotoxiques (glyphosate, épandages, fumigations) ont provoqué l’exode rural, la déforestation, la destruction des sols mais aussi la multiplication des cas de cancers et de malformations à la naissance.
Le récit de Fernando Solanas évoque aussi l'alternative d’une agriculture écologique et démontre qu’il est possible de produire de manière saine et rentable des aliments pour tous, sans pesticides, pour reconquérir et préserver nos milieux naturels.