vendredi, 09 septembre 2016 23:11

Le club de tennis se cherche un nouveau président

Le bureau devra se choisir un nouveau président.|Yves Delaigue a démissionné du bureau.|L'absence de chauffage à la salle Montbarnier pose problème.|Mike Favier a été mis à l'honneur.|| Le bureau devra se choisir un nouveau président.|Yves Delaigue a démissionné du bureau.|L'absence de chauffage à la salle Montbarnier pose problème.|Mike Favier a été mis à l'honneur.|| Photo La Commère 43|Photo La Commère 43|Photo La Commère 43|Photo La Commère 43||

Le président du Tennis club d'Yssingeaux a démissionné en début de semaine. Après avoir trouvé un nouvel entraîneur, le club va devoir élire un nouveau président.

Yves Delaigue ne sera resté que neuf mois président du club de tennis d'Yssingeaux. Critiqué pour son mode de gestion et poussé vers la sortie, il a remis sa démission lundi. Le sujet a évidemment été abordé vendredi soir lors de l'assemblée générale et une solution sera trouvée dans les prochains jours via l'élection d'un nouveau bureau.

Après le changement inattendu d'entraîneur au cours de l'été, c'est un nouvel imprévu pour l'association sportive qui compte 110 licenciés. "On va travailler sur la communication. Mais il faut que cela fonctionne dans les deux sens : le bureau vers les licenciés. Mais vous ne devez pas hésiter à venir nous voir, nous questionner", estime Philippe Joseph, vice-président.

Des joueurs s'échauffent sur la question du chauffage

L'assemblée générale a été l'occasion de remettre sur le tapis le problème du chauffage en hiver. Et la présence de Victor Sabatier, adjoint aux associations, et Michel Sarda, adjoint aux affaires scolaires, a donné l'occasion aux joueurs et parents de rappeler la nécessité d'entreprendre des travaux à Montbarnier. "C'est l'avenir du club et le confort des jeunes qui en dépend. La question n'est pas de mettre le chauffage mais d'isoler le bâtiment. En hiver, c'est bien simple, il fait plus froid dedans que dehors." "Ce n'est pas aux oubliettes", assure Victor Sabatier alors que Michel Sarda a estimé que c'était "surtout un problème technique. On ne dit pas non, on ne dit pas oui."

Dernière modification le samedi, 10 septembre 2016 10:16

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