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Sanssac-l'Église : une nouvelle plaque inaugurée samedi au monument aux morts
Sanssac-l'Église commémore la fin de la grande guerre avec une solennité particulière. Une nouvelle plaque porteuse de deux noms supplémentaires de "Morts pour la France" sera inaugurée samedi 10 novembre.
"Se remémorer la Grande guerre, c’est un devoir de mémoire dû à tous ceux qui, pour leur pays, ont parfois perdu la vie, parfois l’intégrité physique, mais ont toujours perdu leur tranquillité d’esprit. Mais aujourd’hui, cela doit être plus que cela : rappeler les souffrances immenses qu’engendra cette guerre, qu’engendre toute guerre, doit conduire à réfléchir sur la chance qu’est de vivre en paix, et le devoir que l’on a chacun chacune de ne pas dilapider cette chance par la culture du repli sur soi, de la haine de l’autre."
C’est pour ces raisons complémentaires que la commune veut donner un relief particulier à l’occasion de ce centenaire de l'Armistice de 14-18.
Des soldats oubliés rétablis dans leur souvenir
Après des recherches dans les archives, la mairie a été conduite à rajouter deux noms de "Morts pour la France" sur le monument aux morts. La plaque ainsi complétée sera inaugurée le 10 novembre à 11 heures en présence des autorités et élus.
Ce rétablissement dans leur souvenir et leur honneur à ces soldats oubliés donnera une dimension particulière à la cérémonie de cette année. A la suite, des enfants liront des extraits de lettres de poilus. Sera aussi présenté le drapeau rénové des anciens combattants.
Une conférence de Georges Michel
Cette cérémonie civile sera précédée de l’office religieux à 10 heures. Un verre de l’amitié conclura cette matinée.
En fin d’après-midi, le président du Souvenir Français Georges Michel retracera lors d’une conférence les grandes étapes de ce conflit.
Et jusqu'au 16 novembre, en mairie sera présentée une exposition invitant à la réflexion.
Toute la population de la commune de Sanssac-l’Eglise, adultes et enfants des écoles, est invitée à participer à ce moment fort de la vie communale.
Sanssac-l'Eglise : le jeune homme recherché s'est rendu
Le jeune homme de Sanssac-l'Eglise recherché, qui avait mobilisé le GIGN pour son hypothétique capture, s'est rendu de lui-même cet après-midi au commissariat du Puy-en-Velay.
Il a été pris en charge par les services de la gendarmerie et a été placé en garde à vue.
Toute la question maintenant est de savoir si son discernement est altéré ou non, comme l'indiquait ce matin en conférence de presse le procureur de la République Jacques Louvier. "Des expertises psychiatriques devront être réalisées."
Sanssac-l'Eglise : le jeune homme reste introuvable
Le jeune homme ne se trouvait plus dans la maison. L'assaut donné par le GIGN mardi soir a permis de constater l'absence de l'individu recherché dans la maison familiale de Sanssac-l'Eglise, quadrillée depuis la nuit précédente par les gendarmes puis des militaires de l'antenne régionale de Dijon du GIGN.
Mardi, en fin d'après-midi, des hommes du GIGN sont arrivés de Paris avec un robot qui a précédé leur entrée dans la maison familiale où un homme de 22 ans aurait tiré un coup de feu la nuit précédente en direction de son père, lequel n'a pas été blessé.
Le GIGN a fouillé la maison au lieu-dit "Farreyrolles" et a retrouvé plusieurs armes. En soirée, un homme correspondant au signalement aurait été vu par des journalistes du journal L'Eveil qui ont même pu échanger avec lui, à quelques centaines de mètres seulement de la maison. Le dispositif du GIGN a été levé dans la soirée. Les recherches se poursuivaient avec un dispositif classique mené par les gendarmes de Haute-Loire.
Sanssac-l'Eglise : il tire sur son père, le GIGN appelé en renfort
Grosse mobilisation de forces de l'ordre à Sanssac-l'Eglise, hameau de Farreyrolles, depuis ce mardi 2 h 30 du matin. Dans la nuit, un jeune homme de 22 ans, ancien militaire, a ouvert le feu sur son père.
Lorsque le père est arrivé, rentrant du travail, il a vu la voiture de son fils qui avait passé la soirée avec des amis. Puis son fils est arrivé vers lui et lui a tiré dessus, sans l'atteindre.
Le père s'est rendu alors à la gendarmerie. Les gendarmes ont téléphoné, réveillant le jeune frère du tireur présumé qui dormait à l'intérieur, et l'invitant à quitter la maison.
Par précaution, une quinzaine de personnes ont été évacuées autour de la maison.
35 militaires dont une équipe du GIGN de Dijon sont sur place, avec un négociateur. Ils attendent le renfort du GIGN de Paris.
Car, à 18 heures, personne n'a la certitude que le jeune homme est retranché dans la maison malgré différentes tentatives pour rentrer en contact avec lui : appels au megaphone, au téléphone, tirs de balle en caoutchouc.
Yvan Marc en concert samedi à Sanssac-l'Eglise
