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Un automobiliste monistrolien âgé d'une quarantaine d'années a perdu son permis vendredi en fin d'après-midi. Il a été intercepté par les gendarmes de la brigade motorisée à la vitesse de 172 km/h au niveau des "Barrys" entre Yssingeaux et Monistrol. La vitesse retenue a été 163 km/h sur une portion de route limitée à 110 km/h. Invité à souffler dans l'éthylotest par les militaires, l'automobiliste a aussi dépassé les limites autorisées avec un taux de 1,32 gramme par litre de sang.

Les contrôles ont donné lieu à quatre rétentions de permis au cours du week-end. Un autre conducteur a été pris à 140 km/h sur une portion à 90 km/h à Yssingeaux. Sur la RN88 Sud, la BMO du Puy a intercepté deux voitures à 137 et 158 km/h au lieu de 90 km/h.

Au total, 39 excès de vitesse ont été répertoriés au cours du week-end. Huit alcoolémies et deux conduites sous l'emprise de stupéfiants ont été comptabilisées en Haute-Loire.

Une Citroën "Xsara" a été entièrement détruite lundi après-midi dans un incendie. Le feu s'est déclaré alors que cette automobiliste monistrolienne circulait entre Bas-en-Basset et Monistrol-sur-Loire, vers 14 h 30.

Voyant de la fumée se dégager du bloc-moteur, cette technicienne de surface s'est arrêtée en urgence sur le bord de la route. Descendue pour voir ce qu'il se passait, c'est à ce moment que les flammes ont pris naissance et ont ravagé tout le bloc-moteur et l'habitacle. Des automobilistes se sont arrêtés pour lui porter assistance.

Un chauffeur routier a utilisé son extincteur pour combattre les flammes en attendant l'arrivée des pompiers.

Un accident s'est produit lundi vers 8 h 45 sur la RN88, entre Firminy et Monistrol-sur-Loire, 500 mètres avant la sortie de Monistrol/Sainte-Sigolène.

Une femme de 26 ans, au volant d'une Citroën "C3", a perdu le contrôle de son véhicule dans la longue ligne droite. Elle a percuté le talus avant de partir en tonneaux et de s'immobiliser dans le fossé.

Légèrement blessée, la victime, une habitante de Moselle qui suit le chantier de la ligne SNCF Le Puy-Firminy, a été conduite à l'hôpital de Firminy pour des examens de contrôle.

L'opérateur des pompiers au Puy-en-Velay a dû être surpris d'entendre un babil d'enfant dimanche matin. Ce n'était pourtant pas une erreur, ni un canular téléphonique. Ce petit garçon, d'à peine 4 ans, appelait les secours pour sa maman, prise d'un malaise et allongée au sol.

Les pompiers sont intervenus pour forcer l'entrée et porter ainsi secours à cette mère de famille, laquelle a été conduite à l'hôpital pour passer des examens.

On peut parfois regretter que les enfants soient familiarisés trop tôt aux nouvelles technologies. Toujours est-il qu'en la circonstance, ce garçonnet a pu faire le nécessaire, guidé par sa mère.

Samedi, les courts de tennis de Monistrol-sur-Loire ont accueilli la fête du tennis, une manifestation nationale relayée localement.

La journée s'est déroulée dans une ambiance conviviale. C'était l'occasion d'inviter les sponsors, d'accueillir les enfants et de proposer des animations comme des matches en double mixte.

Certains joueurs se sont prêtés au jeu avec enthousiasme au point de se grimer pour la circonstance !

Vendredi soir, à l'occasion du conseil municipal, les élus ont acté et planifié la démolition de la maison située 5 avenue de la Libération mitoyenne pour partie avec l’hôtel de ville.

Ce bâtiment Déléage, qui a longtemps abrité un magasin de meubles, fermé depuis 15 ans, a été racheté par la mairie en 2015. L'objectif est de le détruire pour réaménager l'espace et installer un arrêt de bus et tenter de désengorger l'avenue de la Libération aux heures de pointes.

Une première opération de désamiantage va concerner la bâtisse de 432 m2 au cours du mois de juillet. De l'amiante et des bois traités ont été repérés dans les toits, la peinture et les cheminées.

La démolition à proprement parler doit débuter début août et durer environ une semaine. Le maire Jean-Paul Lyonnet prévient : "Il y aura deux-trois jours difficile dans la rue. Il faudra couper la route quelques heures et la circulation sera alternée." Ces travaux devront être terminés impérativement au plus tard le 18 août pour l’aménagement des abords de l’hôtel de ville.

Les travaux correspondant à cette démolition seraient d’un montant estimé à 100 000 € HT (suivant la mise en œuvre du retrait et du traitement des matières dangereuses présentes).

La salle de la Capitelle à Monistrol-sur-Loire était remplie comme un cocon vendredi soir à l'occasion du spectacle des collégiens de Notre-Dame-du-Château. Quatre cents personnes sont venues applaudir les 80 élèves, de la 6e à la 3e, qui ont proposé de la musique, du chant, de la danse et du théâtre.

Cette soirée s'inscrivait dans le cadre d'une action contre la maladie de Lyme. Tous les bénéfices de la soirée seront reversés à Jules, un enfant normand qui a fêté ses 9 ans vendredi et qui s'est vu offrir un tableau réalisé par le graffeur Etienne Perrin.

Jeudi soir, environ 150 participants ont suivi avec un vif intérêt une conférence sur la maladie de Lyme, animée par le docteur François Berne du Chambon-Feugerolles, et enrichie de témoignages de malades chroniques.

Un accident impliquant deux véhicules s'est produit jeudi vers 18 heures sur la Départementale 12. Un ralentissement aurait provoqué cette collision qui a fait deux blessées : une femme de 36 ans et une fillette de 2 ans. Elles ont été transportées à l'hôpital de Firminy pour passer des examens.

L'entreprise Janisset allie la tradition du textile à la technologie de la plasturgie pour s'inviter dans l'industrie du luxe.

L'histoire Janisset a débuté dans les années 60 avec Roger Janisset, toujours présent dans les murs pour veiller aux destinées de l'entreprise. Passementier et rubanier, il a intégré son fils Franck en 1979, lequel a donné une nouvelle dimension à l'entreprise familiale en l'orientant dans les sangles. "J'aimais le foot, et les sangles, ça me parlait avec le sac de sport." Janisset a aussi pris le train de la plasturgie en route puisque les fils peuvent être fabriqués à partir de billes en polymères. Avec le souci de rendre le produit le plus naturel possible et de lui donner l'impression qu'il est réalisé avec de la laine. Bluffant.

Le dernier né : la sangle de l'enceinte Bose

Aujourd'hui, Janisset Tissage Transformation Injection (JTTI) évolue dans différents univers que ce soit la bagagerie de luxe, les montres de luxe, les harnais pour attacher les bébés, les sièges d'automobiles, l'armée ou encore les piscines. La société monistrolienne vient de décrocher un contrat pour créer la sangle des enceintes Bose. 3 000 pièces jour après deux ans d'études. Dans l'immense atelier, les machines produisent des pièces d'exception qui ne sortiront que d'ici un an, voire deux ans.

Des usines en Roumanie et au Vietnam

Pour y parvenir, Franck Janisset, un chef d'entreprise décomplexé, a fait le choix de s'implanter dans le monde entier avec les têtes pensantes à Monistrol, une production haut de gamme dans l'usine de l'avenue de la Gare à Monistrol (35 salariés) et des usines en Roumanie (80 salariés), Vietnam (50) et des bureaux aux Etats-Unis (1 personne) et Hong-Kong (2 personnes). Janisset, c'est 80 % d'exportation dont 20 % en Chine.

Des embauches à Monistrol en 2017

"On ne vend pas de sangle, on vend un produit", se plaît à répéter le patron qui entend bien renouveler son équipe avec des jeunes "avec des idées nouvelles pour des clients exigeants. Si on fait, ce n'est pas pour copier les autres mais pour apporter un produit nouveau."

Franck Janisset recherche différents profils : des ingénieurs certes mais aussi 10-15 personnes pour la production d'ici la fin de l'année.

Un exemple de réussite entrepreunariale que sont venus saluer mardi les candidats aux législatives de la République en Marche, Cécile Gallien et Maxime Chantegraille.

Les candidats organisent d'ailleurs une réunion publique vendredi à 19 heures, à l'Espace Beauvoir de Monistrol-sur-Loire, en présence d'André Marcon et une soixantaine de chefs d'entreprise, sur le thème de l'économie, l'industrie, l'innovation.

Vendredi, l'ensemble des dirigeants de l'US Monistrol était convié à une réunion pour organiser la saison 2017-2018. "Tous les dirigeants repartent", apprécie le président François Inglese à la tête d'un club qui compte 50 dirigeants et 400 licenciés. "On cherche à étoffer l'équipe de dirigeants."

Fabien Guinand poursuit sa mission à la tête de l'école de foot, épaulé par Jordan Solze. Thomas Monico n'est pas reconduit et le club étudie une dizaine de candidatures.

Au niveau du staff des seniors, Djilali Benkada, entraîneur adjoint, avait pris les rênes de l'équipe 1 en cours de saison. Il est confirmé à la tête de l'effectif seniors. Le rôle de Gilles Masse, ancien coach, est à définir. "Il a un boulot très prenant. C'est un amoureux du foot mais il y a la réalité", estime le président.

En ce qui concerne les mouvements de joueurs, l'USM a enregistré le départ du gardien Baptiste Pacalon, qui retourne à Dunières (District 1). Pierre Pétrot, joueur défensif formé à Monistrol, revient dans son club formateur après une expérience de deux ans à Andrézieux.