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samedi, 21 juillet 2018 14:28

Une Nuit d'épouvante au Ciné Tence samedi

Samedi 21 juillet dès 21 heures, la Nuit du cinéma fantastique à Tence vous plongera dans l'horreur, le suspense, l'épouvante.

Ciné Tence récidive et propose une nouvelle nuit dédiée aux films d'horreur, d'épouvante, interdits aux moins de 12 ans.

On démarre avec "American Nighmare 4 : Les Origines". Ce film d'horreur américain réalisé par Gerard McMurray, sorti en 2018 constitue le quatrième épisode de la saga d'épouvante. Il faut imaginer un monde où, le temps d'une nuit, crimes et délits sont autorisés.

Puis on passe à "Action ou vérité" de Jeff Wadlow sur les pas d'un groupe d'amis voyageant au Mexique pour une escapade avant l'obtention de leur diplôme. Là-bas, un étranger convainc l'un d'eux de jouer à un jeu d'action ou vérité en apparence inoffensif. Une fois que le jeu commence, quelque chose de maléfique s’éveille...

Pour nourrir ses cauchemars, on boucle la nuit avec "Sans un bruit" ou "Un coin tranquille au Québec". Ce film d'horreur américain coécrit et réalisé par John Krasinski est sorti en 2018, avec l'actrice Emily Blunt. Une famille tente de survivre sous la menace de mystérieuses créatures très sensibles aux sons qui attaquent au moindre bruit. Avec une mère sur le point d'accoucher...

Tarifs : 6 € pour un film / 12 € les 3 films

Publié dans Haut-Lignon

Lundi, 138 enfants (de la moyenne section au CM2) de l'école Saint-Martin de Tence se sont rendus au cinéma pour une séance spéciale riche en découvertes.

Cette animation était programmée dans le cadre de Plein la bobine, le festival international de cinéma jeune public du massif du Sancy, en partenariat avec Plein Champ, l’association des cinémas d’Auvergne.

Les enfants ont découvert en amont des projections, une animation lightpainting (peinture à la lumière) qui les a captivés sous la houlette de Guillaume Bonhomme, coordinateur du festival.

Le lightpainting est une technique de prise de vues photographiques qui consiste à déplacer une source de lumière (lampes) en utilisant un temps d'exposition long, dans un environnement sombre. La photo ainsi obtenue révèle alors toutes les traces lumineuses "dessinées" par les enfants. Il suffit de jeter un œil sur les photos ci-dessus pour comprendre de quoi on parle.

Après l'animation, les enfants ont visionné les 8 courts métrages de l'édition 2017 du festival. Ces films d'animation étaient de différentes nationalités, russe avec « Toile d’araignée », allemande avec « Some Thing », estonienne avec « Miriam et le rêve de la poule », anglaise avec « Cordes sensibles » et française comme « Pêche en l’air » et « Je mangerais bien un enfant ». Cette sélection portait sur diverses techniques d'animation.

L’édition 2018 du festival Plein la bobine aura lieu du 26 mai au 1er juin à La Bourboule.

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Tencitrouille a encore battu des records de fréquentation vendredi après-midi.

Cette animation concoctée par l'association qui veille sur les destinées du cinéma de Tence a rallié en nombre les familles.

Après la projection d'un film d'animation, le joyeux défilé de morts-vivants, sorcières, aliens de tous acabits, fées et Pierrots rêveurs, a cheminé jusqu'à la gare où le train touristique les attendait pour une balade jusqu'en gare de Raucoules.

Au retour à Tence, un délicieux goûter préparé par le chef de l'Epicéa venait conclure sur une note gourmande ce super après-midi.

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Tencitrouille remet ça. Vendredi 27 octobre, l'association du cinéma de Tence et ses partenaires proposent une après-midi placée sous le signe de la fantaisie, de la découverte du 7e art pour les bambins, et de l'amusement pour tous.

Le programme s'ouvre dès 10 heures avec une première projection de courts métrages français d'animation réunis sous le titre "A la découverte du monde". D'une durée de 40 minutes, ils sont conseillés à partir de 3 ans. Le tarif est de 4 euros pour tous.

Retour au cinéma à 13 h 30, pour "Un conte peut en cacher un autre", un film d'animation français de 1 heure, conseillé à partir de 6 ans.

A 14 h 45, un défilé déguisé déambulera dans les rues de Tence pour rallier la gare où le petit train Velay Express embarquera tout ce petit monde en direction de Raucoules. La participation demandée pour prendre le train touristique est de 1 euro. Dans le train, Jean-Marc Vidal, le photographe de Tence, mitraillera pacifiquement les voyageurs.

Le retour à Tence au cinéma est prévu vers 16 h 35 pour un goûter concocté par le chef de l'Epicéa, un repaire pour petits et grands gourmets.

Inscription obligatoire à la bibliothèque de Tence au 04 71 59 59 10.

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Le Festival du dessin animé du cinéma de Tence poursuit son bonhomme de chemin jusqu'au mardi 8 août.

Au programme, quatorze films d'animation, dont trois en avant-première : "Un conte peut en cacher un autre" jeudi 3 août à 18 heures, "Le Vent dans les roseaux" dimanche 6 août à 16 heures , "Yo Kai Watch, le film" mardi 8 août à 21 heures.

Tout le programme ici

Des ateliers en matinée, sur inscription, étoffent le dispositif. Mardi matin, des enfants de Tence, du Chambon-sur-Lignon, Montfaucon-en-Velay se mêlaient à des petits vacanciers pour découvrir le zootrope, un jouet optique faisant figure d'ancêtre du film d'animation. Le zootrope permet de donner l'illusion de mouvement d'un personnage dessiné.

L'atelier encadré par Nathalie faisait suite à la projection de "Alice comedies", quatre petits films burlesques des années 1920 de Walt Disney.

Les prochains ateliers

Coloriage animé sur tablette numérique, jeudi 3 août, à 10 heures, pour les enfants de 4 à 7 ans (5 €).

Effets spéciaux et trucages, lundi 7 août, à 10 heures, pour les enfants de 8 à 12 ans (5 €).

Pratique

Inscriptions aux ateliers à la bibliothèque de Tence au 04 71 59 59 10

Tarif spécial festival : 4 € pour tous et à toutes les séances

Supplément de 1,50 € pour toutes les séances 3D (y compris gratuits et abonnés)

Tél / Rép: 04 71 65 46 44

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Ciné Tence organise la Nuit fantastique samedi à 21 heures au cinéma de Tence.

Trois films d'épouvante-horreur interdits aux moins de 12 ans sont programmés : « It Comes at night », « Le Manoir » et « The Last Girl : celle qui a tous les dons »

Le tarif est de 12 € les 3 films, 6 € pour un film

L'association de cinéma enchaînera par le Festival des dessins animés du 30 juillet au 8 août, avec en autres "Cars 3" en sortie nationale, mais aussi "Moi moche et méchant" en film d'ouverture, des avant-premières avec "Un conte peut en cacher un autre", "Le Vent dans les roseaux" et "Yo Kaï Watch" en film de clôture.

Le Festival des dessins animés est étoffé d'ateliers pour les enfants (zootrope, coloriages animés, effets spéciaux et trucages), des animations (goûter, karaoké, quiz), et le jeu des vitrines en partenariat avec les commerçants de Tence.

Renseignements au 04-71-65-46-44 (cinéma) ou 04-71-59-59-10 (bibliothèque)

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En prélude à la 7ème journée bio et terroir (lire l'article) organisée par l'ASVPPA (Association de sauvegarde et de valorisation du petit patrimoine auvergnat) à Saint-Jeures, Ciné Tence a programmé "Paysans en Velay Vivarais".

150 spectateurs passionnés par le sujet de l'agriculture en général, et par les conditions parfois difficiles des agriculteurs aujourd'hui, se sont retrouvés au cinéma de Tence vendredi soir pour ce documentaire sous forme de diaporama commenté et réalisé en 2000 par Bernard Peyrol, photographe.

En effet, le film "Paysans en Velay Vivarais" retrace l'historique et l'évolution du monde agricole avec notamment les débuts de l'agriculture biologique, les différents labels comme l'AOC, garants de la qualité des produits (Fin gras du Mézenc, lentilles vertes du Puy, l'agneau noir, le miel, les fruits rouges...) que la plupart des agriculteurs d'aujourd'hui défendent.

Mais la présence et le témoignage de deux agriculteurs, Lionel Souvignet producteur de viande et Robert Chouvier, producteur de lentilles vertes du Puy, montrent aussi qu'ils subissent régulièrement des crises, médiatiques (comme la vache folle), sanitaires... d'où un certain pessimisme qui se fait sentir chez certains d'entre eux.

Le débat a permis également de montrer le rôle primordial de la nature dans l'agriculture et les méfaits des pesticides et autres engrais chimiques. Les échanges se sont alors tournés vers des problématiques sanitaires mais aussi sociales et environnementales.

Bref, le débat a été riche et apprécié des spectateurs.

Les prochains rendez-vous

La nuit fantastique : samedi 22/07 à 21 heures avec 3 films "It comes at night", "Le manoir", " The last girl".

Le festival des dessins animés avec, entre autres, "Cars 3" en sortie nationale, "Moi moche et méchant 3", "Les As de la jungle", "Ozzy"... des avant-premières, des ateliers pour les enfants et un jeu des vitrines avec les commerçants, du dimanche 30 juillet au mardi 8 août.

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Un film sur le guitariste mythique Django pour ouvrir la soirée et un concert de Manouche Fournier pour la terminer. Voilà la proposition concoctée par l'association du cinéma de Tence, vendredi 9 juillet, à 21 heures.

Le film 

Un film d'Etienne Comar avec Reda Kateb dans le rôle de Django et Cécile de France traite d'un point particulier de l'existence de Django Reinhardt.

En 1943 pendant l’occupation allemande, le tsigane Django Reinhardt, véritable “guitare héros”, est au sommet de son art. Chaque soir il fait vibrer le tout Paris aux Folies Bergères avec sa musique swing alors qu’en Europe, ses frères sont pourchassés et massacrés. Lorsque la propagande allemande veut l’envoyer à Berlin pour une série de concerts, il sent le danger et décide de s’évader en Suisse aidé par une de ses admiratrices, Louise de Klerk. Pour passer, il se rend à Thonon-les-Bains, sur les bords du lac Léman, avec sa femme enceinte, Naguine et sa mère Negros. Mais l’évasion est plus compliquée que prévue, Django et ses proches se retrouvent plongés dans la guerre. Pendant cette période dramatique, il n’en demeure pas moins un musicien exceptionnel qui résiste avec sa musique, son humour, et qui cherche à approcher la perfection musicale... 

Tarifs habituels pour la séance ciné

Manouche Fournier

On ne le présente plus sur le Plateau. Cet enfant du pays surdoué s'est fait un nom dans le monde du blues, un genre qu'il affectionne tout particulièrement et qu'il présente régulièrement lors de conférences musicales.

Guitariste/chanteur et trompettiste, Manouche Fournier a vécu durant six années aux Etats-Unis où il a partagé son temps entre la musique, l’enseignement et un travail de thèse sur l’identité noire américaine dans le blues et le jazz.

Il a notamment été membre de Soft Shoe Shuffle et du collectif Sangita avec qui il s’est produit sur la côte Est des Etats-Unis, mais aussi lors d’une tournée française. Son répertoire solo lui a valu un engagement hebdomadaire au Full Moon Saloon (Baltimore), et l’a emmené jusqu’en Louisiane.

De retour dans l’hexagone, il s’est principalement consacré à son activité de musicien au sein de divers groupes, avant de fonder le Zozophonic Orchestra et le duo Junkyard Crew.

Participation au chapeau pour le concert

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Jeudi soir, à Ciné-Tence, l'excellent documentaire de Manuel Poutte, "Une Douce révolte", était diffusé devant une trentaine de spectateurs venus échanger avec Jean-Luc Roux, co-scénariste du film.

Une trentaine de spectateurs attentionnés et motivés étaient présents pour cette soirée-débat entourant la projection de "Une Douce révolte" de Manuel Poutte. Le documentaire pose des questions cruciales et proposent des réponses qui revigorent. "Nous vivons une des crises mondiales des plus importantes. Pourtant certains pays ne sont pas touchés, notamment la Suisse, le Japon au niveau sanitaire ? Pourquoi ? Parce qu'ils ont su créer une monnaie locale participative et complémentaire, entre autres."

En France, certaines régions ont aussi adopté cette manière de dynamiser leur région comme par exemple au Pays Basque, avec l'eusko, qui est la monnaie locale la plus forte de France. Jean-Luc Roux, spécialiste des monnaies complémentaires et économie solidaire (parmi d'autres talents car il a beaucoup de cordes à son arc), a expliqué de manière tout à fait compréhensible et simple comment ça marche.

Pas une utopie, une réalité

"Le but d'une monnaie locale est de favoriser les producteurs et artisans locaux. Nous sommes tous de plus en plus, à la recherche d’authenticité. Cette monnaie a une durée de vie d'un an, ce qui favorise les acheteurs à dépenser leurs euskos pour des denrées locales et utiliser les euros pour le reste des dépenses. Tous les pays, régions, qui ont commencé à mettre en service des monnaies locales participatives, ne veulent plus revenir en arrière à 95%."

A côté de chez nous, à Saint-Etienne, il y a aussi une monnaie locale : le Lien. Parmi les chiffres clés, retenons et méditons ceci : "Il faut savoir qu'un euro permet 3,5 transactions avant de retourner à la banque. Une monnaie locale en fait 19."

Les rendez-vous de Ciné-Tence

Vendredi 9 juin, 21 heures, ciné-concert avec le film "Django" et Manouche Fournier (concert gratuit avec participation au chapeau)
Vendredi 30 juin, 21 heures, ciné débat avec Paysan en Velay-Vivarais dans le cadre de la 7e journée Bio et Terroir organisée par l'ASVPPA de Saint- Jeures.

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Le cinéma de Tence a consacré une bonne partie de cette semaine au film : "Pourquoi nous détestent-ils ?"

Ce documentaire réalisé et incarné par Amelle Chahbi, Alexandre Amiel et Lucien Jean-Baptiste se concentre sur les relations qu’entretient la France avec trois tranches de sa population : les musulmans, les juifs et les noirs.

Il a été pensé après les évènements tragiques survenus lors des attentats de Charlie Hebdo et inspiré des expériences de chacun des réalisateurs comme Lucien Jean-Baptiste qui explique avoir été "choqué" lorsque son fils de 6 ans lui déclare un jour: "papa, à part toi, je n'aime pas les noirs"

La persistance des clichés racistes

A travers leurs vécus et une série de rencontres, c'est la persistance des préjugés et des clichés racistes en France que dénonce ce film.

Par exemple, l'humoriste et comédienne Amelle Chahbi se confronte avec un sang froid incroyable, lors de la manifestation du 1er mai 2016 à un militant nationaliste. Le comédien et réalisateur Lucien Jean-Baptiste interviewe Henry de Lesquen, le président de Radio Courtoisie, qui souhaite notamment bannir la musique «nègre», qu'il juge trop sexuelle, des médias publics.

Le racisme se nourrit de fantasmes

De son côté, le journaliste et producteur Alexandre Amiel s'interroge sur la situation de la communauté juive en France et rencontre Jérôme Bourbon, patron de «Rivarol», journal ouvertement antisémite... Ces rencontres ayant pour objectif d’enfermer les racistes dans leurs contradictions et dans leur fantasme.

Les trois réalisateurs se sont également entretenus avec, entre autres, un historien, un journaliste, ou encore un anthropologue pour nous permettre de réfléchir et de comprendre pourquoi ces clichés sont ancrés dans notre société depuis si longtemps.

Des séances scolaires et tout public

Le film a été proposé aux deux collèges de Tence : 69 élèves de 4e et 3e du collège Saint-Martin et 141 élèves de la 6e à la 3e du collège de La Lionchère, sans compter la séance ouverte à tous.

A la suite de ces projections, Amelle Chahbi a échangé avec le public. Véritable film citoyen, le document a interpellé tous les spectateurs et notamment le jeune public, qui bien qu'intimidé au départ par la présence de la réalisatrice ont osé des questions pertinentes. Et c'est avec beaucoup de générosité qu'elle a répondu à chacun.

Le dialogue pour lutter contre le racisme

Elle a bien sûr mis en avant les dangers du racisme qui conduisent souvent à la haine de l'autre, que ce soit de manière physique ou verbale (le film est très explicite sur ce point) et a expliqué aux collégiens que la meilleure façon de répondre aux attaques racistes était le dialogue, même si c'est loin d'être évident.

Retenons une phrase prononcée par un collégien, à la fin de la discussion à l'attention d'Amelle Chahbi : " Si on vous insulte, c'est parce que vous avez quelque chose en plus, que les racistes vous envient "

Moment de partage et d'échange émouvant pour les élèves, les professeurs, les spectateurs en général et pour les membres du cinéma. Tous les collégiens ont applaudi et accueilli généreusement ce film ainsi que l'intervention d'Amelle Chahbi.

Des rendez-vous

Une séance à tarif préférentiel : à partir du mois de mai, le cinéma proposera une séance en journée, ouverte à tous, au tarif préférentiel de 4,50 euros, à 14 heures chaque mardi. Première séance mardi 16 mai avec le film "Sage-femme".

Le prochain ciné débat : vendredi 28 avril avec "Nature paysanne" de Thibault Mazars, en présence du réalisateur.

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