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Vendredi soir, Jocelyne Duplain, ancienne élue de Sainte-Sigolène et présidente de la Chambre de commerce et d'industrie, a reçu les insignes d'officier de la Légion d'honneur.

Jocelyne Duplain voulait que cette cérémonie ait du sens. Elle en a eu. A commencer par le lieu choisi, la mairie de Sainte-Sigolène, pour recevoir cette décoration des mains d'André Marcon, maire de Saint-Bonnet-le-Froid et lui même officier de la Légion d'honneur. "C'est ici que ma vie publique a commencé, ou plutôt mon implication au service de l'intérêt général", indique l'intéressée.

Conseillère municipale sous François Fayard, elle a ensuite occupé le poste d'adjointe aux affaires économiques de Sainte-Sigolène sous Michel Januel.

Jocelyne Duplain, née Pichon, a dirigé pendant 33 ans l'entreprise familiale Pichon Plastiques Papier, créée par son père, Louis Pichon, en 1974. Elle a revendu la société en 2008 au groupe Sphère.

Il fallait aussi voir dans la remise de cette insigne par son parrain, André Marcon, un autre signe. Il est alors président quand elle intègre la Chambre de commerce et d'industrie de Haute-Loire en 1994. C'est elle qui lui succède d'ailleurs en 2000. Elle y restera jusqu'en 2016.

Aujourd'hui, Jocelyne Duplain oeuvre au sein du Conseil économique, social et environnemental de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est également administratrice de la Caisse régionale du Crédit agricole Loire/Haute-Loire.

Après avoir reçu les insignes de chevalier de l'Ordre national de la Légion d'honneur dans les années 90, et d'officier de l'Ordre du mérite en 2003, la voici à présent promue officier de la Légion d'honneur.

Les élèves de 3e du collège du Sacré-Coeur de Sainte-Sigolène, inscrits en dispositif de Projet Individuel de Formation, avaient deux objectifs principaux.  

Le 1er était préparer leur dossier et leur oral en vue de l'obtention du CFG (Certificat de Formation Générale). A noter que cette année les 11 élèves qui se présentaient à ce certificat ont tous réussi.

Le 2e objectif était d'écrire une nouvelle fantastique afin de la publier, grâce à l'aide de la structure "Lire Demain" qui se chargeait de l'impression.  

Le projet ayant été mené à bien, les élèves ont eu le plaisir de recevoir leur création littéraire au cours d'une petite cérémonie sympathique qui s'est déroulée au foyer du collège.

Cela ressemble fort à une arnaque. Ces derniers jours, des entreprises et commerces de Sainte-Sigolène, dont le nombre n'est pas quantifiable, ont reçu un courrier avec un logo de l'Ad'ap (agenda d'accessibilité programmée). D'autres communes ont pu ou pourront être touchées.

Ce courrier se veut menaçant vis-à-vis des commerces qui n'ont pas encore répondu aux obligations en terme d'accessibilité aux personnes à mobilité réduite.

Dans ce courrier, cet organisme se propose d'aider les commerces en renvoyant vers un site internet bien fichu. Le paiement se fait en ligne.

"Nous avons eu un retour de commerçants, étonnés de recevoir ce courrier. Nous l'avons aussi reçu en mairie. J'ai appelé un numéro commençant par "09", trouvé sur le site internet. Quand j'ai rappelé que la préfecture était la seule habilitée à mettre en demeure les commerces, on m'a raccroché au nez", détaille Elise Marsay-Denous, directrice générale des services à la mairie de Sainte-Sigolène.

"Il s’agit d’une pure et simple arnaque, puisqu’après vérification, cet organisme n’a aucune existence légale et aucune légitimité pour procéder à quelqu’étude rémunérée que ce soit", conclut Elise Marsay-Denous.

Le courrier reçu

L'association Festigolène sera sur le pont le 14 juillet pour célébrer la fête nationale à Sainte-Sigolène.

L'animation débutera à 14 heures avec le concours de pétanque à la salle polyvalente. L'engagement est de 15 euros par doublette.

En soirée, une soupe aux choux sera servie au tarif de 9 euros. Suivront un feu d'artifice tiré depuis la place Jean-Salque puis un bal populaire.

Les travaux de l'assemblée générale de la Chambre des métiers et de l'artisanat de Haute-Loire, vendredi soir, à Sainte-Sigolène, a permis de mettre en avant l'excellence des savoir-faire via le label d'Etat "entreprise du patrimoine vivant" (EPV).

Pas toujours facile de se retrouver dans les labels qui fourmillent dans un contexte où la mondialisation des échanges ne réserve pas toujours d'heureuses surprises. Avec la notion d'EPV, "entreprise du patrimoine vivant", l'Etat s'attache à assurer une reconnaissance d'un savoir-faire qui répond à trois critères : la détention d'un patrimoine économique spécifique, la mise en oeuvre d'un savoir-faire rare reposant sur la maîtrise de techniques traditionnelles ou de haute technicité, et la notoriété ou ancienneté de l'implantation.

Un très large panel d'activités peut être concerné par cette démarche : patrimoine bâti, culture, mode, décoration, gastronomie...

17 entreprises du patrimoine vivant en Haute-Loire

Le label est attribué pour une durée de cinq ans, renouvelable, après examen pointilleux d'un dossier déposé à l'Institut supérieur des métiers qui enclenche diverses visites au sein de l'entreprise demandeuse. La Chambre des métiers et de l'artisanat est sollicitée pour donner un avis.

En France, le nombre d'entreprises labellisées s'élève à 1393 (pour 4010 dossiers reçus). Elles sont 214 en Auvergne et 17 en Haute-Loire. Parmi ces dernières, deux d'entre elles ont témoigné lors de l'assemblée générale vendredi.

Yves Tardy pour SAS Liogier Allary de Saint-Didier-en-Velay a présenté tout l'intérêt de ce label pour sa société employant 10 personnes à la fabrication de râpes et rifloirs piqués main, pour le bois et la pierre. Il s'agit d'outils d'exception acquis par des artistes, des artisans, ébénistes, pipiers, luthiers... mais aussi le monde médical pour le travail des prothèses.

Les râpes de Saint-Didier-en-Velay s'exportent

Ces râpes se retrouvent un peu partout autour de la planète, que ce soit en Europe, en Asie, aux Etats-Unis, en Amérique centrale,  dans les Emirats... Car c'est bien une des spécificités de ces entreprises estampillées EPV : 72% d'entre elles réalisent une partie de leur chiffre d'affaires à l'export. Plus d'infos sur l'entreprise en cliquant ici.

Autre témoignage, autre savoir-faire, celui du chaumier, typique de la ruralité et quasiment en voie de disparition. Pierre Gimbert représentait Les Chaumiers du Mézenc à Moudeyres, qui, depuis 1986, exercent une activité de couvreur-chaumier. Ce métier, qui n’est plus enseigné aujourd’hui, a été transmis à Pierre Gimbert par un ancien artisan chaumier de la région. L’entreprise utilise la paille de seigle pour réaliser ses toitures.

Plus d'infos sur le label EPV en cliquant ici

Jeudi, la collecte de sang de Sainte-Sigolène coïncidait avec la Journée mondiale des donneurs de sang.

Les donneurs ont répondu à l'appel avec 136 personnes dont 4 nouveaux donneurs (trois venaient de fêter leur anniversaire).

"Nous pouvons les en remercier d'être venus malgré la chaleur. Ils pourront sauver des vies en ces périodes estivales", commente Pierre Souchon, le président.

Jeudi matin, quatre classes (soit 100 élèves) sont venues assister au don du sang et ont pu faire le parcours des globules. "Ils pourront inciter leurs familles à devenir donneurs", espère le président de l'amicale sigolénoise.

A la fin de la visite, un petit encas leur a été offert.

Le prochain don du sang à Sainte-Sigolène aura lieu le jeudi 24 août de 8 h 30 à 11 h 30 seulement.

La collecte de sang total de Sainte-Sigolène a lieu jeudi à la salle polyvalente de 8 h 30 à 11 h 30 et de 16 heures à 19 heures. Elle est organisée en lien avec  la Journée mondiale des donneurs de sang benévoles.

A cette occasion, les élèves des écoles publique et privée (CM1/CM2) effectueront le parcours des globules et assisteront au prélèvement du don du sang.

Pour un premier don, il est demandé ne pas venir à jeûn et de se munir de sa carte d'identité.

Tout donneur doit avoir entre 18 et 70 ans et peser plus de 50 kg.

Les membres de l'association Festigolène, sous la houlette de leur présidente, se sont réunis afin de concocter le programme des festivités du 14-Juillet.

Début des réjouissances à 14 heures le 14 juillet avec le traditionnel concours de pétanque. Une soupe aux choux sera servie en soirée avant le feu d'artifice et le bal populaire.

La 31e édition du tournoi de foot Dowlex (du nom de la société américaine Dow, fabricant de produits chimiques) a réuni 452 enfants des catégories U9 et U11 samedi sur le complexe sportif de Sainte-Sigolène.

Les U9 ont participé à un plateau toute la journée sans score ni classement. Trente-six équipes étaient constituées sur le terrain synthétique, décomposée en six surfaces de jeu.

Sur le terrain en herbe, trois espaces de jeu ont permis à 18 équipes U11 d'évoluer.

En finale, la victoire est revenue à Roche-Saint-Genest, finaliste malheureux une semaine plus tôt à Lapte. Les Ligériens se sont imposés à l'issue de la séance des tirs au but contre Dervaux. Ils ont soulevé la coupe Pierre Court, cofondateur de ce tournoi avec Joannès Moulin en 1986.

Dunières complète le podium, Sainte-Sigolène est 7e.

L'événement a été encadré par 18 arbitres et plusieurs dizaines de bénévoles.

Les jeunes adolescents du Contrat local d'accompagnement à la scolarité (CLAS), porté par le Point Information Jeunesse Acija, ont imaginé une exposition. En dehors du temps scolaires, ces jeunes ont bénéficié d'activités et d'aides aux devoirs. Une quarantaine d'enfants sont accompagnés sur Sainte-Sigolène.

Leur projet a été de créer une histoire sans jamais l'écrire. Leur travail s'appuie sur des contes de fée et l'univers du fantastique.

Samedi matin, à l'occasion du vernissage, une surprise attendait les adolescents avec la présence de la conteuse Pascale du collectif Konsl'diz.

L'exposition est visible dans le hall de la mairie, aux heures d'ouverture de l'hôtel de ville.