Alexandre Pradas est à la recherche d'un théâtre de marionnettes Guignol fabriqué par son arrière-grand-père. Il rêve de retrouver la trace de ce volumineux objet.

A 31 ans, Alexandre Pradas s'est lancé sur les traces de l'héritage familial en Haute-Loire. Ce Lyonnais de naissance est le fils d'une Chadracoise (Françoise Fraisse, née en 1964), petit-fils d'un Paulhaguetois (Pierre Fraisse, né en 1940) et d'une Stéphanoise (Jeanne, née Sella en 1935), arrière-petit-fils de Louis Sella (Lyon-Lavoûte, 1902-1988). Les soeurs de sa grand-mère sont Mireille Mosnier qui vit encore à Lavoûte-sur-Loire, et Lison Marcon à Tence.

"Le théâtre a été construit par mon arrière-grand-père Louis et l'un de ses frères, Jacques, Joseph ou un autre. Ils l'ont utilisé comme activité notamment dans les villages du coin. Jeanne ma mamie y a souvent travaillé dans sa jeunesse", raconte le trentenaire.

Il ajoute : "La dernière information que nous avons est que ce théâtre de marionnettes aurait été donné par Louis à la maison de retraite Ehpad Notre-Dame de Beaulieu. Je suis déjà passé à cet Ehpad et on me dit qu'ils n'ont rien, ni théâtre ni même marionnettes qui peut être une piste, et aucune connaissance de son existence."

Le but ultime d'Alexandre Pradas serait de le retrouver. "C'est un objet familial culte. Je suis passionné d'histoire de Lyon et de généalogie. Ma grand-mère y a travaillé avec son père, cela me ferait plaisir de lui raconter la suite. Elle a 88 ans, elle est en pleine forme, c'est d'ailleurs elle qui nous a révélé son existence."

Contact : pradas.alexandre@outlook.com