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Les pompiers d'Yssingeaux et Saint-Jeures se sont rendus vers 12 h 30 au lieu-dit "Combevieille" à Araules, entre le stade de foot et "Recharinges" pour un feu de végétation.

Un propriétaire avait entrepris de brûler des détritus. Les flammes ont débordé et se sont propagées sur le terrain du voisin. Environ 100 m2 d'herbes ont brûlé.

Le risque de pollution d'un bief se jetant dans la rivière Auze a été écarté.

Les habitants des "Balayes" à Araules viennent de signer une pétition pour réclamer des aménagements pour casser la vitesse dans la traversée du village.

Une ligne droite interminable qui traverse un village. Bienvenue aux "Balayes", un hameau partagé entre les communes de Champclause sur la partie hausse et Araules sur la partie basse.

15 % de véhicules au-dessus de 100 km/h

Sur cette Départementale 15, entre Saint-Julien-Chapteuil et l'Ardèche, le dernier recensement faisait état de 1 800 passages par jour. L'étude effectuée par le conseil départemental en 2014 révélait que 15 % des véhicules roulaient au-dessus de 90 km/h, 15 autres au-delà de 100 km/h dans le bas du village. Une vitesse de 130 km/h avait même été relevée.

Trois ans plus tard, les riverains reviennent à la charge, le sentiment d'insécurité persiste. "Ces vitesses enregistrées hier reflètent toujours notre insécurité permanente à laquelle il faut rajouter les nombreux dépassements hasardeux", indiquent les habitant dans une pétition qu'ils ont remis à la préfecture et à la mairie.

Mettre un panneau... sans radar

Les habitants réclament des aménagements, sur la partie basse du village, sur la commune d'Araules, soit une longueur de 250 m. Ils demandent l'abaissement de la vitesse à 50 km/h ainsi qu'une matérialisation sur la chaussée d'une ligne blanche continue. "De plus, comme l'implantation d'un radar autmatique fixe n'est soi-disant pas envisageable, nous exigeons la pose de deux nouveaux dispositifs appelés leurre par panneaux."

Deux nouvelles lignes sont en cours d’installation dans le parc à grumes de la scierie d’Araules, la troisième du département. D’ici le mois de mois, elle passera de 250 m3 à 400 m3 de grumes par jour.

La scierie Celle se met au goût du jour et poursuit sa politique d’investissement pour rester compétitive. « On est comme les agriculteurs. Il y a 50 ans, on vivait avec 10 vaches. Aujourd’hui, on a du mal avec 200 bêtes », estime Serge Celle, qui est à la tête de l’entreprise familiale depuis 2012. Il est entouré de ses frères Philippe, qui gère la fabrication de palettes à Yssingeaux, et Sébastien, responsable du parc à grumes et de l’achat bois.

Une scierie qui compte en Haute-Loire

Claude, le père et fondateur de l’entreprise, est toujours en activité. A 72 ans, il se montre encore actif au quotidien. C’est lui qui a créé la scierie en 1974 à 39 ans, avec deux salariés, à « Reynier » avant de déménager en 1990 sur la zone des « Vestias ». Aujourd’hui, la société compte 40 employés et sort 8,5 millions d’euros de chiffres d’affaires par an. Ils revendiquent la 3^e place parmi les scieries de Haute-Loire, derrière Gallien (Craponne-sur-Arzon) et Moulin (Dunières). « A nous trois, on représente 80 % de l’activité. »

Passer à 500 m3 de grumes par jour

Pour rester compétitif, la famille Celle investit dans de nouveaux moyens techniques. Depuis six mois, une nouvelle chaîne d’exploitation est en cours d’installation dans le parc à grumes et permettra de traiter d’ici cinq ans 500 m3 de résineux par jour, contre 250 m3 actuellement. Cette ligne longitudinale et automatisée accueillera les billons et les grumes. Coût de l’investissement : 3 millions d’euros. En 2018, l’entreprise d’Araules compte aussi changer sa ligne gros bois pour une dépense de 2 millions d’euros. Dans les deux ans, cinq embauches devraient être concrétisées.

Tout le bois est exploité, de la grume à la sciure

La scierie a su diversifier son offre et optimiser au maximum le bois sur ses trois hectares de terrain. « Le bois, c’est comme le cochon, tout est bon », plaisante Claude Celle. Le déchet de bois est aujourd’hui valorisé avec les chaufferies bois. Entre 10 et 15 semi-remorques alimentent chaque semaine la chaufferie d’Yssingeaux, trois camions partent chaque jour pour l’équipement de Saint-Etienne.

La principale activité reste la découpe et la fabrication de palettes, fabriquée à 60 % par l’atelier d’Yssingeaux ou vendues en débit de bois à des fabricants extérieurs.. Chaque jour, Celle fabrique 3 500 palettes, notamment pour Renault Véhicule Industriel (RVI) à Lyon, son principal client.

D'importants moyens de secours ont été déployés mercredi après-midi au village de "Courcoules" sur la commune d'Araules pour secourir un homme de 57 ans, coincé sous un arbre à la suite de travaux de bûcheronnage.

Mercredi, vers 16 heures, dans un terrain en pente, la victime, un agriculteur du village, s'est retrouvée coincée sous le tronc d'un frêne imposant qu'elle avait abattu. Des voisins ont entendu l'homme crier et se sont portés à son secours, avant d'appeler les pompiers.

Les pompiers d'Yssingeaux, Le Puy-en-Velay (cellule de sauvetage déblaiement), Le Chambon-sur-Lignon ont été mobilisés pour extraire la victime de cette délicate posture. Afin de dégager sa jambe droite, il était nécessaire de soulever l'arbre à l'aide de sangles. L'opération a été menée à bien vers 17 h 30.

Médicalisé par le Samu 43, il a été conduit à l'hôpital.

Mercredi après-midi, une trentaine d'enfants se sont retrouvés à la bibliothèque dans le bourg pour fêter Carnaval. Ils ont participé à un atelier bricolage et écouté des contes et comptines d'Yvette. Ils ont également pu apprécier les tours de magie de Yannick Delolme, un adolescent d'Araules, qui était en représentation publique pour la première fois.

Le conseil municipal d'Araules a décidé vendredi soir de mettre en vente l'ancienne école située dans le hameau de "Bélistard".

Les élus d'Araules choisissent de se séparer d'un bien communal, en l'occurence l'ancienne école de "Bélistard", aujourd'hui occupée en location par une famille.

Ils souhaitent s'en séparer en raison du peu d'intérêt qu'elle présente pour un usage collectif et des frais d'entretien qu'elle engendre (8000 euros de frais d'électricité réalisés récemment pour un loyer mensuel d'environ 450 euros). "Bélistard" est un petit hameau situé entre le village de "Recharinges" et le village des "Balayes" à Champclause.

Avant d'être transformée en école, cette bâtisse avait d'abord été une maison d'habitation. Elle avait d'ailleurs été construite pour cela. Devenue école, elle a fermé ses portes dans les années 60 et a ensuite été utilisée comme une colonie de vacances avant de redevenir une maison.

Ce bâtiment, installé sur un terrain de 670 m2, dispose de 152 m2 habitables dont 5 chambres à l'étage. Evaluée à 65 000 euros par les services des Domaines, l'ancienne école est mise en vente à 67 000 euros, en sachant que l'assainissement est non conforme.

Une assemblée générale extraordinaire, essentiellement technique, de l'association Les Amis de l'Auze, s'est tenue vendredi soir à la salle polyvalente d'Araules.

Au programme la révision des statuts dans l'objectif, selon Anthony Delolme, le président, "de composer un bureau plus resserré pour gagner en efficacité."

Une fois ce point acté, la réunion s'est poursuivie autour de l'organisation de la prochaine participation du comité d'animation à un événement festif, en l'occurence le carnaval d'Yssingeaux des 1er et 2 avril.

"Nous nous présenterons avec deux chars, celui qui a défilé l'an passé et que nous allons modifier et un tout nouveau char. Ceux qui souhaitent venir faire la fête avec nous sont les bienvenus. Nous les invitons à nous rejoindre samedi 25 février pour préparer ces deux chars. Un premier rendez-vous est programmé le matin à 9 heures et un autre l'après-midi à 14 heures. Dans les deux cas, le point de ralliement est la place de Recharinges."

Lundi, un accident a coûté la vie à un jeune Beauzacois de 21 ans au carrefour de la Départementale 15 à Araules. Le conducteur et son passager, deux amis, se rendaient aux Estables pour aller skier.

Alors que le conducteur est décédé sur les lieux de l'accident, son passager, un Bassois de 19 ans, a été héliporté en urgence absolue sur l'hôpital de Saint-Etienne.

Mardi, une rumeur circulait sur Beauzac et ses environs, affirmant que le passager avait succombé à ses blessures. Ce Bassois, qui s'était marié il y a un mois à Bas-en-Basset, est toujours en vie. Son état s'est stabilisé mais la situation reste critique pour le jeune homme, plongé dans le coma.

Un jeune homme est décédé et son passager est grièvement blessé après un choc violent avec un poids lourd au carrefour de Départementale 15 à Araules, entre Saint-Julien-Chapteuil et l'Ardèche.

Le choc a été d'une extrême violence. Lundi, vers 11 h 40, un terrible accident a coûté la vie à un jeune homme. Les faits se sont produits au carrefour de la Départementale 15 (Saint-Julien-Chapteuil/Ardèche) et de la Départementale 42 (Araules/Fay-sur-Lignon).

Le conducteur, au volant d'une Peugeot "306", arrivant de "Recharinges", s'est engagé sur le carrefour, au moment où arrivait un poids lourd sur sa gauche et une voiture sur sa droite.

Le chauffeur du camion n'a rien pu faire pour éviter le choc, projetant la "306" sur la voiture arrivant en face, une Volskwagen "Polo". Le chauffeur du poids, lourd, choqué, est ressorti indemne. Le conducteur de la "Polo", un homme de 41 ans, touché aux cervicales, a été conduit aux urgences du Puy.

Les deux occupants de la "306" sont des hommes de 20 et 22 ans, domiciliés dans la même commune (le nom de la ville n'a pas été précisé). Les gendarmes devaient déterminer l'identité exacte des deux occupants. Des pièces d'identité ont été retrouvées sur place mais leur ressemblance ne permettait pas de s'assurer avec certitude de l'identité de chacun.

Le conducteur est décédé sur le coup. Son passager, polytraumatisé, a été médicalisé par le Samu 42 avant d'être héliporté à bord d'Elisa 42, en direction du CHU de Saint-Etienne.

Un homme de 92 ans a été aperçu près du stade de "Recharinges", à "Piallevialle", commune d'Araules. Mercredi, vers 4 h 45, il était au bord de la Départementale 42. Cette personne âgée se trouvait en pyjama et semblait désorientée.

La conductrice de passage a reconnu le papy et a contacté sa famille. Les pompiers sont également intervenus pour le prendre en charge. Il a été conduit à l'hôpital du Puy-en-Velay.