Au lendemain de l'incendie qui a détruit 4 hectares de végétation près de maisons, les pompiers restent actifs sur le terrain.

Vendredi matin, ils étaient encore trente pompiers à l'oeuvre. Les pompiers ont arrivés jusqu'à 1 h 30 du matin avant de laisser deux camions de Tence et du Chambon en surveillance.

Vendredi matin, à partir de 6 heures, de nouveaux engins ont été sollicités pour traiter les nombreuses fumeroles. Et la présence du vent motivait les secours à mettre de gros moyens pour éviter la reprise.

Après les 4 hectares qui ont brûlé, les secours mesurent encore le risque encouru par plusieurs maisons, dont une où les flammes s'étaient approchés dangereusement. "Sans l'ntervention immédiate des pompiers du Mazet et du Chambon, la maison y serait passé", assure Frédéric Menut, le chef des opérations ce vendredi. Un pompier du Chambon a d'ailleurs été brûlé à l'avant des deux cuisses en intervention sur ce feu.

Le drone des pompiers était attendu à la mi-journée pour évaluer la situation. Equipé d'une caméra thermique, il permet de cibler les points chauds. Si le risque semble écarté, les prochains jours resteront tout de même sensibles.