mardi, 04 janvier 2022 17:29

Les rendez-vous de janvier de la saison culturelle monistrolienne

Passagers de l'aube Crédit DR|Ouvre la cage  Crédit DR|Les Monstrueuses  Crédit DR|Autre Crédit DR|| Passagers de l'aube Crédit DR|Ouvre la cage Crédit DR|Les Monstrueuses Crédit DR|Autre Crédit DR|| |||||

La saison culturelle de Monistrol-sur-Loire  propose de commencer l'année par de la danse et du théâtre contemporain.

Vendredi 7 janvier, laissez-vous embarquer par une pépite théâtrale découverte à Avignon et ayant fait l'unanimité parmi l'équipe de programmation. Un texte et une mise en scène saisissantes de Violaine Attac originaire d’Yssingeaux.

Le dimanche 16 janvier, venez en famille ouvrir la cage afin d'accompagner enfants ou petits-enfants à la découverte de leur premier spectacle vivant. Ce sera à la Capitelle, 2 séances en petit comité afin d'être au plus de la danseuse qui va se transformer en oiseau.

La compagnie en résidence dévoilera son travail le 22 janvier avec "Les monstrueuses". Une histoire personnelle intime au fil des décennies servie par la plume et l'interprétation de Leila Anis.


Un stage de théâtre

La compagnie proposera un stage de théâtre le 23 janvier à l'atelier théâtre adulte, une rencontre le lundi 24 janvier avec les enfants de l’IME Synergie et deux représentations scolaires de face de lune le 25
janvier.

Enfin le 29 janvier, la MJC propose "Autre" de Virginie Barjonnet. La chorégraphe va raconter comment, petite fille, elle a gravi les étapes pour devenir danseuse professionnelle.

Un stage en direction des ateliers danse de la MJC est programmé en amont de la représentation.


Les rendez-vous

Les passagers de l’aube : vendredi 7 janvier 20 h 30 à l’Espace culturel du Monteil

C’est l’histoire captivante de Noé, jeune et brillant interne, en dernière année de neurochirurgie et à l’avenir tout tracé dont les certitudes vont voler en éclats. Une polémique scientifique va l’entraîner dans une fuite en avant, mettant ainsi en péril sa carrière, l’estime de son meilleur ami Ronan, sa relation avec Alix, la femme qu’il aime.

La science peut-elle rejoindre le spirituel ? Un médecin rationnel peut-il en arriver à croire qu’un homme est plus qu’une mécanique scientifique ? C’est un questionnement intime et universel porté par une histoire d’amour hors du commun, lumineuse et insensée.

Ouvre la cage : dimanche 16 janvier 11 heures et 17 heures à la Capitelle

« Perchée sur une trottinette, la danseuse s’amuse pour passer le temps. De chat perché en roulade, la voilà qui fait une drôle de découverte, une grande volière habite désormais les lieux. La danseuse épie cette grande cage aux barreaux dorés, puis, après quelques hésitations, finalement se faufile à l’intérieur. La cage se referme ! Panique ! Soudain un étrange phénomène se produit, des plumes poussent dans son cou, une curieuse mutation s’opère. Notre danseuse se pare alors d’un plumage coloré pour se transformer en un oiseau pas tout à fait ordinaire. Mais que faire de ce nouveau corps, de ces frêles pattes trop grandes et de ces ailes embarrassantes ? »

Les monstrueuses : samedi 22 janvier 20 h 30 à l’Espace culturel du Monteil

Un titre étonnant pour interroger le rapport mère-fille.

Ella, jeune femme d’aujourd’hui apprend une nouvelle bouleversante. Elle se réveille dans une chambre d’hôpital... en 1929. Qui est-elle ? Cette amnésie lui permet d’aller à la rencontre de celles qui l’ont précédée dans la généalogie familiale, des femmes exceptionnelles, filles et mères. De la Magnuna à Ella, ce spectacle évoque avec finesse, poésie et émotion quatre figures féminines portées par la comédienne Leila Anis, mêlant la multiplicité des héritages dans une même conscience et un même corps.

Autre : samedi 29 janvier 20 h 30 à l’Espace culturel du Monteil

Autre est une confidence, le témoignage qu’être soi ne correspond pas toujours à une case.

L’histoire semble simple. C’est un parcours de vie, celui d’une danseuse, les débuts, les espoirs, les efforts, les rêves qui se réalisent même s’ils n’ont pas leur couleur d’origine, les lignes droites, les pointillés, les chemins de traverse. Partager la beauté des instants, la déchirure des blessures, et toujours se dire que le ridicule ne tue pas ! Trois interprètes sont en scène : la danseuse accompagnée d’une chanteuse et d’un musicien. Le dispositif scénique intime et circulaire invite au partage des gestes et des mots.

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