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La 11e édition du Capito Trail à Saint-Julien-Chapteuil, prévu le dimanche 27 octobre, met à l'honneur le village de "Monedeyres", ancien hameau capitolien rattaché à Queyrières. Et les coureurs vont se ravitailler en musique en traversant l'église, jamais consacrée.

Joseph Gros, le président de l'association du village, a joué les lobbyistes amicaux pour faire venir le trail de Saint-Julien-Chapteuil. Comme en 2018, le hameau perché entre Saint-Julien et Queyrières va voir passer les runneurs. Cette année, les trois parcours traverseront l'église. Une église qui n'a toutefois jamais été consacrée.

Une église jamais consacrée

Construite de 1887 à 1914, elle a été érigée par les habitants eux-mêmes qui refusaient de se rendre dans le bourg Queyrières pour la messe, distant de moins de 3 km. Cette construction visait à convaincre l'évêché de nommer un prêtre. L'évêque n'a jamais cédé.

Depuis 1986, l'église est devenue salle des fêtes et permet aux riverains de se retrouver pour les rassemblements. Ils sont 85 à vivre à "Monedeyres" à l'année, deux fois plus en période estivale.

Ingalawash en concert pour les coureurs dans l'église

François Richaud, le président de Chapteuil Sports Nature, organisateur du trail, a basé sa 11e édition autour de "Monedeyres". "Les trois parcours vont y passer. C'est un coin plaisant, c'est beau pour arriver là. Le panorama est grandiose."

Les 800 coureurs attendus vont ainsi traverser l'édifice dont le clocher a été refait il y a un mois et le coq remis droit. Le passage dans l'église se fera au son de la musique du groupe Ingalawash, dont l'un des membres, Romain Nicolas, est un ancien médecin capitolien.

Les parcours

Le Capito 14 : il débute par la montée de la vallée de Combe Noire, monotrace surprenant guidé par la Sumène qui prend sa source à quelques pas de là. Puis direction Monedeyres, ce village ne vous laissera pas indifférent avec son architecture typique du Meygal et l'accueil de ses habitants qui vous proposeront un ravitaillement dans l'église...

Le retour est plus roulant mais vous apporte son lot de surprises, points de vue, monotrace au milieu des Chiers volcanique... Avec ce tracé le trail découverte prend tout son sens.

Le Capito 20 : uniquement en duo. Il faudra de la cohésion de l'entraide pour ce parcours exigeant, atypique, surprenant et quelque peu aérien. À vous de trouver le frère, la soeur le pote, la copine, conjoint conjointe etc pour vivre une expérience Trail inédite.

Le Capito 33 : objectif le Lac Bleu. Vous allez partir à la découverte du Meygal et ses contre-forts à travers monotraces et sentiers emmuraillés ré-ouverts pour l'occasion. Plus de trois ans de prospection pour aboutir à ce parcours inédit.

Une marche de 12 km sera également proposée. Le bénéfice sera intégralement reversé à l'association "LepetitMatheo".

Publié dans Mézenc / Meygal

Rendez-vous est donné vendredi 1er mars aux amateurs de musique klezmer avec Hot Azoy à Queyrières.

Le concert prendra pour cadre le chalet du Meygal à partir de 19 h 30.

Avant d'écouter Hot Azoy, qui propose un "klezmer agité", en première partie, des chants polyphoniques seront donnés par Les Mécanos.

Participation libre.

Publié dans Mézenc / Meygal
dimanche, 14 octobre 2018 18:10

Une tomate de plus de 800 grammes

La douceur de cet automne comble les jardiniers en permettant le mûrissement prolongé des légumes méditerranéens.

C'est ainsi qu'au cœur du Meygal, à "Monedeyres", entre Queyrières et Saint-Julien-Chapteuil, un jardinier amateur a eu le plaisir de cueillir une tomate dépassant les 800 grammes.

Cette tomate généreuse, charnue à souhait, affiche 823 grammes sur la balance.

Elle a été récoltée sur un plan d'Andine cornue, une variété donnée pour rustique qui avait été rapportée de la Cordillère des Andes par un collectionneur français.

Publié dans Mézenc / Meygal

Dimanche, le village de "Monedeyres" à Queyrières était en fête.

Les villageois ont partagé un repas pour l'inauguration du four banal du Mont Chabrier. Ce moment convivial était organisé par l'association de Monedeyres et son président "Jojo" Gros.

De l'avis de tous, ce fut une agréable journée passée entre riverains et voisins.

Publié dans Mézenc / Meygal

La salle des fêtes de Queyrières, nichée au coeur du bourg, non loin de l'église, sert d'écrin à une exposition d'objets artisanaux originaux jusqu'au 22 juillet.

Depuis 25 ans, le comité des fêtes, sous l'impulsion de Raymonde Meynard et Nicole Chevalier, et la municipalité ont pris l'habitude de valoriser les talents locaux via cette exposition-vente.

On retrouve cette année 18 artistes qui rayonnent dans différents univers : la sculpture sur bois, sur métal, le raku, les bijoux, le tissu, la peinture, la photographie, des vitraux... La plupart des pièces présentées peuvent être achetées pour des sommes raisonnables.

Chloé et Elisa, deux adolescentes du village, s'occupent d'accueillir le public chaque jour (même le week-end et les jours fériés) de 15 heures à 18 h 30, jusqu'au 22 juillet.

Les exposants

Francette Fauque (Queyrières) : sculptures-modelages

Elisabeth Cuffel (Tence) : vitraux

Josette Verrien (Bas-en-Basset) : céramique raku

Jacques Chenet (L'Horme) : arts de la terre

Pierre Chenet (Saint-Etienne) : peinture

Alain Houzelle (Sanssac-l'Eglise) : art celte

Sophie Marion (Queyrières) : photos locales

Thierry Richert (Queyrières) : fer forgé

Paule Vasapolli (Queyrières) : bijoux

Gilles Dorckel (Puy-en-Velay) : photos

Edwige Crouzet (Queyrières) : pastels animaliers

Isabelle Meunier (Espaly) : créations textiles

Jean-Louis Chamblas (Queyrières) : sculpture sur bois

Pascal Vignon (Queyrières) : sculptures sur bois

Danièle Rivier (Queyrières)

Marie-Claude Dantony-Meynard (L'Etrat) : céramique

Fabien Meynard (Queyrières) : bijoux cote de maille

Atelier de dentelle et de crochet (Queyrières)

Publié dans Mézenc / Meygal

Olivier Joux a créé un cyclo debout. Il espère le commercialiser en 2018.

On connaissait le vélo assis, le vélo couché. Voici le cyclo debout. A la frontière entre le vélo et le tricycle, ce mobil'up propose d'offrir un moyen de locomotion stable et pouvant se pratiquer dans toutes les tenues.

Il s'est entouré de spécialistes

Olivier Joux, de Queyrières, est l'inventeur. Depuis trois ans, il travaille sur ce projet qui devrait aboutir en 2018. Cet ancien chef d'entreprise d'une société de métallurgie et cintrage de tubes à Mornans (Rhône) a obtenu une bourse de 15 000 euros auprès de BPI France, ce qui lui a permis de recevoir l'appui d'un ingénieur (Jean-Christophe Bouvier) et d'un designer (Dominique Chantre). Jean-Christophe Bouvier connaît bien ce secteur pour avoir travaillé sur le B'Twin de Décathlon et sur la Joëlette pour les personnes handicapées.

Encore quelques modifications à apporter

"On est encore sur une phase de développement. Il reste encore quelques éléments à modifier. Des tests d'endurance vont être réalisés et on va le faire homologuer. Il sera pliable pour le rentrer facilement dans un coffre de voiture ou dans un ascenseur", annonce l'inventeur qui a pu récemment le montrer au Puy-en-Velay sur le Tour de France.

Une sensation de liberté

Avec un colori volontairement accrocheur et une forme évidemment étonnante, le cyclo debout ne passe pas inaperçu. Quelques minutes suffisent pour comprendre le fonctionnement. Les deux pédaliers sont indépendants. Les roues et le cadre se penchent dans les virages. "Il procure une sensation de liberté. Et ce n'est pas fatigant de rester debout", assure Olivier Joux.

Le cyclo debout sera amené à bénéficier d'équipements et accessoires à l'avenir : un panier pour les courses, une assistance électrique, des vitesses, des plus grosses roues pour faire du tout terrain, un modèle enfant.

Un tarif idéal de 600 euros

La fabrication est essentiellement française, voire régionale. Le cadre est fabriqué chez Deyme à Balbigny (Loire), le pédalier et autres accessoires sont achetés à Olympic Cycle à Saint-Romain-le-Puy. Les jantes viennent d'Allemagne. Le montage est réalisé à Queyrières. "Idéalement, on voudrait qu'il soit vendu 600 euros."

Le cyclo debout, comment ça fonctionne (vidéo)

Publié dans Puy et Agglo

Un accident s'est produit mardi vers 13 h 30 sur la Départementale 18 sur la commune de Queyrières. Deux véhicules se sont percutés de face, un Citroën "Berlingo" et une Peugeot "106", faisant quatre blessés.

Deux hommes de 46 et 49 ans et deux adolescents de 15 et 16 ans ont été pris en charge par les pompiers et conduits à l'hôpital du Puy-en-Velay.

Publié dans Faits divers
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mercredi, 22 février 2017 12:13

Adjao Maison à la conquête du monde

Viviane Royer et Michel Philibert ont été sélectionnés par un programme européen pour les accompagner dans le développement de leurs ventes à l'international. Direction Singapour début mars pour le couple de créateurs du Chambon-sur-Lignon et Queyrières qui privilégie les matières naturelles pour créer des lampes et objets de décoration d'intérieur.

Adjao Maison, créé en 2008, a été sélectionné sélectionné par le programme EU Gateway qui consiste à aider des entreprises européennes dans leurs processus d'internationalisation. Cette année, ce programme propose une mission commerciale à Singapour et Jakarta sur le thème du design. 

Viviane Royer et Michel Philibert, les deux créateurs d'Adjao Maison ont été sélectionnés au côté de trois autres entreprises françaises et cinquante sociétés d'Europe pour se rendre du 8 au 14 mars en Asie du Sud-Est. Le but du voyage est de rencontrer de nombreux (potentiels) partenaires commerciaux (distributeurs, hôteliers, architectes...).

"Cette mission est une incroyable opportunité pour pour développer notre chiffre d'affaires à l'international", estiment les deux créateurs d'Adjao Maison qui vont présenter leur entreprise et participer à deux salons.

Le couple du Chambon-sur-Lignon, dont l'atelier se trouve à Queyrières, vont compter sur leur objet best-seller, "l'Arbre", pour conquérir le monde. L’arbre-luminaire constitue la réalisation phare d’Adjao. Les plus monumentaux coûtent 12 000 euros.

Voir le site internet d'Adjao Maison

Publié dans Haut-Lignon

Samedi soir, le temps était idéal pour une randonnée raquettes... de nuit. Une centaine de marcheurs ont participé à la Meygal Haut, une manifestation organisée depuis 14 ans par l'association des parents d'élèves de l'école de Queyrières.

Guidés par des parents, les deux groupes ont cheminé à travers la nuit sur les sentiers balisés du Meygal. A mi-chemin, une pause était accordée pour déguster un verre de vin chaud et réchauffer les corps.

Au retour au chalet du Meygal, la soupe aux choux, cuite dans un chaudron, était prête à être servie à environ 150 convives.

Les bénévoles de cette randonnée du Meygal Haut est de participer au financement d'un voyage d'une semaine dans un château de la Loire. L'association des parents d'élèves de l'école du village, qui compte 33 enfants, aide aussi à l'achat de matériel et aux frais liés à des activités.

Publié dans Dans le 43 2016

A la suite de la consultation lancée pour mieux connaître l'utilisation des promeneurs de la forêt domaniale du Meygal, des groupes de travail vont se mettre en place pour proposer un schéma d'accueil du public.

Les 1 165 hectares de la forêt domaniale du Meygal, répartis sur cinq communes (Araules, Champclause, Queyrières, Saint-Julien-Chapteuil, Yssingeaux) appartiennent à l’État, représenté par l’Office National des Forêts qui en assure la gestion. 121 hectares (les extrêmités des sucs du Mounier, Montivernoux et du Testavoyre) sont classés en zone Natura 2000.

Un schéma d'accueil des publics à concevoir

Afin de répondre au mieux aux attentes de chaque utilisateur, tout en préservant cet espace de nature dédié à l'exploitation forestière mais ouvert à d'autres usages, un schéma d’accueil des publics en forêt domaniale du Meygal va être établi en collaboration avec les communauté de communes des Sucs, du Mézenc-Meygal, et le SIVOM du Meygal.

La consultation lancée (lire l'article) a vu revenir 500 questionnaires. Une réunion publique, samedi matin, au foyer rural d'Yssingeaux, a permis de faire le point sur le processus engagé.

Les représentantes de l'ONF ont fait une présentation claire et fort intéressante, permettant au passage d'apprendre que cette forêt est récente, 150 ans, une paille à l'échelle d'une forêt, un monde à l'échelle d'un homme.

Une forêt n'est pas un parc

Le Meygal a été reboisé à la fin du 19e siècle pour éviter les crues liés aux pluies torrentielles dévalant sans retenue les pentes. On peine aujourd'hui à imaginer un Meygal pelé, surpâturé.

La forêt est composé essentiellement d'épicéas communs et sapins pectinés. 5600 m3 de cubes de bois sont sortis en moyenne par an.

Cete rencontre  a été l'occasion de mettre en relief notamment ceci : "une forêt n'est pas un parc, c'est un écosystème". Il est en effet bon pour la pérénisation de la matière organique de laisser sur place les branches après une coupe de bois. "Un nettoyage excessif est défavorable à la biodiversité."

Des attentes contradictoires

Les remarques issues de la consultation sont contradictoires. Pour faire simple, on retrouve d'un côté des aspirations à profiter de cet espace en toute sécurité, sans le dénaturer, en améliorant l'existant et en faisant un gros effort pour le balisage des chemins et l'information des usagers.

De l'autre, on souhaiterait faire du Meygal un parc de jeux pour les touristes, en le dotant d'équipements plus lourds (hébergements, restaurant, accrobranche) ou qui peuvent faire sourire par leur connotation citadine (installer des jeux d'enfants).

Bref, il s'agit de "trouver un équilibre de bon sens" comme le soulignait Michel Sarda, le président du SIVOM du Méygal qui gère le chalet de Raffy et le domaine skiable.

Les bonnes volontés les bienvenues

Le comité de pilotage poursuit sa réflexion et reste ouvert aux bonnes volontés.

Si vous êtes interessé pour intégrer un groupe de travail planchant sur ces questions, il suffit de laisser vos coordonnées à Lydia Morzières. Tél. 06 10 90 06 09. Ou par mail : lydia.morzieres@onf.fr

Publié dans Actualités 2017
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