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samedi, 11 juin 2016 22:17
Saint-Jeures : Raphaël Migevand enterre sa vie de garçon
Difficile d'échapper à la sympahique cohorte, bruyante et échevelée, positionnée au centre du bourg de Saint-Jeures, ce samedi en fin de journée.
Sous les déguisements, on peinait de loin à reconnaître des visages familiers. Coiffés de perruques aux couleurs de la République, on pouvait penser, de prime abord, qu'il s'agissait de supporters des Bleus égarés à Saint-Jeures.
En y regardant de plus près, quelques chevelures blondes et brunes tranchaient dans ce bleu-blanc-rouge. Sur les tee-shirts blancs, un croquis sommaire évoquait un sanglier, signalant le goût pour la chasse du roi de la fête qu'on découvrait costumé en grand-mère à l'ancienne, muni de l'incontournable cercueil miniature.
Raphaël Migevand enterrait, selon l'usage, avec ses potes, officiellement sa vie de garçon, avant d'épouser le 16 juillet, à Araules, sa compagne Elodie Fournel, la mère de ses trois bambins, une fille et des jumeaux.
Sous les déguisements, on peinait de loin à reconnaître des visages familiers. Coiffés de perruques aux couleurs de la République, on pouvait penser, de prime abord, qu'il s'agissait de supporters des Bleus égarés à Saint-Jeures.
En y regardant de plus près, quelques chevelures blondes et brunes tranchaient dans ce bleu-blanc-rouge. Sur les tee-shirts blancs, un croquis sommaire évoquait un sanglier, signalant le goût pour la chasse du roi de la fête qu'on découvrait costumé en grand-mère à l'ancienne, muni de l'incontournable cercueil miniature.
Raphaël Migevand enterrait, selon l'usage, avec ses potes, officiellement sa vie de garçon, avant d'épouser le 16 juillet, à Araules, sa compagne Elodie Fournel, la mère de ses trois bambins, une fille et des jumeaux.
Publié dans
Haut-Lignon
