Sous le titre "Ad vitam aeternam" aux éditions Amalthée, Fabrice Dubouchet de Bessamorel signe son premier roman.
A 43 ans, ce fils de deux personnalités du territoire, Michel Dubouchet, son père décédé, et Yvette Marcon, se livre dans cet ouvrage où le lecteur suit les pas de Jean, grand chasseur de renard devant l'Eternel, un gibier qu'il traque à l'approche.
Sa quête du beau mammifère roux, impitoyablement persécuté, conduira Jean à croiser le chemin d'Aurore, une randonneuse. L'intrigue se déroule au pied du Mont-Lozère, au Pont de Montvert, en Lozère, dans des paysages fantastiques, rudes et éblouissants.
Fabrice Dubouchet, chauffeur-routier de profession, chasseur, a écrit ce livre pendant ses temps de pause, dans les zones industrielles impersonnelles, des no man's lands propices à libérer l'imaginaire et nourrir sa plume.
Celui qui se définit comme "un misanthrope humaniste" assume ses contradictions : "Je déteste l'Humanité tout en sachant que l'individu peut être magnifique."
Sur la quatrième de couverture, on lit ceci :
Sa quête du beau mammifère roux, impitoyablement persécuté, conduira Jean à croiser le chemin d'Aurore, une randonneuse. L'intrigue se déroule au pied du Mont-Lozère, au Pont de Montvert, en Lozère, dans des paysages fantastiques, rudes et éblouissants.
Fabrice Dubouchet, chauffeur-routier de profession, chasseur, a écrit ce livre pendant ses temps de pause, dans les zones industrielles impersonnelles, des no man's lands propices à libérer l'imaginaire et nourrir sa plume.
Celui qui se définit comme "un misanthrope humaniste" assume ses contradictions : "Je déteste l'Humanité tout en sachant que l'individu peut être magnifique."
Sur la quatrième de couverture, on lit ceci :
L’art de chasser n’est-il qu’un grand héritage atavique dispensé par nos ancêtres préhistoriques, ou bien plutôt une recherche spirituelle liant notre entendement aux concepts systémiques constituant l’univers ?
Jean souhaite mener sa vie d’être humain telle qu’il se la représente. Dans un monde intrinsèquement absurde, simplement basé sur la grande opposition des forces en présence, il veut être digne. C’est l’oeuvre de toute une vie…
Et lorsque la chasse, la philosophie appliquée, le sexe et l’amour se confondent en une seule et même énergie, la tâche devient humaine, trop humaine… Gageons que ces notions procèdent d’une même entité… Vivre !
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