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Mercredi vers 22 h 15, un individu pénètre sur le site d'un entrepôt appartenant à un maçon de Saint-Victor-Malescours.

Le propriétaire alerté des faits se transporte sur les lieux et met en fuite le voleur qui vient de dérober des étais de chantier et le poursuit en voiture.

Le voleur tente de semer ses poursuivants en leur jetant du matériel volé en travers de la chaussée, sans succès.

Le malfaiteur, qui habite dans une commune voisine, finit par perdre le contrôle de son véhicule et fait une sortie de route puis s'immobilise.

Il est interpellé par la victime qui au moment des faits est accompagnée par l'un de ses employés.

Le malfaiteur est gardé jusqu'à l'arrivée sur les lieux d'une patrouille de gendarmerie de la communauté de brigades de Saint-Didier-en-Velay engagée dès que la victime appelle les gendarmes au 17.

C'est un vol pour le moins osé et imposant qui a été perpétré dans la nuit de vendredi à samedi sur le site des Carrières Faurie à Araules, entre "Recharinges" et Fay-sur-Lignon.

Les voleurs étaient forcément très bien organisés et équipés pour transporter leur butin de 25 tonnes.

Un chargeur de la marque Caterpillar a été dérobé sur le site.

La valeur de cette chargeuse est très élevée puisque le prix d'un tel matériel atteint facilement 80 000 euros, voire 100 000 euros sur le marché de l'occasion.

Toute personne qui disposerait d'éléments sur ce vol ou qui serait en mesure d'indiquer la direction du convoi exceptionnel peut prendre contact avec les Carrières Faurie au 04 71 59 82 44.

Mauvaise surprise ce matin pour les commerçants de la place Carnot et de la rue Notre-Dame à Yssingeaux qui ont constaté avec amertume la disparition d'un voile de toile qui était suspendu à l'angle de la rue et de la place. Dix voiles ont été accrochés sur ces espaces pour la saison estivale, avec l'objectif d'inciter le chaland à faire du lèche-vitrine en coeur de ville et montrer le dynamisme de la vie commerçante.

Le velum était suspendu à plusieurs mètres du sol. Ses cordelettes ont été purement et simplement coupées au plus près de l'oeillet. "C'est décourageant", se désole une commerçante qui s'interroge sur l'intérêt de prochains investissements pour décorer l'espace public devant les boutiques.