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Une Fédération des associations de commerçants et artisans de la Haute-Loire est née
Voilà une semaine qu'une Fédération des associations des commerçants et artisans de la Haute-Loire (FACA 43) a vu le jour, sous l'égide bienveillante de la Chambre de commerce et d'indutrie.
Les objectifs principaux de ce groupement de chefs d'entreprise sont tout naturellement de promouvoir le développement économique, mutualiser les compétences et les expériences de chacun, développer des projets commerciaux, de type chèques cadeaux comme le mouvement initié par Monistrol Atout, rejoint par le Haut-Lignon avec T'Cap de Tence, les Chambonnais et leur Check'Chambon, etc.
On retrouve notamment dans la bande, au côté de Retournac, Tence, Monistrol-sur-Loire, Dunières, Saint-Bonnet-le-Froid, Le Chambon-sur-Lignon, la petite dernière née des associations de commerçants, d'artisans, producteurs de l'Est de la Haute-Loire, celle d'Yssingeaux, impulsée par la municipalité, que préside Jean-Louis Bouilhol (anciennement boutique Marine et Blanc rue Maréchal-Fayolle).
La CCI fait savoir que la fédération est ouverte à toutes les associations de commerçants et artisans de la Haute-Loire.
Pour disposer d'informations en vue d'une adhésion, voici une adresse mail : fed.aca43@gmail.com
Retournac : l'opération rénovation de façades reconduite en 2017
Le conseil municipal de Retournac a validé jeudi soir la poursuite des aides accordées pour les rénovations de façades sur toute la commune. Un budget de 40 000 euros est alloué.
Depuis 2008, la commune de Retournac appuie chaque année les particuliers et les commerçants qui veulent rénover leur façade visible de la rue. Une façon de participer et encourager l'embellissement de la commune.
D'abord réservé au centre-ville à travers un périmètre de 500 m autour de l'église, le coup de pouce est depuis trois ans accordé à tous les riverains. Bruno Machabert, conseiller municipal, le désapprouve. "A Sarlanges, je trouve ça idiot. En délimitant le périmètre de l'église, on se calquait sur les règles des Bâtiments de France, c'est logique. A titre personnel, j'ai essuyé un refus alors que je suis dans le périmètre. Les Bâtiments de France, ils s'en foutent de savoir si c'est visible de la rue ou pas." "C'est le principe d'égalité. Dans tous les villages, il peut y avoir une place et un intérêt à rénover les façades", a répondu le maire Pierre Astor.
Autre remarque formulée par une conseillère municipale : le bardage bois. "C'est joli et ce n'est pas pris en compte". "Oui, mais ça coûte cher, ça risque de bouffer le budget", a encore répondu le maire.
Quels sont les critères ?
Cette mesure bénéficie à tous les propriétaires et locataires, à l'exception des collectivités, propriétaires publics et HLM. Le bâtiment doit avoir au moins 20 ans ou ne pas avoir subi de travaux de rénovation extérieure depuis 20 ans.
Seules les façades visibles entièrement de l'espace public seront subventionnées à hauteur de 40 % d'une dépense maximale de 4 000 euros.
