Avec "La Disparue du viaduc", Pierre Gentes, l'ancien maire de Laussonne, propose une fiction dans laquelle une ancienne professeure de mathématiques, devenue directrice d'établissement scolaire et inspectrice de l'Éducation nationale a pour mission de faire des propositions au recteur pour contrer l'entrée de la drogue dans les lycées.
Cette femme, au caractère bien trempé, fait de ce sujet son combat. Opiniâtre et déterminée, elle ne cède pas aux menaces à peine voilées qui s'opposent à elle. Elle sera enlevée à proximité du viaduc de la Recoumène sur la commune du Monastier-sur-Gazeille par des malfrats rétribués par un réseau qui fait des affaires dans le trafic de drogue et marginalement du sexe. Par ailleurs, la beauté et les formes avantageuses exposent cette femme, d'à peine quarante ans, à une gente masculine qui tourne autour d'elle. Certains prétendants se sont-ils exposés au risque du harcèlement sexiste ? Le juge d'instruction et ses collaborateurs parviendront à la libération de la disparue du viaduc détenue pendant vingt-huit jours dans un immeuble de la ville de Firminy dans la Loire. En revanche, l'institution judiciaire ne parviendra pas à lever totalement le doute sur le fait que cette, trop belle, créature ait pu être victime de faits de harcèlement de la part du maire. En effet, ce dernier, ayant entretenu une histoire d'amour dans la période lycéenne, a gardé du béguin pour elle. Ce qui est plus désagréable encore pour cet édile, c'est que cette femme est devenue, quelques années plus tard, l'épouse du chef de l'opposition municipale de la cité ponote. Les enquêteurs vont hésiter entre une hypothèse bâtie sur une histoire d'amour qui tourne mal sur fond d'enjeu politique et une hypothèse qui s'appuie sur la lutte contre la diffusion de produits stupéfiants dans les lycées.
Quelques jours après sa libération, cette femme, qui effraye et inquiète des affairistes du milieu et de la politique, sera victime d'un attentat par arme à feu. Bien que grièvement blessée, elle survivra.
Quant aux enquêteurs, ils cherchent encore qui, entre le maire de la ville ou le milieu de la pègre, a voulu se venger sur cette femme qui venait d'être libérée de ses geôliers, quelques jours plus tôt, sans que la rançon demandée ne soit payée.
L'histoire se déorule en Haute-Loire
L'histoire se déroule, en grande partie, en Haute-Loire sur les communes du Monastier-sur-Gazeille, du Puy-en-Velay et le village de "Crouziols" au Monastier qui est au point de départ de cette affaire. Les enquêteurs ont été amenés à diligenter des recherches sur les secteurs de Laussonne, Saint-Julien-Chapteuil, Firminy, jusqu'à Lyon et Marseille.
"La Disparue du viaduc" est un polard dont l'histoire est au cœur de l'actualité du moment. Le lecteur est embarqué dans une enquête judiciaire présentée dans un récit fluide à travers des mots simples.
Où se procurer le livre
"La Disparue du viaduc" est publié aux éditions Abatos (20 euros). Il peut être commandé sur le site internet www.abatos.fr, par mail contact@abatos.fr ou directement à la FNAC du Puy-en-Velay. Il est aussi disponible dans les grandes surfaces du Monastier-sur-Gazeille, de Saint-Julien-Chapteuil, de Lantriac, de Saint-Germain-Laprade, de Laussonne et autres commerces locaux. Il est également disponible au domicile de l'auteur, à Laussonne.
