Quatre associés viennent de lancer une marque de cosmétiques, Velavi, qui s'appuie sur les richesses naturelles de la Haute-Loire pour créer des soins du visage et du corps.
Velavi entend allier le pouvoir des plantes et s'appuie sur quatre piliers : l'eau de source de Saint-Bonnet-le-Froid, la verveine, le miel royal des montagnes et l'acacia. Derrière Velavi, on retrouve quatre Altiligériens aux parcours différents mais complémentaires au moment de se lancer dans cette aventure commerciale.
Quatre associés comme piliers
A la source, Denis Chantegraille est celui qui a initié le projet. PDG d'Addiplast à Saint-Pal-de-Mons, ce docteur en chimie est aussi un amoureux de nature et de pêche, domaine dans lequel il développe de nouveaux produits éco-responsables. Le Bassois est allé chercher Jacques Marcon, le chef triplement étoilé de Saint-Bonnet, un ancien copain de colonie de vacances qui lui apporte ses connaissances dans les trésors naturels que représentent les plantes et les arbres.
Marie Calvez de Saint-Pal-de-Mons a rejoint l'aventure en tant qu'experte en cosmétologie. Et le quatrième fondateur est Thomas Marcon, gérant des Sources du Haut Plateau à Saint-Bonnet, frère de Jacques, qui fait profiter les clients du spa de ces produits bien-être.
Vendu auprès de professionnels et du grand public
Après dix-huit mois de travail, les premiers flacons et pots Velavi (packaging 100 % recyclable et recyclé) sont commercialisés depuis le début d'année avec l'espoir de séduire des professionnels, des magasins spécialisés, des pharmacies. Le grand public peut aussi se procurer les produits Velavi directement en ligne sur le site internet de Velavi.
Sortir de nouveaux produits chaque année
A terme, les dirigeants de Velavi, qui ont conscience de pénétrer un marché très concurrentiel, comptent développer une gamme 100 % Haute-Loire (ou Ardèche). "On compte sortir un ou deux nouveaux produits par an", annonce Denis Chantegraille. Velavi, fabriqué en France et certifié biologique et naturel Cosmos Organic par Ecocert, entend se positionner sur un marché moyenne gamme.
L'attention portée à la cueillette
"On est en discussion pour s'appuyer sur un cueilleur de Saint-Julien-Chapteuil. On veut s'appuyer sur la nature de Haute-Loire sans dégrader l'écosystème", ajoute Jacques Marcon. "Il ne faut pas cueillir n'importe quand et n'importe comment. On veut préserver la nature."
Site internet : https://velavi.fr/
