Deux femmes laïques formées
Cette cellule, composée de deux femmes laïques formées professionnellement à l’écoute (et d’un prêtre qui n’intervient pas dans les entretiens), reçoit et répond aux courriers, propose une rencontre le cas échéant, de façon confidentielle, voire totalement anonyme si besoin. Parfois, des rencontres avec d’autres victimes ont été proposées. Cela a été le cas à plusieurs reprises dans le diocèse.
Un vif besoin d'écoute
"Ces personnes ont souligné l’importance de pouvoir s’exprimer en confiance et d’être vraiment écoutées. Elles ont souvent besoin d’être soutenues et éclairées dans les démarches éventuelles à suivre et d’être reconnues avec ce tout qu’elles ont vécu dans le cadre des abus."
La confidentialité de rigueur
"Les entretiens et les relations entre les membres de la cellule d’écoute et les victimes se font à leur demande, parfois avec l’évêque ou un prêtre si tel est leur souhait, toujours dans la confidentialité, suivis ou non de signalements en fonction de la gravité des faits révélés."
Des actes insupportables
"La cellule d’écoute existe pour permettre aux personnes blessées par ces actes insupportables d’abus et de pédocriminalité, d’exister, d’être écoutées, entendues, crues et aidées. A travers ce service diocésain, l’Église veut devenir une maison sûre et lutter contre la pédocriminalité en son sein. Plus que jamais, l’Eglise est au service de tous."
