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Beaux : l'Ehpad des Cèdres recrute et propose de découvrir ses métiers de l'intérieur
(Publi-reportage) Le site des Cèdres à Beaux près d'Yssingeaux propose des découvertes métiers en lien avec Pôle Emploi, accompagne en formation et intensifie ses recrutements.
Dans un contexte de tension RH généralisée et alors que le monde du grand âge est entaché par le scandale d’EHPAD lucratifs, les établissements associatifs du site médico-social des Cèdres à Beaux poursuivent leur politique de recrutement et d’accompagnement vers l’emploi.
Ce site médico-social qui comprend un Ehpad, un foyer d'accueil médicalisé (FAM) et une maison d’accueil spécialisé (MAS) se situe à 5 minutes d’Yssingeaux, 30 minutes du Puy-en-Velay et 40 minutes de Saint-Etienne.
Très impliqué dans le cadre des formations, ce site propose en lien avec Pôle Emploi différentes actions de découverte des métiers et différentes solutions de formations pour les demandeurs d’emploi et personnes en reconversion.
Cet EHPAD atypique de par sa population et ses équipes pluridisciplinaires aux compétences variées, recrute en CDD longue durée et CDI à temps plein ou partiel des infirmiers, aides-soignants, accompagnant éducatif et social et agent de soins. Un poste d’agent d’entretien à temps plein est aussi à pourvoir.
Des salaires attractifs pour des métiers porteurs de sens
Salaires mensuels indicatifs pour un débutant à temps plein en CDD, incluant primes de congés payés et précarité :
IDE jour : 2 945 euros brut soit 2 255 euros net avec un week-end travaillé sur trois.
AS / AES jour : 2 370 euros brut soit 1 815 euros net avec deux week-ends travaillés.
Agent de soins « faisant fonction » : 2 300 euros brut soit 1 750 euros net avec deux week-ends travaillés et possibilités de formation.
Agent d’entretien : 2300 € brut soit 1 750 euros net avec un week-end travaillé sur trois.
Autre innovation valorisante, après 6 mois de présence les agents bénéficient d’une prime supplémentaire de présentéisme jusqu’à 100€ mensuel pour un temps plein, un bonus bienvenu en ce contexte d’inflation.
Présentation des Cèdres
Le site associatif des Cèdres propose une offre médico-sociale qualitative et atypique avec :
- L’accueil de la personne âgée ou en dérogation d’âge (moins de 60 ans) au sein d’un EHPAD de 96 places avec : accompagnement du résident en fin de vie et requérant des soins palliatifs, accompagnement spécifique de personnes souffrant de troubles psychiatriques, accueil d’adultes handicapés vieillissants, unité de vie sécurisée. La moyenne d’âge de 73 ans des résidents et leur durée moyenne de séjour de 7 ans signent la spécificité de cet EHPAD.
- L’accueil d’adultes vieillissants souffrant de handicaps en Foyer d’Accueil Médicalisé (FAM 10 places) et Maison d’Accueil Spécialisée (MAS 11 places dont une temporaire).
Des accompagnements innovants
Ces établissements proposent des mutualisations innovantes entre structures « Grand Age » et « Handicap », permettant aux professionnels de bénéficier :
D’équipes pluridisciplinaires et de compétences renforcées (médecins coordonnateurs, médecins psychiatres, Infirmiers coordonnateurs, Infirmier référent en psychiatrie, ergothérapeute, psychologue, orthophoniste, Kinésithérapeute, IDE, AS/AMP/AES, sport adapté, art thérapeute,…),
D’un panel varié d’accompagnements et de soins,
D’un cadre de travail qualitatif (architecture, équipements, formations, effectifs) permettant acquisition de compétences et épanouissement professionnel.
Pour candidater
Qualités attendues : savoir être, bienveillance, rigueur, travail en équipe, sens de l’écoute, goût du contact.
Envoyez votre CV et lettre de motivation par mail à : ehpad@lescedres43.fr
Ou par courrier à EHPAD Les Cèdres, 180 Route de Beaux - Malataverne - 43200 Beaux
Le site internet permet une découverte via un drone et une visite virtuelle : www.lescedres43.fr
Beaux : le site médico-social des Cèdres à "Malataverne" recrute rapidement
(Publi-reportage) Le site médico-social des Cèdres à Beaux, qui comprend un Ehpad et un foyer d'accueil médicalisé (FAM-MAS), recrute en CDD longue durée des infirmiers, aide-soignants, aide médico-psychologique, accompagnant éducatif et social, agent de soins.
Ce site médico-social se situe à 5 minutes d’Yssingeaux, 30 minutes du Puy-en-Velay et 40 minutes de Saint-Etienne.
Compte tenu de nombreux congés maternités/parentaux et de la volonté de renforcer les équipes du fait de la crise sanitaire, les établissements du site des Cèdres de Beaux Malataverne recrutent différents remplacements de longue durée (IDE, AS, AMP/AES, Agent de soins). Débutants acceptés.
Salaires
Salaire mensuel indicatif pour un temps plein en CDD :
IDE jour : 2 944 euros brut soit 2 265 euros net avec un week-end travaillé
AS / AES jour : 2 370 euros brut soit 1 823 euros net avec deux week-ends travaillés
Agent de soins « faisant fonction » : 2 252 euros brut soit 1 733 euros net avec deux week-ends
Présentation
Le site associatif des Cèdres propose une offre médico-sociale qualitative et atypique avec :
- L’accueil de la personne âgée ou en dérogation d’âge (moins de 60 ans) au sein d’un EHPAD de 96 places, via un panel d’accompagnements diversifié : accompagnement du résident en fin de vie et requérant des soins palliatifs, accompagnement spécifique de personnes souffrant de troubles psychiatriques, accueil d’adultes handicapés vieillissants, unité de vie sécurisée. La moyenne d’âge de 75 ans des résidents et leur durée moyenne de séjour de 7 ans signent la spécificité de cet EHPAD.
- L’accueil d’adultes vieillissants souffrant de handicaps en Foyer d’Accueil Médicalisé (FAM 10 places) et Maison d’Accueil Spécialisée (MAS 11 places dont une temporaire).
Un accompagnement innovant aux Cèdres
Ces établissements proposent un panel d’accompagements innovant entre structures « Grand Age » et « Handicap », permettant aux professionnels de bénéficier :
D’équipes pluridisciplinaires et de compétences renforcées (médecin coordonnateur, médecin psychiatre, Infirmiers coordonnateurs, Infirmier référent en psychiatrie, ergothérapeute, psychologue, orthophoniste, Kinésithérapeute, IDE, AS/AMP/AES, sport adapté, …).
D’un panel varié d’accompagnements et de soins.
D’un cadre de travail très qualitatif (architecture, équipements, formations, effectifs) permettant acquisition de compétences et épanouissement professionnel.
Qualités attendues : bienveillance, rigueur, travail en équipe, sens de l’écoute, goût du contact, disponibilité.
Pour candidater
Envoyez votre CV et lettre de motivation par mail à : ehpad@lescedres43.fr
Ou par courrier à EHPAD Les Cèdres, 180 Route de Beaux - Malataverne - 43200 Beaux
Site internet : www.lescedres43.fr
Saint-Didier-en-Velay : un malaise éclate entre des agents de l'Ehpad et la direction
Sur fonds de revendications nationales liées au manque de moyens, des agents de l'Ehpad Vellavi à Saint-Didier-en-Velay ont planté un piquet de grève. Le malaise oppose plus localement la directrice et des agents soignants.
A l'Ehpad de Saint-Didier-en-Velay, qui compte 108 résidents et 75 salariés, certains ont l'impression de revivre la crise qui remonte à dix ans en arrière. Le malaise couvait depuis quelques temps et il éclate cette semaine avec une grève de la part des personnels soignants titulaires.
Les revendications citées dans le préavis de grève
Les revendications sont à la fois d'ordre national et local. Dans le préavis de grève déposé par le syndicat CGT, il est indiqué "la sécurité des soins et des résidents, "l'arrêt du travail en sous-effectif récurrent, facilitant l’épuisement des soignants, "l’arrêt de l’accroissement excessif et continu de la charge de travail", "la nécessité de procéder à des mises en stage pour fidéliser les agents contractuels (arrêt de contrats abusifs)", "l’arrêt de la maltraitance institutionnelle envers les soignants et envers les résidents", "l'arrêt de la pression systématique de la direction sur le personnel soignant EHPAD", "l'arrêt du mépris du travail exercé par le personnel soignant" et "apporter des réponses et de l’apaisement concernant le conflit direction/soignants".
Jeudi après-midi, des agents de l'établissement public, rejoints par des collègues d'autres Ehpad du secteur (Yssingeaux, Monistrol, Aurec...) et des familles de résidents, ont planté un piquet de grève au bord de la rue.
Un médiateur sollicité
Le maire de Saint-Didier-en-Velay, Madeleine Chabanolle, est venue à la rencontre des grévistes pour annoncer une médiation sollicitée par la direction auprès d'une société spécialisée de Valence. "Je tiens au dialogue."
Un dialogue rompu
Du côté des agents, le dialogue est actuellement rompu avec la direction. "La directrice a indiqué que des sanctions seraient prises si nous participions au mouvement de grève. On n'est pas en grève pour le plaisir. On a essayé le dialogue sans succès", lâche une soignante. Selon la CGT, "100 % des agents titulaires participent à la grève, avec maintien des soins, des agents étant réquisitionnés". Toujours selon la CGT, "ici, il y a 40 % de titulaires contre 60 % de contractuels, c'est plus qu'ailleurs".
Selon un aide-soignant, le manque d'effectifs empêche la bonne organisation de leur travail. "Certains résidents n'ont pas pris de douche depuis trois semaines. Sur certains après-midi, on est deux aides-soignants pour 50 personnes.
Ce qu'en dit la directrice ?
La directrice a été nommée directrice en avril 2019 après douze mois en tant que directrice adjointe. "En ce qui concerne les revendications nationales, je les rejoins évidemment dès lors qu'il s'agit de sous-effectifs et de postes mal payés. On n'a pas la volonté de ne pas titulariser mais il faut pour cela disposer de candidats qualifiés, ce qui n'est pas le cas. Je ne me considère pas en conflit avec les agents. Et le mécontentement de certains ne doit pas être pris pour une généralité. A aucun moment ma porte n'a été fermée. On entend les difficultés des agents et on essaie d'y répondre."
Quelles maisons de retraite faut-il pour demain ?
A l'invitation de la députée Isabelle Valentin qui participe à une mission parlementaire, les responsables des maisons de retraite de la circonscription ont planché mardi matin sur les problématiques de la prise en charge des personnes âgées dans les structures.
"Quel Ehpad pour demain ?" Mardi matin, une bonne partie des responsables des quarante Ehpad (Etablissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes) de la première circonscription de Haute-Loire (Le Puy-Yssingeaux) se sont retrouvés à l'hôpital d'Yssingeaux pour échanger autour de cette question.
Trouver des solutions pour améliorer la prise en charge
Cette rencontre s'inscrivait dans le cadre d'une mission parlementaire sur la question de la prise en charge des personnes âgées à laquelle participe la députée Isabelle Valentin, au côté de cinquante autres élus de l'Assemblée nationale. "Une loi de 2016 favorise le maintien à domicile mais occulte la place des Ehpad. Je suis venue à leur rencontre pour faire remonter leurs doléances, et travailler à trouver des solutions pour demain", indique la nouvelle députée.
Et des doléances, les directeurs et présidents d'Ehpad n'en manquent pas. Sous-effectifs, formation, statut du médecin coordonateur, tarification, financement : les problèmes s'accentuent au fil des années.
54 euros par jour en Haute-Loire
A bâtons rompus, le tour de table a été dense. "Le système des maisons de retraite est à bout de souffle", affirme François Verot, directeur des Cèdres à "Malataverne", qui demande "d'arrêter avec les normes qui impactent le prix". En Haute-Loire, le prix moyen est de 54 euros par jour. "Un tarif qui paraît certes cher pour les familles, au vu des niveaux des pensions de retraite de la majorité des usagers, mais pas exorbitant si on le compare à un séjour hôtelier en pension complète", remarque une participante.
Et à l'heure des mutualisations, les maisons de retraite saturent. "On va mutualiser notre misère. Clairement, on ne peut pas mutualiser ce que l'on n'a pas", formule Sylvie Tourneur, la directrice de l'hôpital local d'Yssingeaux.
70 % de charges de personnel
"Les moyens supplémentaires, je n'y crois plus. On l'a tellement entendu", reconnaît François Verot. "Qu'a-t-on fait de la journée de solidarité ?", questionne un autre participant. "Pour améliorer la qualité de vie au travail, il faut des bras supplémentaires", synthétise une participante alors que 70 % des dépenses se situent dans les charges du personnel.
Le nerf de la guerre reste l'argent et les établissements en manquent cruellement pour permettre à leurs équipes de réaliser les tâches quotidiennes de façon optimale. "La place du ministre, c'est au mieux 3 heures un dimanche matin avec les aide-soignantes", suggère le Dr Jacques Labrosse, médecin généraliste au Puy-en-Velay, lorsqu'Isabelle Valentin fait part de son souhait d'inviter Agnès Buzyn, ministre de la Santé et des Solidarités, pour des visites de terrain en Haute-Loire. Et la députée de lancer : "il faudra être prêt à montrer ce qui ne marche pas !"
Isabelle Valentin est chargée de synthétiser ces requêtes et de les faire remonter à l'Assemblée nationale.
Tence : 30 000 euros pour saluer une maison de retraite innovante
Un chèque de 30 000 euros a été officiellement remis mercredi matin au directeur, Xavier Cura, de la maison de retraite de Tence.
Cette somme a été donnée suite à un prix national décerné par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie et récompense les travaux réalisés sur l'Ehpad (Etablissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes) et achevés en 2014, ainsi que la prise en charge des résidants.
Tence : les équipes de la maison de retraite formées au massage cardiaque
Le docteur Josiane Reynaud a formé les équipes de l’Ehpad (Etablissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes) au massage cardiaque.
Le médecin anesthésiste-réanimateur au Centre hospitalier de Saint-Chamond, a formé pendant deux jours les équipes de la résidence La Sérigoule aux gestes d’urgence et notamment le massage cardiaque.
Apprendre les gestes de premier secours fait partie des formations que doivent recevoir les professionnels qui peuvent être confrontés à ces situations d’urgence.
Le Dr Josiane Reynaud, dont le mari est médecin coordonnateur à l’Ehpad tençois, a accepté de dispenser cette formation gracieusement : une première formation a eu lieu fin août, la seconde aura lieu le mardi 20 septembre pour les professionnels de la résidence.
Cette « piqure de rappel » a semble-t-il été appréciée par l’ensemble des personnels de l’établissement.
Tence : petits et seniors à la ferme de Nicolas et Lise Russier
Mardi, le Relais petite enfance et la Résidence « La Sérigoule » (Ehpad) de Tence se sont retrouvés à "Mazalibrand" au Mazet-Saint-Voy à la ferme de Lise et Nicolas Russier.
Les visiteurs sont allés à la rencontre des animaux : vaches salers, lapins, ânes. Chacun a pu s’adonner à des caresses et des câlins.
Du bonheur à partager avec l’odeur du foin rappelant aux anciens l'élevage et le contact avec la nature, les animaux...
Un repas du terroir avait été préparé par Lise Russier avec l’aide de sa famille. Didier Aubry a proposé une animation musicale, en tenue traditionnelle irlandaise. Des convives se sont même laissés tenter par quelques pas de danse.
Les discussions avec les enfants et leurs aides-maternelles en présence d’Odile Kucharczak, l'animatrice du Relais, allaient bon train à table. Les chansons aussi.
Les rencontres ne s’improvisent pas et c’est pourquoi l’échange entre les deux structures permet de créer et de maintenir du lien. Divers ateliers, soigneusement préparés en amont, sont proposés tout au long de l’année.
Tence : le festival Interfolk fait escale à la maison de retraite
Jeudi, le groupe brésilien Sarandeiros a proposé une représentation directement dans les locaux de la maison de retraite de Tence, La Sérigoule, dans le cadre du festival Interfolk
Un repas a été offert à l'issue de la prestation par l'équipe de cuisiniers et le service animation de la résidence. Le groupe s'est ensuite rendu au gymnase de La Lionchère pour leur représentation publique.
Le tir sportif de Beaulieu a accueilli l'inter-maisons de retraite
Le traditionnel concours inter-résidences «La Tête et les Jambes» était organisé cette année par l’EHPAD (établissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes) "La Roseraie" de Rosières, via son animatrice Adeline Béal. Celle-ci a trouvé un cadre original, le stand de tir de Beaulieu, pour cette manifestation qui a réuni 15 EHPAD et 90 résidents.
Au programme : du tir pour chaque résident, des jeux de motricité et de mémoire, des chansons, des danses et des gourmandises. Ce sont ainsi 145 repas qui ont été préparés par Maurice Derail, le boucher de Rosières.
Tous les ingrédients étaient réunis pour une journée réussie grâce, notamment, au dynamisme et l’implication de toutes les animatrices et des accompagnants.
Les résidents de l’EHPAD "Fondation Paradis" d’Espaly-Saint-Marcel ont été les grands gagnants de la journée suivis par ceux de Vorey et de Malataverne.
L’établissement organisateur de ce challenge «La Tête et les Jambes» a été tiré au sort. La rencontre aura lieu l’année prochaine au Puy-en-Velay à la Maison Nazareth.
Tence : la maison de retraite remporte un prix national
La maison de retraite de Tence a été primée pour son architecture médico-sociale. Ce premier prix comprend un chèque de 30 000 euros.
La Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie a décerné le premier prix national à Tence pour la reconstruction de l'Ehpad (Etablissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes) La Sérigoule, achevée en 2014. Les travaux se sont accompagnés d'une refonte de la prise en charge des personnes âgées, notamment à l'attention des résidents atteints de la maladie d'Alzheimer ou les maladies neuro-dégénératives. "C'est la récompense du travail de tous les professionnels", se félicite Xavier Cura, directeur.
Différents pôles pour la maladie d'Alzheimer
Concernant la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, l'Ehpad permet de personnaliser les soins et les besoins selon les différents stades de la maladie. "On dispose d'un accueil de jour avec 6 places par jour, un accueil temporaire de 5 places ne pouvant pas dépasser trois mois par an et un accueil définitif", détaille Marlène Jacon, infirmière coordinatrice. La Sérigoule dispose également d'une unité protégée Alzheimer de 9 chambres avec un circuit de déambulation et un parc extérieur fermé.
L'établissement tençois a également ouvert un Pôle d'activités et de soins adaptés (PASA) à l'attention des troubles cognitifs, des malades d'Alzheimer à un stade modéré avec une prise en charge en journée pour 12 personnes.
Une remise en cause continue pour le personnel soignant
La Sérigoule a encore un pôle sensoriel, lequel fait suite à l'unité protégée Alzheimer. Ces personnes grabataires sont hébergées à l'Ehpad.
Pour compléter l'offre, un pôle Escale accueille en petits groupes les personnes cérébro-lésées (Parkison, AVC...).
Enfin, le pôle Passerelle s'adresse à des personnes handicapées vieillissantes avec un passé psychiatrique stabilisé. "On leur apprend à être plus atutonome. On les stimule", signale Marlène Jacon.
"On s'est interrogé sur le besoin de la personnes. Les résidents se sentent davantage écoutés, les familles aussi. Pour le personnel, ce n'est pas plus simple, c'est une remise en cause continue car la maladie évolue et il faut rester vigilant."