Attaqué à trois reprises en l'espace de six mois entre octobre 2016 et mars 2017, le radar de la Départementale 44, sur la déviation de Sainte-Sigolène, a de nouveau été la cible d'opposants.
Les faits se seraient déroulés dans la nuit de mardi à mercredi. Les auteurs n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère. La vitre avant a été badigeonnée de peinture noire. Toutes les façades ont été recouvertes de graffitis, allant du coeur à des insultes en passant par la signature "euro".
Pour clore le tout, l'appareil répressif a été entouré d'un plastique noire et de scotch.