jeudi, 16 août 2018 16:37

Chaudeyrolles : le Mézenc qui se déguste avec les yeux, les jambes et le ventre

|||||||||||||||||| |||||||||||||||||| ||||||||||||||||||

Jeudi après-midi, 38 randonneurs sont allés sur les sentiers du Mézenc. Partis en voiture de la Maison du Fin Gras de Chaudeyrolles, ils ont rejoint la Dent du Diable, point de départ d'une balade facile, ponctuée de dégustations.

Entre Ardèche et Haute-Loire, le Mézenc est un massif aux paysages multiples, façonnés au fil des siècles par l'homme et l'agriculture.

Au bout d'une allée fleurie face au village, guidés par Johan Rucar, les marcheurs arrivent à la première halte. A l'ombre d'un sapin, Alexandre Heintzmann a dressé une table avec des spécialités locales : de la saucisse de porc de Laussonne, de la terrine Fin Gras avec des lentilles, des toasts au miel des Estables, du fromage de chèvre aux fleurs de Chaudeyrolles.

Cette pause est l'occasion de parler du Fin Gras du Mézenc, cette Appellation d'origine protégée. Qu'on vienne de Marseille, Toulon, Lyon, Saint-Etienne, ou même du Puy-en-Velay, Sainte-Sigolène ou Saint-Pal-de-Mons, on se renseigne sur les points de vente.

Il est l'heure de repartir sur les sentiers descendants. Après la pause salée, le groupe atteint "Chantemerle", toujours à Chaudeyrolles, pour une dégustation de produits sucrés autour de la châtaigne notamment.

Tout au long du trajet, Johan Rucar raconte le Mézenc, 350 millions d'années d'histoire, les plantes, leurs vertus, les pierres.

Dernière modification le jeudi, 16 août 2018 17:58

Partager sur :