L’association Vivre et Conduire a tenu son assemblée générale. Maryse Masclaux a évoqué les difficultés qui ont persisté au cours de l’année 2021, liées à la pandémie de Covid.

En 2021, ce sont 42 journées de sensibilisation qui ont été programmées, mais seulement 35 ont pu être réalisées. 3 ont été reportées et 4 ont été annulées. Une année normale, c’est presque le double de journées d’actions réalisées. Beaucoup d’établissements scolaires, notamment, n’ont pas organisé de journée sécurité routière comme ils le faisaient habituellement, soit par crainte de propagation de l’épidémie, soit à cause d’organisations perturbées par celle-ci ; professeurs ou encadrants absents, retard accumulés dans les programmes, ou autres.

"Il est impossible de connaître l’impact de ces actions sur le bilan des accidents routiers, ni sur le nombre de vies épargnées. Cependant, les jeunes restent en Haute-Loire, comme ailleurs en France, la population la plus touchée par les accidents graves. 16 personnes ont perdues la vie l’année dernière sur nos routes, et parmi ceux-ci, 6 avaient entre 18 et 34 ans. De plus, 195 personnes ont été blessées à des degrés divers. Aussi, ces actions de sensibilisations doivent continuer et se développer, particulièrement auprès des jeunes.

Vivre et Conduire organise pour les jeunes classards de Saint-Maurice-de-Lignon (18 ans dans l’année) une opération de sensibilisation à la sécurité routière, le samedi 30 avril de 10 heures à 12 heures.